"La force des choses", relue par Christine Clerc :http://www.valeursactuelles.com/public/valeurs-actuelles/html/fr/articles.php?article_id=1519Ma génération doit beaucoup, paraît-il, à Simone de Beauvoir dont on célèbre le centenaire ...
... des millions de mères seules aient les moyens matériels et intellectuels délever leurs enfants. Simone de Beauvoir sen souciait-elle seulement ? Je relis la Force des choses et ny trouve quune bourgeoise intello préoccupée de sa propre personne, confessant dans les années 1940 : « Ce que je nai pas découvert, cest la manière de traduire par des actes mon opposition au nazisme » et partant, en 1945 année de rationnement en France , effectuer une tournée de conférences en Espagne et au Portugal. Là-bas, elle trouve des magasins « au luxe dun autre âge » et sachète tenues de cocktail et manteaux de fourrure. Dans la rue, cependant, elle voit des enfants nus et scrofuleux. « La bourgeoisie portugaise, note-t-elle, supportait très sereinement la misère des autres. » Elle aussi. Sa règle dor : « Je ne mappliquais pas au dégoût, ni à la compassion. » En sept cents pages, pas une once de générosité ! Beauvoir aura incarné, en somme, la gauche ragondin.
Suite de la discussion sur fr.soc.féminisme :
Naibed a écrit :
> Tiens, tant que je vous tiens : Simone de Beauvoir, elle était féministe en quoi au fait ?
En ce qu'elle disait que les tâches ménagères étaient avilissantes pour la femme : celle-ci devait travailler, quitte à prendre une femme de ménage.