Mis en difficulté sur une question scientifique où il se voulait l'attaquant sans avoir la compétence, une anonyme ordure du Net a jugé opportun d'attaquer sur l'état mental de la génération sous domination gynarque totale :
"Et vos petits-enfants ? Comment vont-ils ? "
Il va probablement mal, mon unique petit-fils connu, dont il a été prétendu qu'il serait mon fils, ce qui me ferait un zizi d'au moins 700 km de long.
Les enfants sont une terre d'invasion facile et sans risques, une réserve à janissaires et ustensiles commodes, pour la toute-puissance matriarcale, accoutumée qu'elle est à l'impunité garantie par le Féministan judiciaire, quoi qu'elles fassent.
Sous garantie d'impunité pour ses pillages et ses fraudes, la criminalité féminine ne s'arrête plus, elle a perdu les limites. Maîtresse du Palais d'Injustice, et maîtresse des media, elle se sait maîtresse pilleuse du pays, sous sa devise de l'individualisme forcené : "Moi je ! Moi je ! Moi je ! Et après moi le déluge ! Et quiconque me résiste, c'est rien qu'une punaise masculiniste ! Et si un juge ose me résister, c'est qu'il est membre d'un réseau pédophile ! ".
Pourquoi respecterait-on la parole d'un enfant, quand on a été portée en triomphe au Palais d'Injustice, pour avoir couvert de calomnies, et pillé sans limites le père ou le grand-père de cet enfant ? Pourquoi se priver ? Un enfant, c'est tellement plus faible et plus dépendant, quelle résistance efficace peut-il opposer, privé de tout père et de tout soutien hors-gang ? Sur quelle puissance tierce pourrait-il s'appuyer pour résister à la maltraitance sournoise ? La gynarchie triomphante a éliminé tous les mâles, ne conservant que les complices, celles qui du reste peuvent user de chantage.
Les mêmes ruses pour faire taire son prochain et lui couper la parole, pour disqualifier systématiquement ses plaintes et réclamations, pour bafouer ses besoins, sont applicables, en plus facile, à ses enfants. Pourquoi se priver, mes soeurs ? Les enfants, ce n'est que du cheptel, notre propriété privée à "nous les femmes qui sommes toutes des victimes et devons toutes nous venger !".
Certes, le pronostic ne peut être affiné sans informations complémentaires. Un enfant utilisé comme aide-bourreau d'un de ses parents ou grands-parents, ne devient pas forcément un bourreau et un psychopathe à vie, ni ne devient forcément un schizophrène, ni ne devient forcément un suicidaire, ni ne devient forcément un borderline, ni ne devient forcément un histrionique, variété pervers, ni ne devient forcément une épave droguée. Son histoire sera plus compliquée que les quelques phrases des paragraphes précédents. Mais en tout cas, il est très mal parti dans la vie, d'avoir été élevé en instrument, parfois même d'avoir été conçu comme instrument, et d'être énergiquement privé de tout recours à un adulte plus responsable, un adulte de référence. On peut pronostiquer des carences relationnelles majeures, notamment une totale infirmité et une totale désorientation quant au sens des loyautés dues. Personne ne pourra lui faire confiance, et il ne pourra faire confiance à personne. L'éthique sera pour lui une expression étrangère intraduisible.
Faire un couple stable et une famille stable ? Impossible sans l'éthique et la loyauté, alors qu'il en est totalement carencé pour les besoins et commodités de la criminalité féminine dont il est la propriété privée. Au travail, sera-t-il un équipier stable, à qui l'on peut faire confiance ? Essayez... Quant à moi, j'éviterais de prendre des risques inutiles. Un agressif passif, ça vous fout en l'air un service, un pervers histrionique aussi...
A seize ans et demi, un adolescent est à l'âge où l'on fugue pour tâcher de découvrir qui est son père au juste. J'ai tout lieu de pronostiquer que même de cela, mon petit-fils n'en sera jamais capable. Que pour son plus grand malheur, il demeurera soumis aux inavouables secrets de famille, aux crimes et mensonges institutionnalisés.