Musée des horreurs et de la corruption > Exposition de la guerre sexiste. Industrie de la calomnie misandre.

En Martin Dufresne et Michèle Dayras dans le texte...

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Jacques:
http://www.antipatriarcat.org/nouvelles/titres.php?ref=10174

--- Citation ---Le 20 juin 2005 - "Appel du sexe" ou pression du fric?
Martin Dufresne, James Douglas, Benoît Lacoursière
[Lettre ouverte au DEVOIR]

Nous attendions mieux du Devoir et de Normand Cazelais que l'apologie traditionnelle de l'exploitation sexuelle présentée dans votre chronique Voyages ("L'appel du sexe", 18-19 juin).

Ce n'est ni par "pudibonderie" ou par "vertu" que nous sommes plusieurs à contester les privilèges des exploiteurs et des touristes à qui une bourse bien garnie devrait donner, suggère Cazelais, libre accès aux femmes et aux jeunes de leurs "destinations plaisir", y compris nos collectivités.

L'époque où l'accès au minimum vital passait nécessairement par ce genre de dépossession était bien plus sordide que "sulfureuse" pour les femmes, les jeunes et les minorités ethniques qui l'ont vécue. Quant à la Rome antique, on n'y trouvait pas que des bordels accueillants, mais aussi l'esclavage pour les approvisionner.

Des membres du Bloc québécois siégeant au Sous-comité fédéral d'examen des lois sur le racolage semblent annoncer un retour en arrière qui, sous prétexte de "protection" des exploitées, offrirait de nouveau à leurs prostitueurs (pimps et acheteurs) des zones franches de toute sanction dans les quartiers appauvris de nos villes. C'est de bien mauvais augure pour l'équité sexuelle dans le projet de pays du Bloc.

Acheter ou vendre le sexe des autres n'est pas un droit de l'homme auquel nous tenons.

Martin Dufresne et James Douglas, Collectif masculin contre le sexisme
Benoît Lacoursière, Hommes contre le patriarcat


(Extrait de l'article)

"Voyages - L'appel du sexe
Normand Cazelais
Édition du samedi 18 et du dimanche 19 juin 2005

Montréal vient de vivre un autre grand épisode de son histoire touristique. Son Grand Prix automobile a encore connu un "éclatant" succès. Dans les
jours et semaines à venir, une avalanche de chiffres en étalera les retombées sur la métropole et sur tout le Québec: nombre de visiteurs,
dépenses globales, taux d'occupation hôtelière, rayonnement planétaire, tout y sera. Sauf les gains enfournés par l'industrie du sexe.

(...)

L'appel du sexe fait intrinsèquement partie des attraits d'une destination. Il n'y a pas que les musées, les spectacles, les activités sportives, les paysages et les restaurants.

Pourquoi cacher cette réalité sous le tapis ? Ou sous le lit ?"

La suite de l'article (pour les abonné-e-s du Devoir):
ligne

"L'appel du sexe", Normand Cazelais, Le Devoir, 18-19 juin2005:
http://www.ledevoir.com/2005/06/20/84568.html
collectif masculin contre le sexisme:
http://www.antipatriarcat.org/cmcs
hommes contre le patriarcat:
http://www.antipatriarcat.org/hcp
--- Fin de citation ---

Jacques:
Longue controverse sur la pathologie de Dufresne sur le site cmaq (Centre des Média alternatifs du Québec) :
http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18967

J'en ai pris une copie et la mettrai en ligne, si cette adresse devenait indisponible.

Bien que je n'en trouve toujours pas la source exacte, il se confirme qu'il est là bas de notoriété publique qu'il est un abusé sexuel, et qu'il persiste à ne pas voir clair entre les limites de sa propre biographie et toutes celles des autres, qu'il persiste à projeter sur autrui.


--- Citation ---C'est reconnu par énormément de gens, que Dufresne est un militant anti-père et anti-homme, même dans les milieux dits progressistes. Tout le monde sait que son agression sexuelle étant plus jeune par un homme est la source de sa haine envers le genre masculin.
--- Fin de citation ---

Jacques:

--- Citation ---20 février, 0 h 07 - Parler d'"agressivité", c'est *naturaliser* a priori un comportement qui est en fait *instrumental*, en ce sens que les hommes qui violentent une femme en tirent un bénéfice : la soumission forcée de l'être agressé, le privilège de ne pas répondre de leurs comportements. Les batteurs de femmes s'en cachent rarement d'ailleurs, prompts à dire qu'elle "l'a mérité". Ce sont les psys qui tentent de noyer le poisson.
 
Si ce n'était qu'affaire d'agressivité, on verrait ces hommes s'en prendre à leur patron, aux flics, etc.
Non, ils calculent, frappent quand ils savent pouvoir s'en tirer sans témoin. Et ils nient, eux, alors que les femmes sont souvent promptes à se reconnaître bien des torts.
D'ailleurs, personne ne parle d'"innocence féminine" sauf ceux qui les chargent de tous les péchés de la terre...
 
Si des femmes *peuvent* être violentes, il est clair qu'elles font beaucoup moins souvent que les hommes le choix de l'être. Et qu'elle sont beaucoup plus durement punies quand elles le font, tant par les médias que par les tribunaux.
 
En ce sens, oui, la violence a un sexe, celui du pouvoir qu'elle sert à protèger de l'égalité, de la négociation au quotidien.
 
Quant aux pères, il faut être de mauvaise foi pour ne pas voir à quel point beaucoup servent de modèle à la violence de leurs fils. Alors, pourquoi leur réserver une place incontournable, plutôt que de les juger à leurs mérites et reconnaître que les mères sont souvent de meilleurs modèles, même pour des garçons?
 
Patriarcat, quand tu nous tiens...
Martin Dufresne
Québec
--- Fin de citation ---
http://www.radio-canada.ca/radio/profondeur/hommes/emission5.shtml


--- Citation ---Date: 5 Dec 1998 19:21:42 -0400
From: Martin Dufresne
Subject: Site Web consacré_à_ une vigile pré-6_décembre

Un jeune pro-féministe récemment arrivé à Montréal organise en ce moment
avec quelques amis une vigile sur la rue Saint-Laurent. Un autre type -
Martin Chartrand - y consacre un site Web sonore au
www.geocities.com/Eureka/Enterprises/3132/501.html. Hyperliens intéressants
au travail de féministes canadiennes. Ë découvrir.
Si des types sont intéressés à explorer la possibilité d'une démarche
pro-féministe à Québec, prière de me contacter au 524-3254.

Martin Dufresne
Collectif masculin contre le sexisme

"Feminism exists so that no woman ever has to face her abuser in isolation,
alone."
(Andrea Dworkin)

--- Fin de citation ---
http://old.nothingness.org/kebekaktif/reseau/digests/Dec-98/Dec5-98-259.html

En clair, être contre les mâles et pour les femelles, c'est être anti-sexiste selon Martin Dufresne...

Jacques:


Contenu :
Ontario Women Justice Network
Adresse originale : http://www.owjn.org/custody/dufresne.htm

Jacques:
Pas vraiment une preuve, pas vraiment tranchant, mais un indice fort sérieux, et en tout cas une preuve de la notoriété publique au Canada, et de l'absence totale de démenti par Martin Dufresne, voire même un aveu implicite :

http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18097

--- Citation --- Sujet:     Monologue classique    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 11:43

Classique, la passe de se présenter comme victimisé pour invalider d'avance toute critique d'un texte qui ne ménage aucun effet de manchettes pour parodier grossièrement et tenter de discréditer des analyses féministes auquel il prétend "répondre", mais dans un milieu antiféministe plutôt que dans un réel dialogue avec d'autres personnes souffrant de l'assignation de genre ou la lui imposant (comme son "ami"). Dommage. On comprend pourquoi des misogynes applaudissent ci-dessous.

En fait, je trouve que "Serpillère" se montre extraordinairement contrôlant en définissant d'avance ce qu'on est en droit de penser de son texte et de lui répondre. Quoi qu'il en dise, c'est bel et bien en tant qu'homme ("garçon") qu'il "drague" le lecteur vers la défense de ses privilèges, que je persiste à reconnaître comme masculins, bien que revus et améliorés, et qu'il tente de museler toute réticence à avaler la 'bouillie pour les chats' qu'il nous sert en abondance.

Personnellement, je trouve plus crédibles (et honnêtes) les analyses qui vont au-delà de pareilles prétentions à mettre une posture personnelle (de "garçon" non genré ou uniquement genré par l'analyse féministe "radicale") à l'abri de toute assimilation à d'autres conduites de pouvoir masculin tout aussi culpabilisantes et violentes que la sienne.

Libre à lui de (continuer à) accoller aux gens que ses accusations ne convainquent pas les étiquettes dévalorisantes qui serviront sa stratégie; une autre passe simpliste. Tout ce que je retiens de ce monologue compassé, c'est une longue tentative pour *interdire* d'avance toute critique et tout dialogue avec d'autres personnes souffrant comme lui de l'assignation de genre, mais qui auraient le toupet de soupçonner en lui un homme protégeant des privilèges masculins - virils ou libertaires - et s'en servant lorsqu'il appelle à la guerre sainte antiféministe.

Contrairement à ce qu'affirme tout ce texte, il faut rappeler que ce sont d'abord et encore les féministes qui sont quasi-seules à nous rappeler qu'il n'y a PAS que deux sortes de gens, que le genre n'est PAS biologique, même si l'adhésion aux privilèges de genre ou la tentative d'y accéder demeure, même s'il le nie, le fait de la quasi-totalité des hommes (le texte de "Serpillère" en est d'ailleurs une splendide illustration).

Car il ne suffit pas de dire que le genre est arbitraire, assigné et qu'il faut le dépasser. Il est trop facile de prétendre que notre cas personnel, notre image de soi, nos voltiges théoriques invalident aussitôt énoncés une analyse réaliste du pouvoir de genre, tel qu'il s'exerce même en milieu dit progressiste (mais souvent rageusement misogyne).

Il est tellement plus facile de tirer sur le pianiste - ce dont "Serpillère" ne se prive pas - que de (réellement) écrire et vivre une nouvelle partition.

Imaginez un texte de la même eau écrit par un Blanc qui, à cause de ses conceptions ou perceptions de soi personnelles, ne se "reconnaîtrait" pas dans une critique du racisme de sa société et 'vargerait' de tout son privilège de race sur les Noirs qui oseraient voir en lui un Blanc, encore un Blanc, menant une politique de Blanc en interdisant toute généralisation critique...

Je crois qu'il faut avoir l'humilité de voir dans une telle non-reconnaissance de sa position (encore) privilégiée - même si on est opprimé comme bisexuel - un élément du problème plutôt qu'un bon contre-argument valable. Je crois qu'il faut chercher des solidarités avec les principales opprimées de genre plutôt que contre elles. Pas facile, mais nécessaire si l'on ne veut pas ajouter à l'oppression machiste qu'on subit parfois avec elles.

Martin Dufresne
(qui ose signer contrairement à l'auteur)
   
      

      
   
Sujet:    Dufresne classique.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 14:32
   
Ca ben l'air que notre Martin nationale s'est sentit attaqué dans ce texte. Normal, quand l'auteur parle de la misandrie et de l'incohérence du discour des féministes radicales, ils visent des gens comme Martin Dufresne qui en est un exemple parfait.

Dufresne va même jusqu'à dire, le plus sérieusement du monde, que l'auteur appelle à la guerre sainte contre le féminisme. Le gars est dérangé pis pas à peu près... IL doit être le seul à avoir eu cette impression en lisant le texte ou c'est juste qu'il est à court d'arguments pour discriditer l'auteur. Dufresne utilise toujours la même tactique: il tente de discriditer ceux qui ne pensent pas comme lui avec des mensonges ou en leur prêtant de fausse intention. Pourtant, l'auteur a clairement indiqué qu'il critique le féminisme radicale et non le féminisme en son ensemble. Dufresne nous dit que ce texte et ceux qui sont d'accord avec sont mysogine...Donc tout ceux qui ne sont pas d'accord avec la misandrie des féministes radicales sont mysogine? Alors 99.9% de la population mondiale est mysogine! Pauvre Martin, il est bien seul dans son monde.

Ce qui est le plus pathétique dans le cas de Dufresne, c'est qu'il a avoué publiquement le cause de son mépris envers les hommes. En effet, il a publiquement avoué avoir été abusé sexuellement par un homme étanr enfant. Au lieu de diriger sa rage envers son agresseur, il l'a dirigé envers l'ensemble des hommes. Son jugement est complètement dérèglé depuis ce temps. Il est trop lache pour viser le vrai responsable de sa misandrie.




      
   
Sujet:    Bassesse    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 17:34

L'anonymat permet vraiment toutes les bassesses, comme la lâcheté du CMAQ à afficher régulièrement de telles attaques personnelles.
Son commentaire est tout de même assez révélateur. Que nous dit "Casanova" (Rémi Tremblay), sinon que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori?
Il ne saurait signer plus clairement son adhésion à une vision du monde et une politique de soutien aux violeurs, bref, masculiniste.

Martin
   
      

      
   
Sujet:    Rectification.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 20:18
   
Je tiens à rectifier deux choses. Premièrement, je ne suis pas Rémi Tremblay. Que tu m'associes à ce grand idéologue et tombeur de ces dames m'honnore au plus au point. Je te dirais bien mon identité mais je te laisse t'amuser à tenter de découvrir qui je suis. Il est reconnu que l'amusement est une forme de thérapie, tu en as grandement besoin.

Deuxièmement, je n'ai jamais dit que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori. Ce que je dis, c'est que dans ton cas il est évident que ton agression sexuelle par un homme dans ton enfance a grandement contribué à ta haine sans limite pour le sexe masculin. Tu déplaces ta colère sur les hommes au lieu de l'envoyer sur ton agresseur. Voilà pourquoi tu es si misandre et malhonnête au sujet des problèmes de la condition masculine. Quelqun qui s'est fait agressé sexuellement en enfance peut être tout aussi bien un masculiniste si il a déplacé sa colère sur son agresseur et non les hommes.
   
      

      
   
Sujet:    Sur le vécu vs l'Opinion    
Auteur:    Dominic Claveau
Date:    Lun, 2004-09-13 16:26
   
Maudit (*&%(&$(&$(%&(*? on recommence... pourquoi ca c'est effacé?!?;-)

Monsieur Dufresne.

Je sympathise avec vous car je comprend que le dévoilement de cette épisode de votre enfance vous mette mal à l'aise. Je présume qu'il est véridique, car vous n'avez pas démenti... De votre point de vue, je comprend aussi que vous pouvez interpréter toute référence à votre enfance comme une façon de vous discriditer à priori. Vous avez évidement raison, certain ni manquerons pas. D'un autre côté, contrairement à Bleuer, je trouve tout à fait légitime qu'on soit informer sur ce fait, quoiqu'il aurait fallu que ca vienne de vous. Je suis moi même tenté d'attribuer une parti de votre position idéoligique sur le compte de votre enfance... même si ça n'explique pas tout. Personne n'aime qu'on associe nos opinions à des raisons psychologiques plutôt que rationnelles... Pourtant, MOI, Casanova, Gilles, Sysyphe... et même Bleuer! ;-) sont dans le même bateau: notre profil psychologique, éducation environnement, etc. inflence bien plus notre Opinion qu'une qualquonque démarche "rationo-cartésienne". D'ailleur, tous les grand hommes et femmes ont subi durant leur Histoire - avant ou après leur mort - le "sévice" de l'analyse psychologique, voir psychanalitique pour expliquer leur opinions et comportements... Alors medammes et messieurs, qui peut lancer la pierre à M Dufresne et dire que sont opinion à lui est libre de toutes expériences vécu dans l'enfance!? ;-)
   
      

      
   
Sujet:    Dufresne a un peu raison    
Auteur:    RiouxYves/Bleuler
Date:    Dim, 2004-09-12 21:36

Je n'aime pas beaucoup Dufresne, mais ici, il a un peu raison. Le fait qu'il ait été abusé pendant sa jeunesse ne peut pas être invoqué comme argument pour discréditer ce qu'il dit. Il s'agit d'une attaque personnelle aussi inutile que mesquine.
   
      

      
   
Sujet:    Explication.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 22:40

Je n'invoque pas le fait qu'il est été abusé par un homme étant enfant pour discréditer tout ce qu'il dit mais pour expliquer son discour ultra-haineux envers les hommes. Je suis LOIN d'être le premier à invoquer cette raison pour expliquer le comportement anti-homme pathologique de Dufresne. D'ailleurs, même certainES féministes modérés me l'on déja dit sous le couvert de l'anonymat, c'est à ce moment que j'ai apprit que Dufresne avait été abusé par un homme. Je cherchais depuis un bon moment comment un homme pouvait avoir une haine aussi profonde envers son propre sexe, j'ai comprit après avoir apprit la nouvelle. Il ne faut pas être un grand psychiatre pour comprendre que son abus par un homme à été un déterminant important dans le développement psychologique de Dufresne. Je tenais à vous préciser mes dires monsieur Bleuler car j'ai un grand respect pour vous.

--- Fin de citation ---

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