1. Historique de l'élaboration.
Il m'aura fallu plus de dix ans de maturation pour parvenir à ce renversement de paradigme, et maintenant j'ai besoin de la discussion la plus générale pour parvenir à une mise en forme.
Très vite, il m'était devenu évident que ces répudiations pathologiques et crapuleuses, relèvent d'abord du psychiatre, éventuellement urgentiste, et non du monopole du magistrat, écranté, manipulé et truandé par l'Honorable Monopole d'avocats. Evident aussi que cette intervention venait quelques dix ans trop tard. Pendant des années, j'avais cherché en vain du secours professionnel ou du secours amical pour résister au terrorisme de mon épouse, à sa corruption de notre fille aînée comme missionnée parricide. En vain : tous se cachaient sous la table, voire redoublaient d'assauts, si leur idéologie était la guerre sexiste.
Le psychologue canadien Yvon Dallaire écrit que seuls 20% des couples parviennent à dépasser le stade de la lutte à mort pour le pouvoir. Hélas, depuis sept ans, m'Amie et moi demeurons dans les 80% de couples qui ne parviennent pas à s'extraire de la lutte pour le pouvoir. Mon seul recours pour mettre fin à sa violence, est de rompre la relation, la renvoyer chez elle, ou rentrer chez moi. Avec l'inconvénient que ces deux solutions sont impraticables en voyage...
Avec l'inconvénient aussi que toute perspective d'avenir commun, me terrifie et contribue à ajouter à mon désespoir.
Il est apparu bientôt que cette violence féminine, menée par une anxiété phénoménale, est vicariante, vient en remplacement des habiletés relationnelles de base, qui n'ont jamais été acquises, M'Amie ne soupçonne toujours pas que la communication non-violente, cela existe, et ne s'aperçoit toujours pas de la différence.
Il appert que c'est un phénomène très général : c'est par carence des apprentissages de base, que se développent des attitudes vicariantes, apparences de solution immédiate, qui sont très dommageables sur le long terme, soit pour le sujet lui-même, soit et surtout pour son entourage. Violence, perversité, parasitisme, histrionisme, pour ne citer que quelques exemples.
Il a été démontré très amplement, que la scandaleuse partialité sexiste de notre appareil judiciaire et des média, encourage les femmes pathologiques, au premier pet en travers du cul, à lancer une campagne de calomnies et d'accusations mensongères, pour rafler la grosse mise lors de leur répudiation du conjoint à éliminer.
Tout porte sur l'élimination d'une personne, censée porter tous les maux de la Terre, à la façon essentialiste "Sujet+verbe d'état + attribut", et non sur l'amendement des comportements. Tandis que bien au contraire, on (on : psychologues et travailleurs sociaux) ne réhabilite une personne qu'en la soutenant individuellement, mais en corrigeant fermement les comportement viciés. Essentialisme et non développement ni dialectique, telle est la recette du n'importe-quoi et des échecs systématiques.
Il est apparu aussi que la France accumule encore plus de retard technique que ses voisins, en matière de thérapie sous mandat.
Bref : on n'a pas les bonnes personnes, on n'a pas les bonnes organisations ni institutions, on n'a pas les bonnes doctrines, on n'a pas l'information de base du public ni des professionnels, on n'a pas le calendrier correct.
Que faut-il alors ?
Pouvoir assigner son conjoint à formation des habiletés de base, à un savoir-être indispensable. Accepter qu'il formule une demande réciproque, et y déférer. Pouvoir trouver des professionnels en réseau capables de vous orienter rapidement.
Exemple : C. a les poches percées, au sens financier du terme, ne sait pas laver son linge, laisse la quasi-totalité des corvées ménagères à sa conjointe. Solution institutionnelle actuelle : divorce, rupture du PACS, et tant pis pour l'enfant. C. est immédiatement traité en incurable, par essence. Et tant pis pour l'enfant.
On n'a aucun professionnel, aucune institution telle que la conjointe puisse assigner C. en amendement et en acquisition des habiletés basiques qui lui font défaut.
C'est cela qu'il faut réformer. Il y a bien la place pour un magistrat dans l'équipe de réhabilitation, mais formé bien différemment de ce qui se fait actuellement.
2. Le cahier des charges pour une réforme : pouvoir assigner un membre de sa famille à acquisition d'habiletés et respects de base.
3. La réforme proposée : pouvoir assigner un membre de sa famille à acquisition d'habiletés et respects de base.
A suivre. Article en cours d'élaboration.