Déontologie pour la famille

Musée des horreurs et de la corruption => Sa duettiste : Alie Boron/Ambre/.nn.. B...r..n/gretel/emile.albert => Discussion démarrée par: Jacques le 16 mars 2008, 09:28:40

Titre: Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:28:40
Le fil original est à http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?t=478

Commençons par le début :

Sectes, croyances et religions, un débat.

N'ayons aucun scrupule à copier-coller l'essentiel d'un débat intéressant (si si, il y en a parfois) sur un site qui m'a banni-sans-tout-à-fait-bannir-en-mettant-sous-censure-préalable. Références de cette guéguerre d'hypocrisie : http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/board,15.0.html

Citation
Paru sur AgoraVox:

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=36633

Il décrit deux points:
1. existence d'un flou absolu au niveau de ce que l'on considère comme secte.
2. existence d'une corrélation injustifiée entre secte et dérive.

Au niveau du point numéro un, c'est un fait connu, il n'y a pas vraiment à débattre.

Au niveau du point 2, je trouve intéressant de détacher le coté spirituel de la secte, dans le délit de celle ci contre la société, quand il y a délit.

Autrement dit, il y a délit non pas à cause de la croyance farfelue d'une secte mais à cause du facteur humain.

C'est en soi révolutionnaire car cela remet en question la législation contre les sectes et ramène le problème à un abus de biens, ou abus de confiance, sans lien avec la croyance elle même.

Citation
Eux : "Cherche l'intéret et tu trouveras un mobile ! Analyse l’histoire des sectes et choisi entre un mobile fallacieux ou un intéret cupide"

«Qui sont ces dieux qui s’enrichissent sur le dos des miséreux, avec des besoins qui non pas lieu, dans leurs cieux plein de vœux pieux ».

«Ceux qui se préoccupe plus des dividendes au jour le jour, que de la facture des jours futurs.» «Autour d’un troupeau de moutons ou de dauphin, il y a des loups et des requins »

« Plus l’amour est gratuit, plus il est fort et plus ce que l'on attend en retour est faible ».

«La pureté d'un schisme est inversement proportionnelle à la contrepartie exigée".

Les Sages.

Citation
Non, le flou n'est pas si absolu que ça, dès lors qu'on (fait de son mieux pour) se place(r) d'un point de vue politiquement et religieusement neutre*. Il existe en fait des critères extrêmement utiles et pertinents pour différencier une religion/croyance "mainstream" et une secte, qu'il s'agisse du dogme ou des pratiques. Je vous suggère de lire l'entrée "cults" dans http://www.skepdic.com, qui considère que bien que la majorité des croyances religieuses soient parfaitement irrationnelles, certaines le sont plus que d'autres et sont surtout beaucoup plus nuisibles en elles-mêmes, et que la différence est tout-à-fait faisable). Par exemple, la différence est patente entre ce que prêchent, et comment ils le font, un monastère zen classique et Aum Shin Rykyu, ou entre le catéchisme enseigné dans une paroisse catholique traditionnelle française et au Mandarom, pour ne pas parler de la $ciento …


* il est évident qu'un politicien faisant état de fortes convictions religieuses, de même qu'un représentant de l'évêché/du consistoire vont user de critères fortement biaisés par leurs convictions préalables, passer comme chats sur braises sur les manquements éventuels de leur chapelle, tout en qualifiant de secte tout mouvement qui leur fait concurrence, et que cette attitude pose problème lorsqu'il s'agit de préserver la société des agissements de quelques malfaisants. Il est tout aussi évident que les sectes nuisibles se servent de ce triste état de fait pour se poser en victimes de persécutions.


Tant que la croyance en question n'est que farfelue et n'implique pas en elle-même de nuire aux individus et à la société, certes: On attend toujours d'apprendre que les Adorateurs de l'Oignon (si, si, ça existe) commettent un attentat meurtrier ou abusent de petits enfants à cause de leurs croyances, mais il est très aisé de démontrer que certaines croyances mènent directement à des conséquenses nuisibles, voire même criminelles, qu'il s'agisse d'atteintes à la santé des adeptes et de leur progéniture (refus d'éducation scolaire aux filles ou passé un certain âge, mouvements new-age qui conseillent à leurs adeptes de regarder le soleil en face à midi, ou qui interdisent aux adeptes de recourir à des soins vitaux comme les TJ avec la transfusion), de l'appropriation des ressources (mouvements de toutes sortes qui exigent la donation des biens et des revenus), de la doctrine du "fair game" de la $ciento, de certains concepts millénaristes poussant les adeptes au suicide (par ex. Jim Jones, ordre du temple solaire, Heaven's Gate, etc.), de la justification des abus sexuel sur adeptes adultes ou mineurs (certaines sectes mormones polygames, raël à une certaine période), et bien entendu du meurtre des apostats, des concepts de guerre sainte, croisades et autres joyeusetés, toutes justifiées, si rarement uniquement causées, par la croyance.

Ce qui nous ramène à la distinction entre religion et secte: une religion établie a généralement expurgé son dogme courant des croyances susceptibles de mener trop aisément à ces excès, en assignant aux textes fondateurs soit une signification allégorique, soit une pertinence limitée à un contexte historique dépassé, ayant compris que l'absolutisme (ou, si l'on préfère, le fondamentalisme littéraliste) était incompatible avec la pérennité des institutions et le fonctionnement raisonnable d'une société.

Citation
Bonjour à tous,

Florence : "une religion établie a généralement expurgé son dogme courant des croyances susceptibles de mener trop aisément à ces excès..."

Te serais-tu limé les dents depuis le temps que je n'étais pas venu sur ce forum ? Si effectivement les dignitaires des "grandes" religions nous abreuvent de propos apaisants et fustigent les extrémistes, le "Got mit uns" n'est pas si ancien... Toutes les religions font du croyant un être supérieur au non-croyant et, ça, c'est une bombe à retardement. N'importe quel fêlé peut dans un avenir plus ou moins proche s'appuyer sur la notion de chasse à l'infidèle, de porteur de la Vérité (avec un grand V, puisqu'elle lui est transmise par Dieu, avec un grand D) pour se lancer dans des actions que ces religions rejettent aujourdhui. Il n'y a qu'à voir sur ce forum, le nombre de zozos qui nous plaignent, sincèrement ou non, de ne pas être croyants et par cela même s'estiment habilités à juger leurs semblables.

Je suis personnellement effaré et très inquiet de voir les religions et l'obscurantisme prendre des proportions de plus en plus importantes. Je suis effaré de la position (en France) de nos hommes politiques, du moins de notre président, qui ne peuvent plus ouvrir la bouche sans faire l'apologie de la religion ou, plus prudemment, de la "spiritualité". Savoir s'il faut que les enfants de l'école primaire aient à supporter ou non la mémoire d'une victime du nazisme est un autre débat. Mais pourquoi Sarko ne parle-t'il que des enfants juifs ? Les morts d'autres confessions et les athées n'ont-ils pas droit à la mémoire ?

Dès qu'il y a un problème d'ordre religieux, une violation de sépulture par exemple, les médias nous abreuvent des réactions de l'imam, du curé, du pope, etc. Je n'ai jamais vu dans ces circonstances interroger quelqu'un en le présentant comme non-croyant. Son avis est-il mois valable, moins aproprié ?

Non, franchement j'en ai assez et pour reprendre une assertion éculée mais tellement vraie : les religions ne sont que des sectes qui ont réussi.

Michel

Citation
Eux : L’évolution est basée sur ces quelques mots « Chaos - Survie - Mélange - hasard - environnement - mémoire - mutation » La vie dans tous les domaines, doit son existence à la probabilité des résultats obtenus, par la mise en pratique de ces facteurs d’évolution. Qui a posé la première brique ? D’une telle soupe aussi aléatoire, aux résultats si imprévisibles et parfois si dramatiques, voir cataclysmiques. Nous ne pouvons envisager, de l’attribuer à une main divine, qu’elle quel soit ! Sans s’offusquer alors de son manque d’analyse des résultats futurs, des imperfections du système, des désastres prévisibles sur des bases aussi brouillonnes.

Une telle dose d’à peu prés, d’innocence, de jeux de hasard, de désinvolture, de non-professionnalisme pour un dieu. Ne peut que nous conforter, dans la non-existence d’un être aussi stupide ! Spécialement par rapport à l’intelligence, au pouvoir, au savoir, qu’il est sensé posséder.

Une insulte à l’idée même ou à la foi que nous pourrions avoir, envers un tel être suprême. Pas très sérieux de penser, qu’un dieu puisse créer un monde sérieux, sur des bases aussi folles, empiriques et chaotiques. Ce n’est plus un dieu, mais un apprenti sorcier !

"C’est de l’amour que nous voulions semer, c’est des dieux et des diables que nous avons récoltés"

Citation
Seed, j'ai bien aimé votre "non-professionnalisme pour un dieu". C'est tellement vrai. Bravo !

Michel

Citation
Seed Born, l'amour on peut t'en parler, ceux qui sortent de certaines sectes ont largement compris que c'est un argument pour zozos.
Le problème des sectes est terriblement simple dans le sens où les illuminés qui sont à l'origine finissent par disparaitre et passent le relais à d'autres farfelus pas aussi idiots que leurs maîtres.
T'auras beau répéter ta rangaine sur l'amour universel ça finira toujours en rassemblement de tarés unicervelle qui seront capables d'avaler sans sourciller la necessité d'une grande purification par le vide. Et si leur Dieu tarde trop, il y a fort à craindre que certaines sectes passent à l'acte elles même. Avec un bon lavage de cerveau on transformerait n'importe quel brebis en vengeur actionné par la gloire de Dieu.

La société a le droit et le devoir de se protéger contre ces loups en vétements de brebis parce que l'experience de beaucoup passe par ceci : traduction de 'born again' : 'bornés pour toujours'. Qu'elles se sentent surveillées et sur la sellette, que ça leur plaise ou pas on s'en balance, c'est le seul moyen de les forcer à se méfier des dérives que leurs "théories" sont en mesure de générer au sein de leurs troupes. Il serait temps que les dirigeants de sectes se sentent responsables de leur baratin, c'est un peu trop facile de provoquer le rassemblement d'un troupeau de gogols en puissance, de les haranguer et ensuite de se laver les mains en se prévalant du facteur humain imprévisible.

La suite est d'un créationniste fanatique, qui nous couvre d'insultes régulièrement :
Citation de: Science création

leblogdepierredubarreau (http://leblogdepierredubarreau.blog.20minutes.fr/archive/2008/03/01/triste-moment-pour-les-adversaires-de-la-liberte-de-conscien.html)
Triste moment pour les adversaires de la liberté de conscience. Michèle Alliot-Marie, Ministre de l'intérieur, a publié le 25 février une circulaire à l'intention des préfets, dans laquelle elle déclare :

« La notion de secte, certes couramment utilisée, est une notion de fait et non de droit. Au regard du droit, l'appartenance à un mouvement quel qu'il soit relève d'abord d'une opinion, dont la liberté est un principe constitutionnel. »
...
Article premier de la constitution de 1958 : « La France, République laïque, assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinctions d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. »


Citation
Tu te trompes, la liberté de conscience n'a rien à voir avec le problème sectaire, ce sont 2 choses différentes. Dans le phénomène sectaire on atteint des sommets d'hypocrisie à ce niveau, ceux qui sont prompts à lever le bouclier de la loi sont bien souvent les morveux qui se mouchent.
Ceux qui n'ont rien à cacher n'ont rien à défendre et ne se sentent pas visés.

Citation
Choisir une religion ou un mouvement quelconque, c'est une liberté.
Se faire endoctriner et vider les poches par des individus sans scrupule (et autres conséquences sociales, psychologiques, voire physiques), je n'appelle pas ça de la liberté.

Après, pour poser des limites claires, c'est une autre histoire.

Mais personnellement je pense que c'est le devoir de l'état et de la loi que de protéger les individus de ce genre d'abus. Tolérer le tolérable et punir ce qui ne l'est pas.

Et quel bel étalage d'évidences je viens de faire !

Citation
On peut respecter les croyances mais pas les délits ou crimes commis au nom des dites croyances. Pour illustrer et éclairer le sujet initial (Les sectes - cerner le problème), cet article du jour peut aider :
http://www.liberation.fr/actualite/societe/313100.FR.php

Citation
Bonsoir _bruno_

C'est exact, on peut respecter les croyances, sous réserves qu'elles tiennent un tant soit peu la route et qu'elles ne se prêtent pas à la critique en abusant elles mêmes des libertés qu'elles prétendent défendre.
La liberté de croyance s'arrête là où commence celle des autres et c'est vraiment méconnaitre les buts inavoués des sectes que de les faire passer pour de pauves persécutés sans défense.
La liberté de croyance est de tolérer les idées religieuses qui n'outrepassent pas leurs droits en bafouant ce qui fait la fierté de la laïcité. Et s'il y a des gens pour se lever contre les sectes c'est qu'il n'y a pas de fumée sans feu.

Citation
...une assertion éculée mais tellement vraie : les religions ne sont que des sectes qui ont réussi.

et elles ont réussi justement parce que a) elles ont généralement purgé de leur dogme les éléments qui les auraient in fine condamnées à la marginalité et b) elles ont en bien des cas offert aux populations des prestations sociales, régulatrices, éducatrices, etc. que la structure étatique de leur temps ne remplissait pas, contrairement aux sectes qui, notoirement, ne fonctionnent qu'en mode "aspirateur à finances" et ne régurgitent jamais rien de favorable pour l'ensemble de la société qu'elles exploitent.

Note bien que, faisant la distinction entre sectes et religions établies, je ne dédouane pas du tout ces dernières de leurs responsabilités quant à l'étouffement des consciences, l'accaparement du pouvoir, la profonde stupidité des dogmes, etc., mais force est de constater que leur contribution n'est pas que négative.

Où je les dédouane encore moins, c'est lorsqu'elles volent au secours de tous les mouvements sectaires clairement prédateurs dans une grande alliance des obscurantistes contre le sécularisme rationaliste, selon le mode "bagarre de poivrots se liguant contre les flics venus les séparer" ...

Citation
_Bruno_ a écrit:

Tout est dit. La "bagarre de poivrots", c'est une allusion au vin de messe ?


Vous avez sans doute vu ou à tout le moins entendu parler ce ce qui se passe dans un bistrot lorsque deux bandes avinées se battent à mort et que la police arrive : les ennemis mortels se réconcilient soudain et se liguent pour bastonner la maréchaussée ...

On assiste au même comportement lorsque religions et sectes se sentent tout à coup menacées par les "gendarmes" de la loi (fiscale ou pénale), de la laïcité et du rationalisme athée : les adversaires autrefois irréconciliables se sentent tout soudain pris d'une crise de tolérance toute confraternelle et hurlent de concert à l'atteinte à la liberté de conscience, quand ce n'est pas à la persécution. Le fait qu'ils défendent ainsi bien souvent l'indéfendable (de l'extorsion de fonds à l'appel au meurtre, en passant par la négation de la liberté de conscience de leurs adeptes) ne tourmente visiblement pas leur conscience ...

On voit ainsi l'évêché soutenir la $ciento, s'inquiéter du droit de l'imam à appeler à la guerre sainte ou à l'enfermement des femmes, ou telle secte s'offusquer de ce qu'on demande des comptes au Vatican pour sa gestion des problèmes d'abus variés sur les paroissiens, etc.

Citation
Denis : Bien d’accord avec toi, l’amour comme le respect sont des mots qui vont si bien ensemble dans la foi religieuse.
« Des pièges à débat, moins ils en ont pour les autres plus ils en demandent pour leurs convictions sectaires » !

Eux : « Tu ne peux lutter avec des invectives, contre quelques choses d’aussi noble. Te lancer dans des débats sans fin perdue d’avance, mais dit toi bien qu’au bout du chemin se trouve ton destin. Là sera le moment de la question et tous ce la poseront ».

A la toute dernière minute, devant la mort.

Est-ce que je ne me suis pas fourvoyé dans ma croyance ? Est-ce que je ne me suis pas fait abuser, dérouter ? Et si je m’étais égaré ! Que va t-il se passer après ?

Qui a raison, qui a tort dans son intime conviction ? Là il aura une réponse à la question.

Eux : La laïcité c’est l’impartialité et la neutralité ! Laisse les s’entretuer, s’étriper, se massacrer au non d’une foi. Si endoctriné : Ils se sont trompés ! Ils devront assumer.
Si le chemin n’aboutit à rien c’est beaucoup de haine et de passion, pour rien de bien malin.
Par contre ! S’il offre un autre destin, beaucoup se seront perdus en chemin.

Moi : Vous êtes chiez quand même ! Les laisser s’entretuer, s’étriper …… ! On doit bien s’en mêler pour qu’ils n’arrivent pas à de telles extrémités.

Eux : Des milliers d’années, des millions de morts et tu voudrais t’interposer, pour exposer ta positivité. La seule chose possible est de leur dire « Vous vous êtes peut-être trompés ? Si il ne s’agissait que d’une étape dans votre destinée et que vous ne soyez pas une finalité ! Donne de l’amour mais n’attend rien en retour ».

Seed Born

Continuons à citer de même le fil original :
Titre: Re : Sectes, croyances et religions, un débat.
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:35:53
Mon grain de sel :

Il n'est pas de croyance qui soit respectable. Cela bien qu'il puisse exister quelques maximes qui sont des mensonges efficaces dans l'action, et qui comme telles sont respectables malgré leur fausseté scientifique évidente.

Quand le psychologue Jean-Paul Garnier a conclu un séminaire d'une demi-journée (devant des cadres en chômage, en reclassement difficile), en écrivant ces trois maximes suivantes sur le tableau de papier, il n'a pas dit que ce seraient des vérités, mais que si nous les appliquions, ça irait mieux dans nos vies :
Citation de: Jean-Paul Garnier
   1.  Personne ne nous doit rien.
   2. Il n'y a que moi qui puisse changer.
   3. Qu'est-ce qui ne va pas en moi, qui fait que ce que vous faites me dérange ?

Il est facile de définir l'abus de confiance, constitué par l'enseignement de croyances contrafactuelles (contraires aux faits).
Les religions et les sectes s'abritent derrière le cri de "Liberté de croyance", pour persister à endoctriner leurs fidèles sans défense, et surtout les enfants sans défense, à leur bourrer le moût, à obtenir d'eux qu'ils nourrissent la secte et son clergé, au détriment de leur développement propre.

Mais saurons-nous commencer par balayer devant notre porte ? Chaque clergé, chaque vaniteux incompétent, cherche à défendre bec et ongles les contre-vérités qui lui tiennent à coeur, et qu'il est incapable de corriger.

Voici un extrait de la scolarité de ma fille aînée (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/au_viol2.html) (Attention, en raison de leur implication dans une affaire criminelle toujours pas jugée, les noms réels des personnages sont remplacés par des pseudos) :
Citation
... année scolaire 1986-87, où elle était en 5e. En ce temps-là, notre ministère de l'Education Nationale avait brusquement commencé l'enseignement des sciences physiques quatre ans plus tôt, dès la classe de sixième, sans jamais avoir prévu les flux préalables de formation de professeurs de sciences indispensables. Frédégonde a ainsi bénéficié de deux PEGC d'une haute incompétence, après une simili-formation hâtive. Le pire fut en 6e, mais je n'intervenais pas encore. Depuis, j'ai appris que son enseignement se bornait à faire recopier minutieusement des schémas d'expériences, sans faire comprendre les expériences elles-mêmes. Il avait depuis longtemps la réputation d'être tout aussi calamiteux en mathématiques  : « Celui-là, il est urgent qu'il prenne sa retraite ! Quand (mon aînée) était avec lui, je devais refaire toutes les leçons derrière lui, » précise Alie Boron, qui est professeur de mathématiques en collège. J'ai retenu que la fin de la phrase était « pour corriger ses erreurs permanentes  ! », car le contexte de la discussion entre les deux femmes portait sur les inexactitudes enseignées, mais Alie le conteste.(2)

En 5e, Madame V.t.n enseigna des rudiments de schémas électrotechniques, avec trois fautes majeures. Elle dessinait les piles avec la polarité à l'envers. Elle se trompait d'un angle droit dans les champs magnétiques et les aiguilles aimantées. Autrement dit, elle ne réalisait surtout pas l'expérience, mais prédisait sur schéma une orientation de l'aiguille aimantée, à 90° de celle qu'on observe expérimentalement. Pour prédire ainsi faux, elle confondait un bobinage à simple couche, avec le tristement fameux tire-bouchon (3). La troisième faute n'était qu'une violation des normes graphiques, et non une faute de compréhension au fond. Début novembre 1986, je corrigeai le cahier de cours, et le devoir de Frédégonde avant qu'elle le remette. Et Frédégonde en eut une mauvaise note  ! Je pris alors rendez-vous avec madame V.t.n, pour lui montrer un mémento professionnel d'électrotechnique, et lui rappeler les normes et les faits.
Paniquée, madame V.t.n appela le Principal en renfort, qui se mit à me soutenir que c'était bien assez bon pour les élèves, et que c'était plus simple comme cela. Il semblerait que madame V.t.n se vengea contre Frédégonde ensuite, au long du restant de l'année - mais est-ce vrai  ? A quel âge Frédégonde a-t-elle commencé à mentir comme elle a continué à le faire ensuite  ? Je n'ai pu vérifier. Frédégonde en conçut une haine définitive, et contre la physique, et contre son père, accusé de l'avoir fait maltraiter par sa prof.

Nos enseignements sous couvert de programmes officiels, nos manuels sous couvert d'inspecteurs, sont bourrés de contre-vérités même en sciences. J'ai donné dans un autre fil un des exemples d'invocations erronées de la loi de Bernoulli (http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=538.0), et hélas il y en a d'autres, même dans les sujets d'examen.

Comment allons-nous donner l'exemple de la rigueur dans nos propres enseignements, nous enseignement public, service public ?
Titre: Re : Sectes, croyances et religions, un débat.
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:40:54
Citation de: Jonathan L
Citation
Il décrit deux points:
1. existence d'un flou absolu au niveau de ce que l'on considère comme secte.
2. existence d'une corrélation injustifiée entre secte et dérive.

Au niveau du point numéro un, c'est un fait connu, il n'y a pas vraiment à débattre.

Au niveau du point 2, je trouve intéressant de détacher le coté spirituel de la secte, dans le délit de celle ci contre la société, quand il y a délit.

Autrement dit, il y a délit non pas à cause de la croyance farfelue d'une secte mais à cause du facteur humain.

C'est en soi révolutionnaire car cela remet en question la législation contre les sectes et ramène le problème à un abus de biens, ou abus de confiance, sans lien avec la croyance elle même.

La croyance au point 2 n'est pas si injustifié que cela. Nommez moi une seule secte qui n'aboutit pas dans des dérives? Des problèmes pour ces croyants?

On peut se poser la question pour les Amish, groupement certes fort refermé, figé au 17e siècle, mais qui fait profil très bas.
Ce qui me fait poser la question en ces termes, pour eux (et sans doute d'autres sectes excentrées et passéistes, mais qui font profil bas) : quelle est la liberté de leurs enfants ? Peuvent-ils sortir de la Réserve à Amish, et se faire une vraie vie en dehors ?

On a eu comme cela dans les gencives, le cas des habitants d'une île de l'Atlantique Sud, de mémoire ce devait être Tristan da Cunha, évacués quelques années en Grande Bretagne pour cause d'éruption volcanique, et qui ont tous préféré retourner dans leur île volcanique, avec leur genre de vie figé au 18e siècle. Quand ? Années 70, peut-être début 80.

Tristan da Cunha ? En Georgie du Sud, il n'y avait que des baleiniers, pas de cultivateurs.
Il y a bien Amsterdam et Saint-Paul par 38° Sud dans l'Océan Indien, mais ce sont des terres françaises... Les îles Prince Edward, par 46°50'Sud ?

Citation de: Jonathan L
Les Amish leur enfants sont souvent dépendant de la drogue et de l'alcool en sortant. Il éprouvent aussi des difficulté au niveau de leur sexualité lors de leur sortie. Et faut pas oubliez non plus que lorsqu'ils sortent, ils sont complêtement retardé technologiquement, ce qui peut être un problème pour l'emploi et la vie sociale. J'ai vu un reportage il y a quelque semaine justement sur le sujet des jeunes amish qui sortent.

Ce que je redoutais, après avoir lu une grande partie de la Psychothérapie d'un indien des plaines, par Georges Devereux, c'est que bien qu'il n'ait aucun stigmate physique visible, un Amish sortant, se retrouve lui aussi dans le cas d'une minorité visible et discriminée négativement.

Un fanatique réactionnaire sur usenet, nous évoquait le cas des Mennonites, autre secte figée dans le passé, qui ont préféré émigrer en Ontario, que de renoncer à enseigner leur créationnisme dans leurs écoles, en place d'une biologie authentique. J'ignore si les Amish ont une conception aussi agressive (envers leurs enfants), de leur devoir d'instruction.

Pour les grandes difficultés que l'adaptation au monde extérieur réserve aux jeunes Amish sortants, voici ce que je tenterais de proposer, si j'étais en charge du problème : désigner deux délégués à la transition pour chacun de ces jeunes, chacun médiateur volontaire, l'un toujours membre de la communauté, l'autre extérieur, de la localité où le jeune s'installe. Tous deux évidemment volontaires, puis sélectionnés et formés, avec obligation pour eux de s'entendre et de travailler en équipe pour obtenir un parcours professionnel et personnel correct de ce jeune homme ou cette jeune femme. Durée du mandat : deux ans, prolongeable de un ou deux ans.
Avec obligation de rendre compte de part et d'autre, de se prêter à analyse critique et débattue.

Mon père avait été quelque temps délégué à la liberté surveillée d'un jeune homme, orphelin de père, et je garantis que le lien affectif noué entre Georges et ce jeune homme et sa jeune soeur, n'était pas chose négligeable. Hélas, c'était la guerre d'Algérie, et le jeune homme a choisi de s'engager dans les parachutistes. J'ignore la suite, et ai des raisons de la redouter.
Titre: Re : Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:45:34
Citation de: Yéhou
Ta suggestion est bonne Jacques.  Mais j'imagine très mal un TJ accepter un tel rôle (aidé un jeune qui veut quitter les TJ dans sa transition vers le 'monde de Satan'...).
Mais c'est une suggestion qui mériterait une réflexion en profondeur pour l'opérationaliser.

Je ne parlais évidemment que des Amish.
Je sais bien que les TJ, dans leur immense majorité, sont incurables : la secte est agressivement organisée pour qu'ils demeurent incurables, prisonniers à vie.


Citation de: Yéhou
Frédégonde?
As-tu vraiment nommé ta fille comme ça?

 8)

Mes excuses, j'avais négligé de précisé qu'en raison de leur implication dans une affaire criminelle toujours pas jugée - si ce n'est enterrée jusqu'à ce jour - j'avais remplacé les noms réels par des pseudos.

Je t'ai donc amené à confondre les prénoms réels, avec les pseudos que j'ai dû leur donner dans le premier chapitre des Mémoires que j'aie rédigé, à partir d'août 1998 :
http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/opereGette.html#4.8.2. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/opereGette.html#4.8.2.)

Mes excuses pour cette ambiguïté non levée !

Citation
4.8.2.     Pourquoi des pseudonymes de barbares mérovingiens ?

Pour la suite du récit, j’ai donné à nos enfants des pseudonymes mérovingiens. Pour l’aînée, ça allait de soi, hélas ! Frédégonde, cette comploteuse et assassine, pour devenir ensuite reine sanguinaire, voilà qui va comme un gant à ce que cette aînée est devenue. Dans ce contexte, les prénoms de Sigbert et d’Audowere ne déparaient pas.

Avec les informations complémentaires arrivées au fil des années, je constate en 2003 que ce rôle majeur attribué à ma fille aînée, par ce pseudonyme de "Frédégonde", ne correspond pas à la réalité de la conjuration telle qu'elle fonctionnait, mais seulement telle que les dites conjurées voulaient qu'on crût qu'elle fonctionnât. En réalité, Frédégonde était aide-bourrelle, mais manipulée par deux bourrelles. C'est une configuration inattendue. D'une part, elle était manipulée et corrompue par sa môman, mon épouse Gazonbleu. D'autre part, elle était manipulée de longue date par cette voisine exceptionnellement perverse, Alie Boron. Nous allons découvrir celle-ci avec son attestation mensongère du 13 août 1998, la pièce 16 de Maîtresse Zantafia. La suite a révélé, notamment par les vantardises d'Alie Boron sur feu Forumquebec (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/trompettes1.htm (http://http:/jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes1.htm) ) et sur Paternet.net (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/1000_1000_1000_1000_1000_1000.html (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/1000_1000_1000_1000_1000_1000.html)), que le premier but de son complot à long terme, était d'inciter ma fille aînée à saboter ses études au maximum, afin d'une part de prouver que ses enfants à elle étaient supérieurs, et gagnaient mieux leur vie, afin d'autre part que ses parents, mon épouse et moi-même, en fussions rongés de honte et de chagrin. Alie Boron et mon épouse se méprisaient cordialement l'une l'autre, tout en gardant des apparences. Lorsque début août 1998, mon épouse et sa fille aînée lui ont demandé de confectionner un faux témoignage contre moi, dont 70% des délires viennent directement de Frédégonde, Alie Boron y a vu là l'opportunité d'enfoncer davantage Frédégonde dans la corruption, d'où elle ne saurait plus jamais s'extraire. Le mépris entre ces femmes n'a jamais cessé, sauf que maintenant elles se tiennent l'une l'autre par la barbichette, engagées dans un même délit, article 441-7 du Nouveau Code Pénal.

Telles sont les corrections à apporter aujourd'hui. Aujourd'hui, l'important est de faire l'inventaire des avaries provoquées aux enfants par leur corruption comme aides-bourrelles. Ce sont eux les principales victimes de cette perversion. Recevoir la mission parricide d'être bourreaux de ses propres parents, ou d'un seul d'entre eux sur ordres de l'autre, c'est là un fardeau psychique qui visiblement n'est pas gérable à long terme. Cette emprise maternelle sans limites les assigne à un destin de psychotique.

Dans cette histoire sanglante, je joue à peu près le rôle des deux lettrés, par lesquels nous est parvenu le plus gros de nos connaissances sur cette période noire de notre histoire : Grégoire de Tours, et Fortunatus. Parce qu’à cette époque-là, presque personne d’autre n’écrivait. Dans ma famille de barbares non plus ; on fait comme Gazonbleu : on n’écrit pas. On ne parle pas.

Mais faut vous dire que chez ces gens-là, Monsieur, on n’pense pas ! on n’pense pas ! On compte !

Et moi je préserve l’écriture, je préserve un peu de culture, je préserve tout ce que je peux de mémoire, contre les meurtres, les pillages et les destructions opérés par les barbares.

Je cherche à comprendre comment Gazonbleu a pu devenir ce qu’elle est maintenant, alors qu’elle a fait des études supérieures, et qu’elle fut major d’amphi en propédeutique. Comment a-t-elle pu se donner à 47-48 ans, des valeurs d’illettrée : « Pas de livres dans mon salon ! Les gens n’ont pas de livres dans leur salon ! » ? Je ne connaissais aucun exemple d’une telle régression vers la barbarie, avant d’avoir assisté à celle-ci.

Je cherche à comprendre pour moi, pour mes enfants, privés de mémoire, sevrés de toute exactitude, et pour d’autres, qui auront à leur tour besoin de comprendre d’autres évolutions calamiteuses, et de comparer avec mon document. Je garantis l’exactitude scrupuleuse de tous les faits rapportés, à l’impossibilité près d’accéder à de nombreux documents, toujours séquestrés par Gazonbleu et Frédégonde. Les témoins continuent d’être sollicités pour me signaler les erreurs ou les omissions qui subsistent certainement. Autant qu’il a été possible de les retrouver, les dates sont exactes au jour près. Quelques noms de lieux sont codés.

En fait j’ai trouvé la clé de l’énigme. Ou plutôt l’émission de France Musique me l’a soufflée le 23 janvier 1999. Détails au chapitre : « La statue du commandeur ».

C’est une faiblesse de la mémoire humaine, que d’être facilement défaillante quant aux sources de l’information : elle retient mal d’où vient l’info. C’est là dessus que reposent les propagandes, les calomnies, les rumeurs et les religions. Mes enfants ont perdu de vue la source des calomnies concernant leur père… Ils ont perdu toute cohérence concernant leur propre biographie, partout où leur père était présent.

Des documents maintenant diffusés après le décès de la Reine-Mère, contiennent les prénoms réels :
http://lavaujac.club.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.html (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.html)

Titre: Regarder les faux témoins se contredire entre elles...
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:49:49
Citation de: alie Boron
Citation de: Jacques
D'autre part, elle était manipulée de longue date par cette voisine exceptionnellement perverse, Alie Boron.


Il y avait longtemps que tu ne nous avais pas servi ton couplet habituel!!!!
J'aurais manipulé ta gamine, comment? En lui donnant à manger quand elle avait faim?

Citation
que le premier but de son complot à long terme, était d'inciter ma fille aînée à saboter ses études au maximum, afin d'une part de prouver que ses enfants à elle étaient supérieurs, et gagnaient mieux leur vie, afin d'autre part que ses parents, mon épouse et moi-même, en fussions rongés de honte et de chagrin.
Et en quoi aurais-je incité ta fille à saboter ses études? Elle a eu le bac S avec un an d'avance, 20 en Math (coefficient8) et une mention....elle est arrivée chez moi le soir des résultats car, au lieu de la féliciter comme elle le méritait, tu lui as reproché sa mauvaise note en philo (coef2). Chez nous, on a ouvert la bouteille de champagne. C'est ce que tu appelles l'inciter à saboter ses études?
Puis elle a échoué QUATRE ANNEES de suite à sa première année universitaire, à la rentrée elle n'avait plus de bourse, plus de logement  et ne savait pas ce qu'elle allait devenir, je lui ai conseillé un BTS en alternance ce qui lui permettait d'avoir un petit revenu pendant ses études et cette formation est assez côtée sur le marché du travail... Je te signale que deux de mes enfants ont un BTS ainsi que mes deux gendres, mon fils a même passé le BTS en aéronotique par le principe de l'aternance

Qu'est-ce que tes délires ont à voir avec les victimes des sectes?

Le plus simple pour savoir qui au juste est "Alie Boron",  et son addiction au mensonge pemanent, est de regarder les faux témoins se contredire entre elles :
http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/faux_temoins.html

L'original de l'attestation mensongère endossée par ce nauséabond personnage est toujours à http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/la_piece_16.htm (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/la_piece_16.htm)
fichier partiel, qui est encore là par erreur, et qui a été enrichi et remanié ultérieurement en http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/carrieres_histrioniques_pervers.html (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/carrieres_histrioniques_pervers.html) : "Des carrières de pervers histrioniques dans le crime organisé : Alie Boron, Jeanpapol, et les autres."
Vous y trouverez des liens vers d'autres exploits de la dite dame.

Jonathan, moi-même et les autres, avons en commun que nous luttons ensemble contre des délinquances organisées et des criminalités organisées, qui bénéficient d'une corruption blanche dans l'appareil d'état, et souvent aussi dans l'appareil judiciaire, souvent lâche, trop souvent vénal. Jonathan, moi-même et les autres, avons en commun d'aider les victimes à s'en sortir et à s'organiser. Dans tous les cas, ces criminalités organisées que nous combattons, pervertissent les liens familiaux, justifient un maximum de conduites dommageables, délictueuses, voire criminelles.

Ton but à toi, Annie, depuis de nombreuses années, est de protéger ta délinquance, et ton moyen est le harcèlement, afin de terrifier les lâches, et d'encourager les autres sadiques. Justement, tu m'as ainsi fourni de nombreuses pièces à ta charge, qui permettent de r'ouvrir ton dossier au correctionnel.

N'oublie plus jamais qu'avant de mourir, la Reine-Mère s'est vantée par écrit avoir protégé tes deux commanditaires, avoir dissimulé un maximum de faits à la justice pour les protéger, et que cet écrit est publié (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/12oct2006bOutreau_R.png). Cette fois la substitute qui a garanti votre impunité jusqu'à présent, aura du dur à continuer d'étouffer le scandale. Même si depuis elle a été promue au grade de vice-procureur...
Titre: La débilitation par l'"Université Vanessa"
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:51:54
Pendant quelques mois en 1992, ma mère et mon épouse ont eu l'intelligence de conspirer ensemble pour tâcher de sortir notre fille aînée, de la débilitation culturelle par l'"Université Vanessa", c'est à dire ce couplage serré entre Cécile et Vanessa, seconde fille Beaurain. Un couple fermé, dont les préoccupations étaient exclusivement futiles et hystériques : "Tu crois qu'il m'aime ? ... Ha la la ! Qu'est ce qu'il est moche et débile !"

Vacances de février 1992, ma mère et mon beau-père ont donc conduit ces enfants chez nos cousins du Sault à Saint-Sever sur Adour. J'ai retrouvé une photo des enfants, prise dans la cuisine de la Coulaquère, à Saint Sever, à moins que ce ne soit celle du château de Montaud, quelques kilomètres plus à l'Ouest. Tâcher de donner quand même à Cécile des horizons moins débiles...
Ils sont aussi passés à Villeneuve sur Lot, et mon beau-père a été extrêmement sévère sur l'état de dégradation de la maison de famille, où Anne est ensuite partie mourir, en 2005. Quand ensuite j'ai vu moi-même ce désastre après cinquante ans de non-entretien sous les justifications les plus débiles (je prépare les photos pour la publication, notamment la charpente de toiture en état consternant), je comprends le pessimisme de Georges. On comprend aussi le mépris final et définitif envers Anne, et de mon beau-père Georges, et de mon épouse et de notre fille aînée. Les deux cadets étaient moins sévères.

Mais Cécile persistait à ne pas travailler en classe, trouvant que la roue libre, c'était tellement plus chouette... Et puis l'indulgence de sa mère lui était acquise, du moment qu'elle cognait sur moi. Geneviève ne comprenait pas de quelle façon Annie, Oups ! "Alie Boron" poussait à la nullité, pour faire le désespoir de ses parents. Moi non plus ne surveillais pas ce jeu caché, que je n'ai percé que longtemps après, grâce aux triomphales vantardises de la comploteuse, notamment le 30 mai 2004 : "Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde. Pour devenir riches, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".

(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/au_viol2.htg/secret_1991.gif)



(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/au_viol2.htg/1994_superieure.gif)

Par ailleurs, la façon qu'avait Anne de promouvoir une autre idée de la culture générale et professionnelle, était tout sauf efficace. Manipulatrice oui, mais vaniteuse, inattentive, méprisante, et cousue de fils blancs. La conscience sociale de ma mère était fondée sur le mépris des manants... dont beaucoup le lui rendaient volontiers.

Quant à Georges Lavau, il était décédé depuis octobre 1990. Influence nulle depuis longtemps pour des tas de raisons.


Table chronologique avec pseudos, après 1969 :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/chronolog_pseudos.pdf
Table chronologique avec prénoms réels :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/chronologie_famil.pdf

Dès la rentrée 1992 en Maths Sup Bio, puis la rentrée 1993 en IUT, ma fille aînée s'est dispersée à fond en activisme extra-scolaire et histrionique, obsédée d'être la victorieuse en charme sexuel, persistant à se dispenser de travailler. Mais attention, hein, c'était toujours de la faute des autres !

Et sa problématique persistait dans le genre hystérique incestuelle, obsédée d'obtenir des compliments de son père sur son charme sexuel. Sa rage de ne pouvoir me séduire, et de ne pouvoir vivre de chantage jusqu'à la fin de nos jours...

Février 1994, l'IUT de Lens nous informe qu'il met Cécile à la porte pour absentéisme persistant. Nous avons trouvé à Lens une épave apragmatique et désespérée. Nous avons fait en sorte qu'on lui laisse une seconde chance pour qu'elle se rattrape. Mmmmh... Un cas désespéré, irrattrapable, définitivement ravagée par la corruption acceptée. En 1995, ce furent les vols et la dilapidation sur une plus grande échelle, entraînant son petit frère dans la dégringolade, les trafics. Etc. etc.


On a dérivé bien loin du thème initial du fil : il était question au départ des croyances injustifiables, soutenues par des religions, des sectes, et leurs clergés.
J'ai ensuite évoqué les dérives délirantes d'un autre clergé : notre personnel d'enseignement employé au delà de ses compétences, et protégé dans leur délire imperméable, par un principal adjoint arcbouté sur son narcissime...

Seulement voilà : je parlais de ce que je connais personnellement, ce qui est arrivé à mes enfants. Ce qui est inacceptable à la criminalité organisée, obsédée d'éradiquer le témoin gênant...
Titre: Merci de cet aveu. Par ta vantardise, tu as à nouveau confirmé ton mobile :
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:57:04
Citation de: alie Boron
Ben oui! Comme chacun sait nous sommes une famille de débiles incultes!
- J'étais professeur de mathématiques...
- quand à ma fille , copine avec la sienne depuis l'âge de six ans, elle a fait hypokhâgne, khâgne, licence d'histoire, CAPES

 Tu écrit que j'aurais dit  le 30 Mai 2004:""Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde. Pour devenir riches, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".
Qu'est-ce que c'est encore que ce délire? A cette date ta fille avait près de 30 ans!!!!!!



Citation de: alie Boron
Ben oui! Comme chacun sait nous sommes une famille de débiles incultes!
- J'étais professeur de mathématiques...
- quand à ma fille , copine avec la sienne depuis l'âge de six ans, elle a fait hypokhâgne, khâgne, licence d'histoire, CAPES
Merci de cet aveu. Par ta vantardise, tu as à nouveau confirmé ton mobile : enfoncer Cécile dans un puits de corruption dont elle ne puisse plus s'extraire. Afin de souligner par comparaison combien tes enfants sont supérieurs...

J'ai constamment confirmation de cette loi générale, énoncée dans le mémoire de méthodologie de Maîtrise, rédigé en juillet 2004, http://lavaujac.club.fr/Joie_de_nuire.htm (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Joie_de_nuire.htm) :
Citation
Du point de vue de la médecine du travail, du point de vue du management des ressources humaines, et enfin du point de vue de la santé publique et des familles, il faut donc se poser la question si le plus grand dommage subi par les entreprises et la nation française dans son ensemble, n'est pas celui implanté dans ceux des complices qui sont complices par peur. En exploitant ainsi leur poltronnerie, le leader du mobbing (harcèlement) s'assure de la disparition de leurs capacités d'analyse, de leurs capacités de création, de leurs capacité de courage, de leurs capacités de synthèse. Il s'assure de leur infirmité mentale, il se garantit leur inintelligence, il se garantit de dominer à vie ces brain-damaged : il les a ligotés en les corrompant comme complices ; voilà qu’ils ont désormais gros à se reprocher, et ont donc tout intérêt à falsifier leur mémoire biographique.

Comment leur « image de soi » va-t-elle réagir pour occulter les faits ? Le cas est d’autant plus grave pour les enfants, recrutés comme mobsters contre un ou deux de leurs parents, ou comme tortionnaires d’une partie de leur fratrie. Ils sont alors acculés à devenir falsificateurs de leur propre mémoire biographique. L’intelligence chute vite sous cette contrainte. Sur le plan scolaire, cela se voit à une chute des notes en Histoire, en français, langues, et philosophie : ils intègrent l’interdiction de penser et de se souvenir. Hors scolaire, ce sont la créativité et l’initiative qui sont détruites. La parole devient inintelligible, la logique du discours se décompose. Chutent ensuite les mathématiques et les sciences : la joie de comprendre et la joie de découvrir, c’est du dangereux car cela pourrait réveiller la jalousie des mobsters en chef. Ne subsistent que les matières à orientation anale et d’exploitation de son prochain : le droit privé, la comptabilité, le contrôle de gestion, le commerce vu comme art du mensonge. Telle est mon observation de ces dix-sept dernières années.

On manque des procédés de réhabilitation des complices du mobster en chef. Ils ont été recrutés comme actionneurs de la maladie du chef, pour qu’il se sente moins seul en sa folie.

Visiblement une petite faille dans la rédaction de l'époque : je ne pensais qu'au recrutement par la poltronnerie, et pas assez au recrutement par la compromission et la corruption.
Merci à Matéo qui m'a fourni la référence vers l'information manquante : comment manipuler son prochain pour qu'il se fasse le complice et le justificateur des erreurs qu'on lui a fait faire : http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=51.0 ?


Rappel :
Citation
Remerciements
...
Je remercie « Alie Boron » (c’est un pseudo), de m’avoir, dans sa joie de nuire, fourni la preuve écrite du caractère psychotique et délirant du harcèlement que je subissais en famille. Je remercie les autres faux témoins d’avoir consigné leurs délires par écrit. Sans ces preuves écrites, les crimes commis contre mes enfants seraient restés incapables d’apporter des enseignements aux autres victimes de crimes similaires, sous couvert idéologique de la guerre sexiste anti-pères.

Citation de: alie Boron
...
 Tu écrit que j'aurais dit  le 30 Mai 2004:""Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde. Pour devenir riches, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".
Qu'est-ce que c'est encore que ce délire? A cette date ta fille avait près de 30 ans!!!!!!

Je ne suis pas certain que tu saches lire. Il semble bien que tu fasses surtout semblant.
  ;)

Rappel des liens :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/carrieres_histrioniques_pervers.html
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes1.htm
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/viewtopic00cf.html
http://lacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/1000_1000_1000_1000_1000_1000.html
Alors ? 30 mai 2004, ou pas 30 mai 2004, pour tes trois exemplaires de ton "Droit de réponse" ?

Titre: Si on tire le fil de ta suggestion, alors il vient...
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 09:59:25
Citation de: Yéhou
Ta suggestion est bonne Jacques.  Mais j'imagine très mal un TJ accepter un tel rôle (aidé un jeune qui veut quitter les TJ dans sa transition vers le 'monde de Satan'...).
Mais c'est une suggestion qui mériterait une réflexion en profondeur pour l'opérationaliser.
Si on tire le fil de ta suggestion, alors il vient un critère expérimental de bonne qualité pour déterminer, à l'échelle du gouvernement d'un état, ou de l'Europe, si une secte est potentiellement dangereuse, ou accepte bien de s'intégrer dans une société laïque et saine d'esprit :
Sont-ils ou non capables de négocier et de mettre en place ces médiateurs d'aide à la sortie de la secte ? Ensuite, ces médiateurs, sont-ils corrects, loyaux et créatifs ? Ou rusés, ne pensant qu'à rouler l'autre ? Ou butés et bornés ?
Ma représentation, et j'espère qu'elle n'est pas fausse, est qu'on devrait pouvoir trouver ces médiateurs, se respectant eux-mêmes, et respectant l'extérieur, chez les Amish. Et qu'ainsi on ferait une nouvelle preuve, objective et se prêtant à une analyse comparatiste, que les TJ sont dangereux et sangsues pour leurs adeptes. Les TJ et bien d'autres encore.
Titre: Re : Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 10:00:40
Citation de: alie Boron
Inutile de donner le fil, je vais le copier-coller ici, du moins partiellement car il est trop long et en l'actualisant:

 Depuis plusieurs années je suis diffamée, insultée par un énergumène qui ne me pardonne pas d’avoir écrit, dans le cadre de son divorce, une attestation racontant ce que j’ai vu pendant près de vingt ans. Depuis j’ai droit à ses élucubrations sur plusieurs sites Internet, dont le sien.
Pour ce qui est de l’attestation, il a porté plainte pour « faits matériellement inexacts »et apportait la preuve …que j’avais sous-évalué la distance séparant nos maisons à l’époque où nous habitions la même ville de 150 mètres ! Sa plainte s’est bien sûr soldée par un non lieu, « ce dont (il) ne se remet pas depuis décembre 2002 » considérant que c’est « un déni de justice » Pour tout ce que j’ai écrit alors, j’ai fourni les preuves de ce que j’affirmais, parfois les écrits extraits des « mémoires » version 1999de Jacques lui-même .Il continue cependant de m’accuser de faux témoignage.Il a d'ailleurs eu deux "rappels à la loi". Tout témoignage qui ne lui est pas favorable est, d’après lui ,un faux , même ceux de ses enfants qui ne font que raconter ce qu’ils ont vécu.... Ils ont été manipulés qu'il dit!....
Il se présente comme un homme qui adore ses enfants qu’il ne peut plus voir car « (ils) sont victimes du syndrome d' alienation parentale » (enfants aujourd’hui âgés de 33,29 et 23 ans2/2, deux étaient majeurs au début du divorce).Voici trois passages qui montrent combien il a toujours « aimé » ses enfants : dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la mort de la tante remonte a environ six ans) aux Até, Jacques a écrit : « La nuit où tante Berthe est morte, je fus bien persuadé qu’il s’agissait de Frédégonde qui agonisait. Bon pas encore. » … Le 3.01.2004, sur Forumquebec, il a écrit : « …ma fille aînée, qui reste la plus grande honte de ma vie. ».Dans sa lettre du 28.4.2002, il écrit à sa plus jeune fille « Audowere » pour son anniversaire : « Dans trois jours tu auras 16 ans. C’est toujours un plaisir si intense, que d’écrire et d’envoyer des cadeaux à ses ennemies mortelles que l’encre fige (…) »… Sans commentaires….
 Il considère que je suis responsable des échecs scolaires de ses deux aînés . Le 10.10 .2003, il écrit à son fils (qu'en cinq ans j'ai du voir en tout à peine deux heures):« Tu as donc parfaitement exécuté le plan de destruction manigancé par Alie Boron qui triomphe ainsi dans sa joie de nuire à son prochain, de calomnier son prochain… Alie Boron qui avait implanter cette idée d’échec professionnel maximal dans la tête de Frédégonde qui t’a contaminé aussitôt. » Explication : en 1996 Frédégonde terminait sa  4ème première année universitaire, seule à « Sottenville » car ses parents étaient partis à l’autre bout de la France et ignorant ce qu'elle allait devenir à la rentrée, où elle allait se loger (ses parents rendaient la maison), comment elle allait manger(elle n'avait plus de bourse). Je lui conseillais de s’orienter à la rentrée vers un BTS en alternance car les autres portes se fermaient, solution apportant une formation reconnue, une expérience professionnelle appréciée des employeurs et un petit revenu .
Maintenant je pose une question : qui fut vraiment responsable de l’échec de ces jeunes : moi, ou l’exemple paternel ? Ces enfants ont toujours connu leur père poursuivant des études…...Il y a des gens qui poursuivent des études pour poursuivre des études, il y en a d'autres qui poursuivent des études pourse former et avoir un bon métier qui leur plait.

j'aurais dit le 30 Mai 2004:""Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde."
Et où aurais-je dit cela?

j'aurais dit aussi;"Pour devenir riche, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".... je ne suis pas une mère maquerelle et n'ai jamais conseillé à qui ce soit d'utiliser "le charme, le cul et la ruse" , au contraire!

C'est curieux, les imposteurs et les faussaires ne donnent JAMAIS les pièces originales, ni JAMAIS le lien vers les pièces originales, aviez-vous remarqué ?

Les faussaires ne vous donnent jamais l'autorisation de vérifier l'authenticité des documents, ils ou elles vous disent quoi croire et quoi penser.

Un scientifique se donnera la peine de vous donner les références détaillées des revues où l'on trouve tel résultat, y compris le numéro de page. Et le lecteur scientifique se donnera la peine d'aller chercher ces revues, s'il ne connaît pas déjà le résultat intermédiaire invoqué.

Dans les cas où l'on soupçonne une fraude, on demande au chercheur de produire la totalité de ses cahiers d'expériences, de ses protocoles, de ses brouillons. Et si on le convainc de fraude ou de bidonnage, il peut faire ses paquets, il est mis au ban de la communauté scientifique.

En injustice aux affaires matriarcales, c'est tout le contraire : les faussaires sont portées en triomphe, chaudement protégées contre les conséquences pénales de leurs actes. Hé oui, pardi ! Solidarité gynarque oblige, à la guerre sexiste comme à la guerre sexiste !

En Injustice aux affaires matriarcales, les privilèges de Libre Fraude et d'impunité de plaidoirie, sont non négociables. L'important est d'obtenir le résultat planifié : le transfert de tous les biens et de tous les pouvoirs à la femme, par tous moyens.

Evidemment, si le magistrat avait été une personne intègre et méfiante, bien sûr que Maîtresse Zantafia aurait précipitamment jeté au panier le torchon de, hem, "Alie Boron". Mais c'est très très rare, ce genre de magistrats à cet endroit là. Bien au contraire, Maîtresse Zantafia a pu promettre à Geneviève : "Je connais bien la juge, c'est une femme à nous, on peut y aller carrément, avec elle plus c'est gros, mieux ça passe !".

Puis elle a plaidé : "Le tribunal pense bien que Monsieur Lavau, qui est le seul mâle et le seul scientifique de cette audience, est donc la plus fourbe et la plus faux-jeton de nous toutes ! ... Pis en plus il est vachement violent puisque c'est un mâle, et c'est un désobéissant machiste rebelle, puisqu'il tente de contester tout ce qu'on affirme sur lui !". La juge a jubilé d'entendre une plaidoirie aussi raisonnable et convaincante... Notamment, par deux fois elle a jugé que j'habitais à Villeurbanne, puisque Maîtresse Zantafia le lui disait. Evidemment, les pièces que la juge a fait semblant de connaître pour les condamner, portaient toute l'en-tête de mon adresse à Vaulx en Velin, mais une noble juge aux Affaires Matriarcales ne saurait s'arrêter à des détails aussi patriarcaux et mesquins... Conformément à la solidarité entre avocates du même Honorable Monopole, mon avocate n'a rien fait qui eût pu gêner la stratégie du mensonge à 200% adoptée par Maîtresse Zantafia. Consororité sororale oblige, dans les rigueurs de la guerre sexiste ! Noble stratégie du mensonge à 200%, incarnée par le torchon de "Alie Boron" (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/carrieres_histrioniques_pervers.html), que vous avez l'honneur de connaître désormais.

Ça se passe comme ça, tous les jours au T.G.I. de [bwhoff, pratiquement partout en France, en fait...].


Ah oui, déroulons le sigle pour les non-initiés !
T.G.I. : Temple de Grande Inexactitude.
Titre: A l'occasion de la réouverture du dossier pénal, article 441-7 NCP...
Posté par: Jacques le 16 mars 2008, 10:01:37
A l'occasion de la réouverture du dossier pénal, article 441-7 NCP (Nouveau Code Pénal), on consultera la pièce 16, page 1 (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/tembaurain.png), et page 2 (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/tembaurain2.png).

Le théâtre de Luigi Pirandello a vulgarisé l'épreuve ahurissante, qu'est de vivre dans la compagnie d'un psychotique ou d'une psychotique. En effet, Antonietta a sombré dans la paranoïa, et y est restée jusqu'à la fin de ses jours. Elle est entrée à l'hôpital psychiatrique à la mort de Luigi.

Dans cette épreuve, assailli sous les tirs des procès d'intentions délirants, j'ai eu moi aussi à démêler l'écheveau, expérimenter pour tirer au clair l'affaire : Qui de nous deux est fou à lier ? Un seul ou les deux ? (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html) Ce chapitre de mes Mémoires est librement consultable à http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html).

Ma soeur a explosé de rage et de haine, quand elle a appris le détail des expérimentations montées pour y voir clair. J'ai déjà donné le détail des intéressants théorèmes de ma soeur, à http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?p=3907#3907 (http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?p=3907#3907).
Citation
"Et puis d'abord, tu n'as pas le droit de décrire la paranoïa de ta femme, car tu n'as pas fait d'études de psychiatrie !". Madame Soeur dixit. (Je les ai faites depuis, les études de psychopathologie).

"Et puis d'abord, oser expérimenter comme tu l'as fait, pour déterminer lequel de vous deux est fou, c'est une abominable traîtrise, comme seul peut l'imaginer un paranoïaque ! Un homme normal, quand nous le traitons de fou à répétition, se laisse docilement convaincre sans chercher à comprendre, lui !". Ce harcèlement aussi est de ma soeur. Expérimentation décrite en annexe n° 2 de l'article à http://lavaujac.club.fr/paranoia.html (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/paranoia.html).

Après avoir fait des études universitaires de psychopathologie, en Licence, j'ai écris l'article suivant : Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion : étiologie et structure d'une paranoïa. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/paranoia.html)

Le torchon qui va faire l'objet d'une réouverture de son dossier pénal, suite aux nombreuses pièces à conviction apportées depuis, hé bien ouvrons-le, car, contrairement à la criminalité organisée, je n'ai rien à cacher, moi :

(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/tembaurain.png)


(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/tembaurain2.png)


Comme cela, chacun pourra se faire une idée lui-même, sur pièces, et non plus sur rumeur savamment organisée par un complot.

Les faux témoins se sont coupées entre elles, comme chacun peut le constater lui-même, à http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/faux_temoins.html (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/faux_temoins.html).
Titre: L'accusation mensongère relève de l'article 226-10 NCP.
Posté par: Jacques le 17 mars 2008, 02:51:20
Suite du fil http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?t=478 sur Primo Vivere, au Québec.
Le scandale s'internationalise toujours...


Citation de: alie Boron
Citation:
" l'occasion de la réouverture du dossier pénal"

Non respect de l'anonymat
Diffamations et insultes
- accusation de faux et usage de faux
-Accusation de manipulation des enfants
-Accusation d'incitation à la débauche
-.............
L'accusation mensongère relève de l'article 226-10 NCP.

Que, dans le cadre de la guerre sexiste telle qu'elle se déroule au quotidien dans les tribunaux français, la loi française soit systématiquement bafouée par ceux-là même qui sont chargés de la faire respecter, est un fait public, un scandale public, que nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer.

Nous les victimes de ces dénis de justice systématiques, n'avons pas d'autre solution que d'en appeler au peuple français directement, par voie de presse, pour qu'il interpelle ses élus, et le Garde des Sceaux. Obtenir enfin que le Garde des Sceaux fasse respecter la loi aux fonctionnaires qu'il dirige.

Toi Annie, tu as persévéré dans le harcèlement sur tous les forums où j'écris. Tu as persévéré publiquement dans tes accusations calomnieuses. Tu paieras le prix de tes calomnies permanentes.

Le site http://debats.caton-censeur.org/ (http://debats.caton-censeur.org/) n'était pas en ligne depuis trois jours, en octobre 2005, que déjà tu y avais fait une recherche pour vérifier si les mots "Alie Boron" s'y trouvait. Résultat négatif...

En revanche, on y trouve une Lettre ouverte à Marie Ségolène Royal, qui a fait campagne pour une intensification de la guerre sexiste dans les T.G.I. de France (http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=37&Itemid=59). Suivie d'une Lettre ouverte à tous les candidats à la présidentielle 2007 (http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=40&Itemid=9).


Rien ne t'obligeait à reprendre ton harcèlement jusqu'ici, sur Primum Vivere, tu l'as fait, c'est un fait public, assume les conséquences de tes choix.

J'ai pris d'autres mesures pour que ce fait public soit très largement connu, et je continuerai. Le pouvoir de la criminalité organisée a pour principale limite la liberté de la presse. Tu as déjà tenté de limiter la liberté de la presse, tu as perdu en justice une première fois.

Une autre idéologue fanatique de la guerre sexiste, a multiplié les insultes et les menaces, a réclamé 11 500 euros de rançon, elle a perdu. C'est un fait public :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=57
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=27&Itemid=57
http://caton-censeur.org/resources/Harcelement_judiciaire_Helene_PALMA.html
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=71&Itemid=57

Jusqu'à présent, le crime a payé, au moins pour tes commanditaires. Oui, mais je suis encore vivant...
Titre: Pour entrer en crise paranoïaque, il faut avoir de l'inavouable à dissimuler.
Posté par: Jacques le 17 mars 2008, 07:13:10
C'est merveilleux ! Un de mes énoncés, inédit avant 2004 (j'en suis le découvreur et le premier auteur), pose un problème épistémologique redoutable : on ne voit pas comment le réfuter expérimentalement, ce qui le fait sortir du champ scientifique. Il se trouve dans le mémoire de méthodologie de la pratique en psychologie (Maîtrise de psychologie) de l'été 2004 :
 "Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien." (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Joie_de_nuire.htm)
Citation
2.      Cadre théorique : étiologie et structure.

On connaît la théorie simplifiée, selon laquelle pour fabriquer un paranoïaque, il faut et il suffit de le persécuter à l’âge favorable : pas trop tôt, pas avant l’établissement partiel des frontières du Moi, sinon vous en faites un futur schizophrène, et pas trop tard non plus, pas avant établissement total des frontières du Moi, sinon vous en faites seulement un révolté, en prise sur la réalité. Pendant et non après l’établissement d’une théorie de l’esprit des autres chez l’enfant Cette théorie simplifiée méconnaît cinq éléments, que l’expérience de terrain nous a envoyés en pleine figure :

1 -       Il faut que le persécuteur d’enfant détienne tous les moyens de la double-contrainte, et y soit imparable, très proche, trop proche : il faut que ce soit mère ou père, ou ce qui en tient lieu. Un instituteur sadique n’y suffit pas : outre qu’il arrive trop tard, il n’est pas une figure maternelle, ce qui le prive des plus puissants moyens de double-contrainte, des plus puissants moyens de pervertir les capacités logiques du jeune enfant.

2 -       Un enfant seul, cela n’existe pas, et il faut tenir compte de l’exécution par l’enfant des délires parentaux. Il est fréquent de voir des enfants endosser le délire paranoïaque de leur parent le plus puissant, sans jamais avoir été persécutés eux-mêmes. Seule la génération précédente a été persécutée à l’âge sensible, mais hélas elle dispose des moyens de faire exécuter son enfer interne par la génération suivante. C’est particulièrement spectaculaire dans les cas d’aliénation parentale (Gardner), dont nous avons enregistré des dizaines de relations toutes plus consternantes les unes que les autres, sur le forum paternet.net.

3 -       Addiction à la dissimulation : pour le déclenchement de la paranoïa complète (typiquement après quarante ans), il faut avoir un gros stock d’inavouables à cacher aux autres, et à redouter que cela ne s’ébruite. Il faut avoir un gros stock d’actions inavouables à camoufler, ou au moins d’intentions inavouables, pour avoir besoin de les projeter sur autrui, pour jouer à « Ce n’est pas moi le meurtrier, le voleur, le comploteur, c’est lui ! Haro sur Lui ! Sus sur lui ! ». [1]

C’est très efficace dans la complicité d’un mobbing, où des personnalités faibles exécutent le délire du chef, et la passion de nuire du chef. Ce sont la paranoïa déléguée, le sadisme délégué, qui aboutissent en vraie haine, de peur du risque de repentir : on a désormais trop d’inavouable à cacher, et tout risque de manifestation de la vérité vous apparaît comme persécutoire.

4 -       Narcissisme sans alternative : il faut avoir loupé, ou gaspillé, toutes les occasions d’apprendre à gérer la position dépressive, au sens de Winnicott. Paranoïaques, jaloux, avares et pervers ne connaissent qu’une seule façon de gérer une remontée de leur souffrance psychique : cogner sur son prochain – ou sur un animal, si c’est cela qu’ils ont sous la main. Ils n’ont pas appris à créer [2], pas appris à faire de la souffrance psychique une amie familière dont on peut faire jaillir de nouvelles trouvailles et de nouveaux bonheurs. [3]

5 -       Le point d’entrée dans la paranoïa ouverte est une falsification généralisée de sa mémoire biographique, avec des renversements chronologiques, avec une désorientation générale dans le temps, et avec expulsion de tous épisodes dont l’auteur est honteux, expulsion de toute espèce de culpabilité : une mythomanie organisée. Ce symptôme est aussi observable chez ceux qui ne sont que paranoïaques à titre impersonnel : serviteurs, dépendants, enfants et complices du gourou (paranoïaque à titre personnel, lui).

Concernant les autres pathologies de la perversité, le clinicien doit rechercher la haine et les causes de la haine, discerner entre les causes réelles, et les causes irréelles.

Hé oui, le point 3 dans le paragraphe ci-dessus, pose le problème épistémologique de sa réfutabilité. Où et comment trouver un paranoïaque, qui soit en mesure de démontrer qu'il est bien paranoïaque, et que pourtant, il n'a pas d'inavouable à dissimuler, dont il redoute d'être démasqué ?
 ;)

Et justement, voici une nouvelle preuve expérimentale de la validité pratique de cet énoncé. Annie détecte, à force de fouiller tout le net tous les jours, que l'on parle ici des délires enseignés par une PEGC faisant fonction de professeur de physique sans en avoir reçu la formation (ce qui n'a rien à voir avec Annie, prof de maths, elle), et aussitôt elle s'estime "diffamée, persécutée". Rappel : le message en question est Mon grain de sel, et il est à l'adresse http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?t=478 et c'est le second message.

Autrement dit, il suffit que le témoin gênant des turpitudes de la criminalité organisée à laquelle "Alie Boron" participe à titre de complice, ne soit pas mort, et risque à tout moment de réactiver la procédure pénale scandaleusement interrompue, pour que "Alie Boron" ait des réactions franchement paranoïdes, se proclame persécutée. Je les rappelle ci-dessous :
Citation de: alie Boron
Citation:
"Tu as déjà tenté de limiter la liberté de la presse, tu as perdu en justice une première fois."

Qu'est-ce que j'ai perdu? Il me semble que ce n'est pas moi qui a eu DEUX rappels à la loi.

QUI HARCELLE l'autre?  Celui qui va sur différents sites et insulte et diffame, ou celle qui va sur ces mêmes sites EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE.

Au fait, aller sur ton site, cela m'est interdit?

Citation:
"Rien ne t'obligeait à reprendre ton harcèlement jusqu'ici, sur Primo Vivere, tu l'as fait, c'est un fait public, assume les conséquences de tes choix. "
Rien ne t'obligeait non plus à venir sur ce site(qui est là pour permettre aux victimes de sectes de s'exprimer...donc sans rapport avec ton divorce)
POUR me diffamer. tant que tu n'as pas parlé de moi, je me suis contenté d'observer, mais dès que tu as écrit "Alie Boron", j'ai répndu...c'est de la LEGITIME DEFENSE.

Merci Annie d'avoir confirmé la validité pragmatique de mes modestes travaux de chercheur en psychopathologie. En fait, depuis que cet énoncé à été fait, la première fois dans "Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion : étiologie et structure d'une paranoïa." (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/paranoia.html), il n'a eu que des confirmations éclatantes, et aucun début de commencement de réfutation pratique.


Rappel :
Ce que Annie trouve être un truc qui la persécute, et qui déclenche ce qu'elle trouve être de la légitime défense :

Mon grain de sel :

Il n'est pas de croyance qui soit respectable. Cela bien qu'il puisse exister quelques maximes qui sont des mensonges efficaces dans l'action, et qui comme telles sont respectables malgré leur fausseté scientifique évidente.

Quand le psychologue Jean-Paul Garnier a conclu un séminaire d'une demi-journée (devant des cadres en chômage, en reclassement difficile), en écrivant ces trois maximes suivantes sur le tableau de papier, il n'a pas dit que ce seraient des vérités, mais que si nous les appliquions, ça irait mieux dans nos vies :
Citation de: Jean-Paul Garnier
  1.  Personne ne nous doit rien.
   2. Il n'y a que moi qui puisse changer.
   3. Qu'est-ce qui ne va pas en moi, qui fait que ce que vous faites me dérange ?

Il est facile de définir l'abus de confiance, constitué par l'enseignement de croyances contrafactuelles (contraires aux faits).
Les religions et les sectes s'abritent derrière le cri de "Liberté de croyance", pour persister à endoctriner leurs fidèles sans défense, et surtout les enfants sans défense, à leur bourrer le moût, à obtenir d'eux qu'ils nourrissent la secte et son clergé, au détriment de leur développement propre.

Mais saurons-nous commencer par balayer devant notre porte ? Chaque clergé, chaque vaniteux incompétent, cherche à défendre bec et ongles les contre-vérités qui lui tiennent à coeur, et qu'il est incapable de corriger.

Voici un extrait de la scolarité de ma fille aînée (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/au_viol2.html) :
Citation
... année scolaire 1986-87, où elle était en 5e. En ce temps-là, notre ministère de l'Education Nationale avait brusquement commencé l'enseignement des sciences physiques quatre ans plus tôt, dès la classe de sixième, sans jamais avoir prévu les flux préalables de formation de professeurs de sciences indispensables. Frédégonde a ainsi bénéficié de deux PEGC d'une haute incompétence, après une simili-formation hâtive. Le pire fut en 6e, mais je n'intervenais pas encore. Depuis, j'ai appris que son enseignement se bornait à faire recopier minutieusement des schémas d'expériences, sans faire comprendre les expériences elles-mêmes. Il avait depuis longtemps la réputation d'être tout aussi calamiteux en mathématiques  : « Celui-là, il est urgent qu'il prenne sa retraite ! Quand (mon aînée) était avec lui, je devais refaire toutes les leçons derrière lui, » précise Alie Boron, qui est professeur de mathématiques en collège. J'ai retenu que la fin de la phrase était « pour corriger ses erreurs permanentes  ! », car le contexte de la discussion entre les deux femmes portait sur les inexactitudes enseignées, mais Alie le conteste.(2)

En 5e, Madame V.t.n enseigna des rudiments de schémas électrotechniques, avec trois fautes majeures. Elle dessinait les piles avec la polarité à l'envers. Elle se trompait d'un angle droit dans les champs magnétiques et les aiguilles aimantées. Autrement dit, elle ne réalisait surtout pas l'expérience, mais prédisait sur schéma une orientation de l'aiguille aimantée, à 90° de celle qu'on observe expérimentalement. Pour prédire ainsi faux, elle confondait un bobinage à simple couche, avec le tristement fameux tire-bouchon (3). La troisième faute n'était qu'une violation des normes graphiques, et non une faute de compréhension au fond. Début novembre 1986, je corrigeai le cahier de cours, et le devoir de Frédégonde avant qu'elle le remette. Et Frédégonde en eut une mauvaise note  ! Je pris alors rendez-vous avec madame V.t.n, pour lui montrer un mémento professionnel d'électrotechnique, et lui rappeler les normes et les faits. Paniquée, madame V.t.n appela le Principal en renfort, qui se mit à me soutenir que c'était bien assez bon pour les élèves, et que c'était plus simple comme cela. Il semblerait que madame V.t.n se vengea contre Frédégonde ensuite, au long du restant de l'année - mais est-ce vrai  ? A quel âge Frédégonde a-t-elle commencé à mentir comme elle a continué à le faire ensuite  ? Je n'ai pu vérifier. Frédégonde en conçut une haine définitive, et contre la physique, et contre son père, accusé de l'avoir fait maltraiter par sa prof.

Nos enseignements sous couvert de programmes officiels, nos manuels sous couvert d'inspecteurs, sont bourrés de contre-vérités même en sciences. J'ai donné dans un autre fil un des exemples d'invocations erronées de la loi de Bernoulli (http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=538.0), et hélas il y en a d'autres, même dans les sujets d'examen.

Comment allons-nous donner l'exemple de la rigueur dans nos propres enseignements, nous enseignement public, service public ?
Titre: Si tu te fais dévorer ainsi tout cru par la première faussaire venue...
Posté par: Jacques le 18 mars 2008, 01:13:02
Citation de: biscuit
Citation de: alie Boron



QUI HARCELLE l'autre?  Celui qui va sur différents sites et insulte et diffame, ou celle qui va sur ces mêmes sites EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE.

Rien ne t'obligeait non plus à venir sur ce site(qui est là pour permettre aux victimes de sectes de s'exprimer...donc sans rapport avec ton divorce)
POUR me diffamer. tant que tu n'as pas parlé de moi, je me suis contenté d'observer, mais dès que tu as écrit "Alie Boron", j'ai répndu...c'est de la LEGITIME DEFENSE.

jacque je suis obligé daprouvé alie b car je trouve que les attaque personnelle n’ont pas leur place sur un site comme celui ci et nous ne somme pas au courant de cette guerre qui ce passe entre vous 2 mais j’ai cru voir que cela dure depuis plusieurs année faudrait régler ou enterré la hache de guerre afin de pas passé sa vie a ce la pollué un moment donné faudrait donc si faire

Si on poursuit ton idée :
Jonathan devrait enterrer la hache de guerre, et fumer le calumet de la paix avec la WatchTower qui a tué son frère.
La WatchTower va sûrement écouter ton conseil, et enterrer la hache de guerre, et fumer le calumet de la paix avec tous les témoins gênants.
Les victimes de la scientologie, vont danser joue contre joue avec Miscavige... Etc.

Je te rappelle que depuis le 10 mars, l'objet du fil était les croyances, les sectes et les religions. Dans le second message, je rappelais que nous aussi, dans l'enseignement, nous sommes chargés par les programmes et les inspecteurs, d'enseigner des croyances non fondées et indéfendables, et qu'un certain nombre d'incompétents rajoutent encore eu moins le décuple des erreurs présentes dans les programmes officiels. Que pour pouvoir lutter plus efficacement contre l'enseignement de contre-vérités monumentales par les sectes et les religions, ce ne serait pas inutile de commencer par balayer devant notre propre porte.

L'exemple donné de mépris envers les élèves, ne concernait pas la calomniatrice à gages que tu es tenté de défendre, mais une PEGC et le principal Fl..r.
Je te recopie le message incriminé :
Citation de: Jacques
Mon grain de sel :

Il n'est pas de croyance qui soit respectable. Cela bien qu'il puisse exister quelques maximes qui sont des mensonges efficaces dans l'action, et qui comme telles sont respectables malgré leur fausseté scientifique évidente.

Quand le psychologue Jean-Paul Garnier a conclu un séminaire d'une demi-journée (devant des cadres en chômage, en reclassement difficile), en écrivant ces trois maximes suivantes sur le tableau de papier, il n'a pas dit que ce seraient des vérités, mais que si nous les appliquions, ça irait mieux dans nos vies :

Citation de: Jean-Paul Garnier
   1.  Personne ne nous doit rien.
   2. Il n'y a que moi qui puisse changer.
   3. Qu'est-ce qui ne va pas en moi, qui fait que ce que vous faites me dérange ?

Il est facile de définir l'abus de confiance, constitué par l'enseignement de croyances contrafactuelles (contraires aux faits).
Les religions et les sectes s'abritent derrière le cri de "Liberté de croyance", pour persister à endoctriner leurs fidèles sans défense, et surtout les enfants sans défense, à leur bourrer le moût, à obtenir d'eux qu'ils nourrissent la secte et son clergé, au détriment de leur développement propre.

Mais saurons-nous commencer par balayer devant notre porte ? Chaque clergé, chaque vaniteux incompétent, cherche à défendre bec et ongles les contre-vérités qui lui tiennent à coeur, et qu'il est incapable de corriger.

Voici un extrait de la scolarité de ma fille aînée (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/au_viol2.html) (Attention, en raison de leur implication dans une affaire criminelle toujours pas jugée, les noms réels des personnages sont remplacés par des pseudos) :
Citation
... année scolaire 1986-87, où elle était en 5e. En ce temps-là, notre ministère de l'Education Nationale avait brusquement commencé l'enseignement des sciences physiques quatre ans plus tôt, dès la classe de sixième, sans jamais avoir prévu les flux préalables de formation de professeurs de sciences indispensables. Frédégonde a ainsi bénéficié de deux PEGC d'une haute incompétence, après une simili-formation hâtive. Le pire fut en 6e, mais je n'intervenais pas encore. Depuis, j'ai appris que son enseignement se bornait à faire recopier minutieusement des schémas d'expériences, sans faire comprendre les expériences elles-mêmes. Il avait depuis longtemps la réputation d'être tout aussi calamiteux en mathématiques  : « Celui-là, il est urgent qu'il prenne sa retraite ! Quand (mon aînée) était avec lui, je devais refaire toutes les leçons derrière lui, » précise Alie Boron, qui est professeur de mathématiques en collège. J'ai retenu que la fin de la phrase était « pour corriger ses erreurs permanentes  ! », car le contexte de la discussion entre les deux femmes portait sur les inexactitudes enseignées, mais Alie le conteste.(2)

En 5e, Madame V.t.n enseigna des rudiments de schémas électrotechniques, avec trois fautes majeures. Elle dessinait les piles avec la polarité à l'envers. Elle se trompait d'un angle droit dans les champs magnétiques et les aiguilles aimantées. Autrement dit, elle ne réalisait surtout pas l'expérience, mais prédisait sur schéma une orientation de l'aiguille aimantée, à 90° de celle qu'on observe expérimentalement. Pour prédire ainsi faux, elle confondait un bobinage à simple couche, avec le tristement fameux tire-bouchon (3). La troisième faute n'était qu'une violation des normes graphiques, et non une faute de compréhension au fond. Début novembre 1986, je corrigeai le cahier de cours, et le devoir de Frédégonde avant qu'elle le remette. Et Frédégonde en eut une mauvaise note  ! Je pris alors rendez-vous avec madame V.t.n, pour lui montrer un mémento professionnel d'électrotechnique, et lui rappeler les normes et les faits.
Paniquée, madame V.t.n appela le Principal en renfort, qui se mit à me soutenir que c'était bien assez bon pour les élèves, et que c'était plus simple comme cela. Il semblerait que madame V.t.n se vengea contre Frédégonde ensuite, au long du restant de l'année - mais est-ce vrai  ? A quel âge Frédégonde a-t-elle commencé à mentir comme elle a continué à le faire ensuite  ? Je n'ai pu vérifier. Frédégonde en conçut une haine définitive, et contre la physique, et contre son père, accusé de l'avoir fait maltraiter par sa prof.

Nos enseignements sous couvert de programmes officiels, nos manuels sous couvert d'inspecteurs, sont bourrés de contre-vérités même en sciences. J'ai donné dans un autre fil un des exemples d'invocations erronées de la loi de Bernoulli (http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=538.0), et hélas il y en a d'autres, même dans les sujets d'examen.

Comment allons-nous donner l'exemple de la rigueur dans nos propres enseignements, nous enseignement public, service public ?

Et maintenant regarde bien qui a détourné le fil de discussion, le 14 mars, pour y déverser son habituel flot d'ordures.
Je te raffraîchis la mémoire :
Citation de: alie Boron
Citation de: Jacques
D'autre part, elle était manipulée de longue date par cette voisine exceptionnellement perverse, Alie Boron.


Il y avait longtemps que tu ne nous avais pas servi ton couplet habituel!!!!
J'aurais manipulé ta gamine, comment? En lui donnant à manger quand elle avait faim?


Citation
que le premier but de son complot à long terme, était d'inciter ma fille aînée à saboter ses études au maximum, afin d'une part de prouver que ses enfants à elle étaient supérieurs, et gagnaient mieux leur vie, afin d'autre part que ses parents, mon épouse et moi-même, en fussions rongés de honte et de chagrin.
Et en quoi aurais-je incité ta fille à saboter ses études? Elle a eu le bac S avec un an d'avance, 20 en Math (coefficient8) et une mention....elle est arrivée chez moi le soir des résultats car, au lieu de la féliciter comme elle le méritait, tu lui as reproché sa mauvaise note en philo (coef2). Chez nous, on a ouvert la bouteille de champagne. C'est ce que tu appelles l'inciter à saboter ses études?
Puis elle a échoué QUATRE ANNEES de suite à sa première année universitaire, à la rentrée elle n'avait plus de bourse, plus de logement  et ne savait pas ce qu'elle allait devenir, je lui ai conseillé un BTS en alternance ce qui lui permettait d'avoir un petit revenu pendant ses études et cette formation est assez côtée sur le marché du travail... Je te signale que deux de mes enfants ont un BTS ainsi que mes deux gendres, mon fils a même passé le BTS en aéronotique par le principe de l'aternance

Qu'est-ce que tes délires ont à voir avec les victimes des sectes?

J'ai déjà signalé le samedi 15 mars, que le fil dérivait gravement. Et tu ne t'en aperçois que maintenant lundi 17 ? Moi, en tant qu'administrateur, j'interviens beaucoup plus vite que cela pour rappeler la loi, et l'exercer.
Il est vrai que je me suis donné une règle contraignante, qui m'oblige devant les autres à incarner la référence permanente, et à servir la loi contractuelle des sites.

Vous allez avoir du mal à lutter efficacement et longtemps contre les ravages et les ruses des sectes, si tu te fais dévorer ainsi tout cru par la première faussaire venue.

Moi, j'ai une demande précise à faire : cette histoire ahurissante de 20 en maths, et de 2 en philo, d'engueulade abusive, et de champagne, etc. "Alie Boron" et ses commanditaires peuvent-elles l'exhiber, ce prétendu bulletin de notes, qu'on voit si lui au moins existe ? Parce que ce fameux "bateau achetait à Toulon avec le salaire de sa femme", personne ne l'a jamais, jamais vu... Et tout le reste est à l'avenant, chez ces faussaires-là.
Titre: Truandage de six ans, une paille !
Posté par: Jacques le 18 mars 2008, 01:13:46
Citation de: alie Boron
... dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la mort de la tante remonte a environ six ans) ...
Ah oui, j'avais omis de vous la signaler celle, là, Annie vous truande de six ans, une paille !
Titre: 5 formes principales de délinquance judiciaire collectives.
Posté par: Jacques le 18 mars 2008, 06:49:10
Les cinq formes principales de délinquance judiciaire collective :

http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=24&Itemid=58

Citation
...
détaillant et articulant les cinq formes principales de délinquance judiciaire collective, c'est à dire qui s'appuient chacune sur une collectivité, ici énumérées dans l'ordre chronologique de leurs apparitions :
1 - La délinquance judiciaire de classe et/ou de caste (la plus ancienne, présente dès les origines moyen-âgeuses),
2 - La délinquance judiciaire d'Etat ou d'église.
3 - La délinquance judiciaire de sociétés secrètes, dont actuellement les plus implantées sont franc-maçonnes (nous devons y rattacher la délinquance judiciaire au profit de sectes délinquantes, par exemple la scientologie),
4 - La délinquance judiciaire mafieuse proprement dite, d'allégeance à la grande criminalité armée,
5 - La délinquance judiciaire gynarque, sexiste misandre.

Les types 3 et 4 reposent intégralement sur le secret. Par exemple la scientologie organise un cambriolage du bureau du juge d'instruction pour subtiliser toutes les pièces du dossier.

Les types 1 et 5 reposent largement sur des moyens de propagande externe, dénigrements et calomnies racistes d'une manière générale, encontre ceux qui sont désignés comme besogneux à exploiter et à spolier. Propagande contre les vilains au Moyen-âge, contre les partageux lors de la grande répression contre le mouvement ouvrier, contre les juifs sous l'occupation nazie, contre les mâles actuellement, sous la domination gynarque actuelle. Cette propagande omniprésente leur permet ensuite bafouer le principe du contradictoire à longueur d'instruction s'il s'agit de pénal, et à longueur d'audience dans tous les cas. Devant la commission d'enquête parlementaire, le procureur de Boulogne Gérald Lesigne avoua ainsi qu'ils s'étaient laissés embarquer par le mythe de la pédophilie. Avec le suicidé François Mourmand (à moins qu'il n'ai été tué différemment, par surdosage médical), la propagande gynarque obtenait déjà le score d'une mort d'homme sur 18 calomniés et 17 acquittés. C'était pour elle un échec : elle s'était habituée à des scores bien plus élevés, par ses méthodes d'assassines sans couteau, à la manière judiciaire.
...

Certains avancent l'évaluation de 30% de procédures truquées, et ce chiffre nous semble de l'ordre du vraisemblable. J'ai personnellement l'expérience de trois procédures truquées sur un total de quatre, soit la majorité.
 ...

Les lobbies et complots qui incarnent ces délinquances judiciaires collectives :

1 : Caste ou classe.


"Nous l'honorable monopole d'avocats, unis contre le reste du monde !".

"Nous les grands seigneurs et grands bourgeois, unis contre le petit peuple !"

"Nous les juristes en robe, unis contre le roi et le pouvoir politique, par la complexification croissante du Droit jusqu'à l'inextricable..."

 

2 : Etat ou église.

"Nous les carriéristes et courtisans, unis malgré nos concurrences, contre toute objection, contre tous témoins qui pourraient gêner le Prince..."

 

3 : Sociétés secrètes, sectes criminelles, francs-maçons.

"Nous les frères maçons, contre le reste du monde."

"Nous les scientologues, contre le reste du monde."



4 : Mafia, grande criminalité, trafic d'armes.


"A fatte multo malo a tutti !
Mort à qui désobéit aux chefs du gang !
"

 "Mort à qui enquête sur un crime commis par un chef d'état ami ! (ou par un favori du Prince)"

 

5 : Gynarchie, guerre sexiste de misandrie.

"Nous les avocates gynarques, nous les magistrates gynarques, nous les enquêtrices et expertes gynarques, unies contre tout sous-homme du sexe non autorisé, qui oserait résister à nos exigences !"

Ceci pour le complot interne. Quant au complot externe, médiatique :

"Nous les publicitaires gynarques, journalistes gynarques, femmes de média gynarques, femmes de pouvoir gynarques, unies pour la propagande sexiste misandre, permettant de régner sur l'entendement des juges, et obtenir facilement d'eux les dénis de justice qui servent notre domination gynarque absolue".

La faussaire ci-dessus est exemplaire des truands et faussaires protégés par les réseaux de délinquance judiciaire féminazie.

Les réseaux de délinquance judiciaire se tiennent les uns les autres par des barbichettes. Voulez-vous des exemples ? Nous en avons.
Titre: Quelle est au juste la distance entre "faire croire", et charlatanisme ?
Posté par: Jacques le 18 mars 2008, 06:37:49
Citation de: alie Boron
Inutile de donner le fil, je vais le copier-coller ici, du moins partiellement car il est trop long et en l'actualisant:

 Depuis plusieurs années je suis diffamée, insultée par un énergumène qui ne me pardonne pas d’avoir écrit, dans le cadre de son divorce, une attestation racontant ce que j’ai vu pendant près de vingt ans. Depuis j’ai droit à ses élucubrations sur plusieurs sites Internet, dont le sien.
Pour ce qui est de l’attestation, il a porté plainte pour « faits matériellement inexacts »et apportait la preuve …que j’avais sous-évalué la distance séparant nos maisons à l’époque où nous habitions la même ville de 150 mètres ! Sa plainte s’est bien sûr soldée par un non lieu, « ce dont (il) ne se remet pas depuis décembre 2002 » considérant que c’est « un déni de justice » Pour tout ce que j’ai écrit alors, j’ai fourni les preuves de ce que j’affirmais, parfois les écrits extraits des « mémoires » version 1999de Jacques lui-même .Il continue cependant de m’accuser de faux témoignage.Il a d'ailleurs eu deux "rappels à la loi". Tout témoignage qui ne lui est pas favorable est, d’après lui ,un faux , même ceux de ses enfants qui ne font que raconter ce qu’ils ont vécu.... Ils ont été manipulés qu'il dit!....
Il se présente comme un homme qui adore ses enfants qu’il ne peut plus voir car « (ils) sont victimes du syndrome d' alienation parentale » (enfants aujourd’hui âgés de 33,29 et 23 ans2/2, deux étaient majeurs au début du divorce).Voici trois passages qui montrent combien il a toujours « aimé » ses enfants : dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la mort de la tante remonte a environ six ans) aux Até, Jacques a écrit : « La nuit où tante Berthe est morte, je fus bien persuadé qu’il s’agissait de Frédégonde qui agonisait. Bon pas encore. » … Le 3.01.2004, sur Forumquebec, il a écrit : « …ma fille aînée, qui reste la plus grande honte de ma vie. ».Dans sa lettre du 28.4.2002, il écrit à sa plus jeune fille « Audowere » pour son anniversaire : « Dans trois jours tu auras 16 ans. C’est toujours un plaisir si intense, que d’écrire et d’envoyer des cadeaux à ses ennemies mortelles que l’encre fige (…) »… Sans commentaires….
 Il considère que je suis responsable des échecs scolaires de ses deux aînés . Le 10.10 .2003, il écrit à son fils (qu'en cinq ans j'ai du voir en tout à peine deux heures):« Tu as donc parfaitement exécuté le plan de destruction manigancé par Alie Boron qui triomphe ainsi dans sa joie de nuire à son prochain, de calomnier son prochain… Alie Boron qui avait implanter cette idée d’échec professionnel maximal dans la tête de Frédégonde qui t’a contaminé aussitôt. » Explication : en 1996 Frédégonde terminait sa  4ème première année universitaire, seule à « Sottenville » car ses parents étaient partis à l’autre bout de la France et ignorant ce qu'elle allait devenir à la rentrée, où elle allait se loger (ses parents rendaient la maison), comment elle allait manger(elle n'avait plus de bourse). Je lui conseillais de s’orienter à la rentrée vers un BTS en alternance car les autres portes se fermaient, solution apportant une formation reconnue, une expérience professionnelle appréciée des employeurs et un petit revenu .
Maintenant je pose une question : qui fut vraiment responsable de l’échec de ces jeunes : moi, ou l’exemple paternel ? Ces enfants ont toujours connu leur père poursuivant des études…...Il y a des gens qui poursuivent des études pour poursuivre des études, il y en a d'autres qui poursuivent des études pourse former et avoir un bon métier qui leur plait.

j'aurais dit le 30 Mai 2004:""Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde."
Et où aurais-je dit cela?

j'aurais dit aussi;"Pour devenir riche, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".... je ne suis pas une mère maquerelle et n'ai jamais conseillé à qui ce soit d'utiliser "le charme, le cul et la ruse" , au contraire!

Quelle est au juste la distance entre "faire croire", et charlatanisme ? Ou "faire croire", et duperie ? Ou "faire croire", et fourberie ?

Dans son Art de la guerre, Sun Tzu a longuement insisté sur l'art de la duperie, le rôle des espions, des faux espions chargés d'intoxiquer l'adversaire, d'autant plus crédibles qu'ils sont morts, de la force ordinaire et visible, et de la force extraordinaire, si bien dissimulée que l'adversaire n'avait pas su la voir venir.

A neuf ans en pension d'enfants dirigée de fait par l'Opus Dei, nous avions longuement eu comme aumônier un ancien de la guerre de 14-18. Quand il ne racontait pas sa guerre, il nous contait fièrement les ruses et duperies par lesquels des prêtres d'antan convertissaient les esprits rebelles : "Tu vois, même mon chien ne mangerait pas de la viande le vendredi !". Bien sûr qu'il y avait un truc, chez cet illusionniste professionnel... Le chien était dressé à refuser toute nourriture si elle était tendue avec la main gauche.

Plus haut, une calomniatrice invétérée, vous avait fait valoir que vous ne deviez surtout pas vous reporter aux preuves originales, mais qu'elle vous en ferait un bien meilleur résumé... Evidemment, elle se plante sur les faits matériels, mais elle compte que vous serez tellement naïfs, tellement assottés par vos religions d'origine, que vous n'oserez jamais mettre en doute sa parole d'évangile... La date de décès de ma tante Berthe de Corlieu, ça figure sur des actes notariés, ça... Bon, ça ne nous apprend pas si sur ce point, sa commanditaire a sciemment menti à la calomniatrice dont vous avez fait connaissance le 14 mars, ou si elle lui a menti involontairement, enfargée dans ses délires de paranoïaque enrichie par le charlatanisme, ou si "Alie Boron" s'est inventée toute seule une chronologie farfelue.

Quand ladite .nn.. B...r..n, alias "Ambre", alias "Alie Boron" fait croire à Jonathan, qu'elle n'est qu'une personne privée, n'ayant pas de vie publique, elle ment sciemment. Durant des années déjà, agissant en gang avec un autre truand protégé et sur quebec-politique.com, et sur http://www.forumsospapa.org/phpBB2/, Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/DOUHAIT Jean-Paul/vendredi, ils m'ont tous deux couvert d'insultes calomnieuses. C'est sa vie privée, cela ? Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/DOUHAIT Jean-Paul/vendredi s'en est assez vanté. Voir son aveu à http://deonto-famille.info/index.php?topic=44.0 où vous trouverez aussi les liens sur les enregistrements directs.
Je n'ai pas encore mis en ligne les enregistrements mettant en évidence leur travail en équipe de harcèlement, en gang comme vous dites en québécois, mais je les ai ici en stock, prêts à être déployés.

Vous qui avez vécu de l'intérieur le système de mensonges que la WT déploie, pour vous maintenir à son service, leurs ruses pour vous interdire toute culture sérieuse, toutes études supérieures, vous qui découvrez le système de mensonges pratiqué par la secte de scientologie, pour exploiter ses crédules esclaves jusqu'à l'os, ça ne vous chatouille pas, le système de mensonges de ces gangs du brigandage familial ?

Depuis la conclusion de mon premier article paru, dans Le Nombre, une hydre à n visages, j'ai toujours insisté que pour être vraiment scientifiques, nous devions emprunter à nos voisins psychiatres un concept central, celui d'épreuve de réalité.

Les religions et les sectes, et les charlatans politiques, rivalisent de ruses pour vous faire croire ce qui les arrange, et pour vous priver d'épreuves de réalité, épreuves dont ils ont tout à redouter pour leurs tissus de mensonges.

J'ai rapporté plus haut l'explosion de rage d'une charlatane qui m'est proche, ma soeur, quand elle a appris que j'avais monté des expériences pour en avoir le coeur net, discriminer qui de mon épouse ou de moi-même était fou à lier. Hé oui, quelqu'un qui ose douter et expérimenter, risque de restreindre le champ de domination d'une despote, qui ne repose que sur sa ruse et son effronterie pour imposer aux autres leur soumission à ses délires propres... Intolérable à une narcissique, imbue de sa supériorité naturelle !

Les charlatans haïssent que vous ayez des épreuves de réalité : les épreuves de réalité menacent leur empire d'illusionnistes.

Sur le forum où Jonathan et moi-mêmes nous sommes rencontrés, ils tournent en rond autour de "Peut-on prouver la non-existence des divinités ?" C'est volontairement troussé pour être un piège de mots insoluble.

Ça ne leur plait pas, que je rappelle que je n'ai rien à foutre de ces pièges de rhéteurs. Il me suffit de constater que les vendeurs de divinités ont tous été individuellement pris en flagrant délit de mensonge, au service de leurs propres intérêts. Point final.
Titre: Re : Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :
Posté par: Jacques le 28 décembre 2008, 12:37:35
Voir Annie Beaurain à partir du 14 mars 2008 sur Primo Vivere (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/Sectes_croyances_religions.html), site québécois consacré à la lutte contre les sectes, en particulier les Témoins de Jéhovah. Jonathan leur doit la mort de son frère.

Titre: Re : Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :
Posté par: Jacques le 07 novembre 2009, 10:56:42
Annie Beaurain et Jean-Paul Douhait en festival commun sur Québec Politique :

Voici les 58 messsages de Jean-Paul Douhait sous le pseudo de "vendredi" sur Québec-Politique :

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque20novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque27novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque30novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque5fevrier2009.htm

Et voici les 70 messages d'Annie Le Sénécal épouse Beaurain, sous le pseudo "ambre" sur le même forum de Québec-Politique :

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque8janv2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque27janv2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque14octob2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque4decemb2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque14fevr2008.htm

Mais du coup, vous ne les voyez pas ensemble, vous ne voyez pas leur travail d'équipe. Alors admirez-les attaquer de façon coordonnée :

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_1.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_2.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_3.htm

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_1.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_2.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_3.htm

Vous pouvez trouver ces trois dernières pages à l'adresse d'origine :
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188&st=0&sk=t&sd=a&start=15
et http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188&st=0&sk=t&sd=a&start=30
car celles-là sont en accès libre.  Les autres requièrent une inscription au forum.

Vous trouverez encore trois agressions par Annie Beaurain alias "ambre" à l'adresse  http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=23&t=14422
et une explosion de haine par la même, à
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=22&t=8070
Titre: Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope, contre Annie Beaurain.
Posté par: Jacques le 21 octobre 2014, 08:50:54
Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope.

Levons un piège pour celui qui contrôlera au registre des sloughis de France : Miss était enregistrée sous le nom de "Lmissou", puisque son année de naissance était celle des L. Mais ce n'était que pour le papier, à l'oral elle conserva le nom donné par son premier propriétaire.

Un soir, papa rentra tout joyeux : "J'ai trouvé une levrette !". De fait, c'était une sloughia de deux ans ; son propriétaire l'avait ramenée d'Algérie, peut-être comme militaire de la dernière heure, voire comme coopérant ou opérateur pétrolier. Ses nouvelles conditions de travail et de logement à Paris ne lui permettaient plus de la garder. Date ? Probablement l'automne 1963, au plus tard l'hiver 1964. En tout cas, été 1964, quand j'étais GO moniteur de voile à Santa Giulia, Georges, Anne, Florence et Miss partirent en Italie, Georges prêta sa plume à Miss, pour me décrire son aversion pour la niche à roulettes (cette 203 grise, immatriculée 629 HA 38).

Pages 194-195 Roucayrol
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/slougjhi1.jpg)

Deux couleurs sont admises au standard du sloughi : beige et bringé. Elle était beige. En embobelinant le propriétaire, Anne réussit à ne rien payer, que c'était une affaire d'adoption, et que Miss serait fort bien traitée. De fait, elle s'adapta bien à sa nouvelle famille, et était totalement silencieuse en appartement. Nous n'avons découvert sa pleine voix qu'au Brusc, où elle se révéla gardienne, et aboyait d'une voix profonde à chaque fois qu'un baigneur ou un pêcheur passait dans le chemin en contrebas de la maisonnette.
Quand Miss, chienne propre, avait attendu la rentrée des maîtres, papa qui la sortait en urgence rapportait qu'elle avait fait un long Missipipi dès qu'elle était arrivée sur le trottoir.

Pages 196-197 Roucayrol
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/sloughi2.jpg)

L'admiration était générale pour l'élégance de la chienne, et ses performances sportives. Un soir où c'était lui qui la sortait quai Branly, papa rapporta qu'un propriétaire découpla son boxer, pour que les deux chiens jouent ensemble. Le boxer était massif, et laissé sur place ; bientôt il fut hors d'haleine, immobile et haletant, tandis que Miss continuait à lui virevolter autour, à lui sauter par dessus, encore en pleine forme.

Miss ne se couchait jamais sur son coussin de velours vieux rose, sans le piétiner soigneusement en rond, pour aplatir les hautes herbes dures de sa savane sèche d'origine.
L'instinct chasseur était évident chez les sloughis. Les mouches en faisaient les frais, elle les happait. En forêt, Miss gémissait au pied de l'arbre ou un écureuil lui échappait. En forêt de Fontainebleau, le jour où papa rejoignait chez Georges Suffert d'autres membres du Club Jean Moulin, Miss creusa frénétiquement le sable, à la recherche de quelque animal au fumet appétissant. Je m'inquiétais pour la fragilité de cette forêt sur sable, à la végétation précaire. Chez les Du Saut, Miss gémissait aux pieds de Maylis, pour qu'elle lui donnât le hamster, dont la cage avait été posée sur la cheminée, hors d'atteinte de Miss. Maylis était cousine d'Anne côté Compeyrot.

Couverture Roucayrol
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Roucayrol1.jpg)

Je désapprouvais l'installation de Miss, bien assise sur le canapé de style. Partagé dans mes sentiments, je l'engueulai dans la sorte d'allemand que pratiquait Charlie Chaplin dans son rôle du grand dictateur Hinkel, tout en m'asseyant aussi sur le canapé, avec de la lecture dans les mains. Pas démontée pour si peu, Miss tourna la tête, et m'appuya la joue gauche d'un grand coup de langue.
Point si bêtes, les bêtes, point si bêtes que beaucoup d'entre nous...

Adoptant sa nouvelle meute humaine, Miss gardait ses soucis de bonne gardienne de la meute : Un matin, Anne, Miss et Florence descendent ensemble, vont ensemble chez la marchande de journaux, puis se séparent, Anne vers des approvisionnement vivriers, Florence vers son lycée, Victor Duruy. Miss pile net : Mais tu en perds une !

Chienne affectueuse, et comme tous les chiens soucieuse d'élargir son cercle d'alliances, Miss appuyait volontiers son arrière-train sur les genoux de la personne qu'elle appréciait. Ainsi apprécié, Claude du Saut appréciait beaucoup moins, et tâchait d'en décourager Miss.

J'ai eu du mal à être certain que couple du Saut était présent lors de ce qui fut le chant du cygne de la vie mondaine du couple parental, avant qu'ils se déchirassent pour toujours. Il y avait là Léo Hamon et sa première épouse, un certain Michel Allio qui tenait un poste au ministère de l'Education, et se signalait par son cynisme social ("Il ne faut pas donner les diplômes universitaires à ceux qui ont bien appris, mais à ceux qui réussiront"), Jean et Suzon Esmein, une certaine "Io Ségalène", que connaissaient Georges et Anne, et les Esmein, probablement depuis leurs années de Fac. Date ? En tout cas avant la présidentielle de 1965. Claude du Saut et Maylis étaient bien là, puisqu'il critiqua mon chaussage peu mondain : des sandales de cuir.

Plutôt taciturne, la première épouse Hamon jeta un froid sur les ondoyantes et enveloppantes manifestations rusées de Léo Hamon, en répliquant d'un "De Gaulle ? Il nous emmerde !". Au contraire, Io Ségalène était pleine d'assurance exubérante, pour ne pas dire envahissante. Io Ségalène trouva amusant de me tirer la barbe en guise de congé, Suzon Esmein garda longtemps le souvenir amusé du formidable coup de pied au cul que la dame Ségalène faillit bien recevoir comme réponse à son impertinence. Miss et son tapis au centre du salon, fit fête à chacun durant toute la réception après repas.

Quand Miss avait ses chaleurs au Brusc, la nuit tous les chiens à cinq kilomètres à la ronde venaient pisser et caguer sur la terrasse ; c'était charmant... Emmerdant.

Bientôt Anne se soucia de faire Miss se reproduire. Georges était beaucoup, beaucoup moins enthousiaste.

Le premier mâle sloughi candidat fut apporté par le domestique du général de Guillebon. Guillebon avait été l'un des officiers de Leclerc qui avaient foncé sur Paris, au secours de l'insurrection qui tenait tête aux troupes occupantes. [Rachid ?] était lui aussi fort élégant, de taille modeste, probablement inférieur en taille à Miss, de robe bringée, et fort excité par elle. En vain, Miss n'en voulait pas du tout. Il était du reste assez âgé.

Anne prit alors le train avec Miss, trouver un autre étalon vers Bayonne ou Anglet. Khalife était un sloughi fort indépendant, de robe claire, de belle taille. Des amis dirent à son propriétaire qu'il était dimanche à telle plage du Pays Basque. Non, ce jour là, il était à telle autre, à vingt kilomètres de là. "Mais pourtant, on a vu votre chien !" ; hé oui, il était comme cela, Khalife, peu dressé, mais avalant les kilomètres par dizaines pour le plaisir. Miss l'accepta immédiatement.

Une nuit de fin d'hiver ou de début printemps 1966, Miss mit bas huit chiots à lourde tête, qui rampaient en gémissant aigu, à la recherche de la tétine. Florence se réveilla à temps pour voir naître le dernier, et voir Miss avaler le dernier placenta. Nous fûmes tous mis à contribution pour le biberon, tâche bien peu récompensante, désespérément inefficace. Le printemps 1966 arrivait, et Anne partit au Brusc avec les neuf chiens. Réticente à se séparer d'aucun chiot, Anne avait trop tardé à placer les annonces dans les bonnes revues, et très vite les chiots furent trop âgés pour être vendus dans de bonnes conditions, aucun n'était correctement dressé. Et ça bouffe, un sloughi en pleine croissance !
Deux mâles : Patchouli et Pandour. Deux des femelles étaient blanches : Pôlaire et Palmyre, une couleur considérée comme défectueuse au standard du sloughi. Trois nom de femelles m'échappent à présent, quarante-huit ans plus tard. Tout ce qui n'était blanc était fauve, aucun bringé.

Quand en septembre 1966, je suis arrivé de Loctudy au Brusc, trois chiots de six mois restaient invendus : Pénélope, Pôlaire, Patchouli, pratiquement à taille adulte. Tout l'espace de terrasse couverte était devenu chenil, entouré de grillages informes. Ils étaient connus de tout le pays : curieux, ils visitaient tout ; farouches, ils ne se laissaient jamais approcher, ils sautaient assez haut pour ne se laisser jamais enfermer.
Bientôt est venu le temps de rapatrier ces quatre quadrupèdes à Paris, moi et Anne, Florence et Georges étant rentrés par le train.

Prévoyant les vomissements, Anne ne leur donne rien à manger le matin. Je ne sais plus si elle avait pensé à des cachets de Nautamine, et de toutes façons administrer des cachets à un jeune chien non dressé, ça n'est pas de la tarte. Miss, Pénélope et Patchouli sont enfermés dans la voiture, mais Pôlaire s'est  échappée, a couru à la décharge, y a bouffé du poisson pourri et s'est roulée dans la merde. Il faut rouvrir l'eau, prendre une grosse douche avec Pôlaire pour lui rendre sa blancheur naturelle, la sécher, tout boucler et partir. La banquette arrière (encore 203 ? Ou 403 ?) n'a jamais été prévue pour la stabilité des quadrupèdes en grand nombre, très vite ils sont malades, et me vomissent affectueusement dessus, entre la chemise et la peau. La chemise, je peux vous préciser laquelle : une chemise de toile de coton, de mer, achetée chez Le Rose à Concarneau, de couleur brique.

Malgré mes demandes, Anne ne s'est arrêtée qu'au Camp où à Cuges, un large mail avec fontaine, où j'ai enfin pu me laver, et où on a copieusement lavé l'intérieur de la voiture, sans que les chiens, ayant perdu tout repères familiers, ne songent plus à s'échapper dans l'espoir de retourner au Brusc. Je crois qu'on s'est arrêtés dormir à Corenc, se faisant accorder l'hospitalité par le vieux couple Flandrin, mais mon souvenir n'est pas sûr.

Anne était enchantée des chiens à Paris : enfin des clients enthousiastes pour sa cuisine ! Sitôt qu'elle annonçait que leurs gamelles étaient prêtes, galopade de griffes glissantes sur le parquet, engloutissement rapide de la moitié de l'écuelle, puis bagarres pour aller plutôt voir l'écuelle du frère ou de la soeur.
Quand on sortait la meute, on avait dans la main une patte d'oiseau : trois jeunes tiraient avidement vers l'avant, et Miss se faisait traîner par les oreilles. Très peureux toujours, et il suffisait d'un pot d'échappement ou d'un gamin qui tapait un mur avec un bâton, pour les faire bondir en fuite. Je suis le seul qui ne les ai jamais suivis sur le ventre et les coudes ou sur les fesses. Florence ne faisait pas le poids, et a été culbutée souvent. Papa, plus grand et plus lourd que moi, a été culbuté deux ou trois fois, et Anne, on renonce à compter.

La spécialité de Pénélope, de loin la plus intelligente des trois, était de jouer avec l'eau jaillissant des bouches d'arrosage de caniveaux. Le superbe, grand et fort Patchouli s'est signalé en aboyant très fort contre le facteur, avant de courir se réfugier sous le canapé. Sens très aiguisés, il dressait l'oreille à la moindre manifestation d'un chien sur l'autre rive de la Seine. Entiché de culture, il m'a soigneusement dévoré le petit dictionnaire français-russe, le Pototskaïa ; le sage chiot !
D'un naturel optimiste et confiant, je persistais à les découpler sur le quai, pour les laisser courir à leur naturel. Bientôt, par la passerelle, Patchouli et Pôlaire étaient sur la rive droite, Pôlaire se flanquait à l'eau pour ne pas être reprise, mais ne parvenait à remonter que quand je lui montrais l'escalier où elle pouvait reprendre pied. J'ai assez vite compris que ces sauvageons n'étaient pas lâchables.

Très dépendante, Pôlaire guettait toute friandise, réelle ou présumée. Un soir, la voilà toute tremblante et flageolante, incapable de tenir debout sous la table : elle avait attrapé un tube en aluminium contenant des médicaments, un calmant, et l'avait soigneusement mâchouillé. Téléphone pour trouver un vétérinaire, et il faut traverser le Champ de Mars en diagonale, avec Pôlaire sur mes épaules. Il l'a fait vomir et a donné un antidote par piqure. Pôlaire a pu revenir sur ses pattes flageolantes. Mes épaules étaient douloureuses.

Quand au 5e étage, les chiens entendaient dans la cour le cliquetis de chaîne de ma mobylette, puis le bruit de la béquille avant que je la rentre au garage à vélos, leurs queues faisaient des moulinets, et quand je passais la porte, je les avais tous les trois en fête autour de moi, leurs queues battant les murs et les meubles. Georges et Florence en étaient presque jaloux. Florence expliqua : "Tu es toujours gai, et tu les sors toujours, dès que tu arrives".

Un dimanche, Anne me met à contribution pour emmener les chiens à une course de chiens près d'un château dans les Yvelines : grands lévriers et whippets. Après les courses, les organisateurs testent ce qu'on peut tirer de nos sloughis : impossible de les intéresser au leurre, ils se désintéressent durant la course et se dispersent à chercher d'autres intérêts. Au bout de plusieurs insuccès, un des instructeurs me prend à part : "Vous devriez expliquer à votre femme... - Ma mère. - Oh pardon !"
Ce fut la dernière fois qu'Anne réussit à m'incorporer à ses loisirs organisés de femme savante, ou d'éleveuse de sloughis. Papa prenait ses distances, mais n'était pas encore parti, Florence prenait ses distances, mais n'était pas encore partie, ça n'allait plus tarder.

Un an plus tard, en 1968, Patchouli était donné, il mourut d'une boulette empoisonnée. Pénélope eût le même sort. Pandour était mort de la même façon. Pôlaire rejoint sa blanche soeur à l'Hôtel d'Angleterre, à Mamers.
En septembre 1971, jeunes mariés dotés de la vieille aronde de mon beau-père, nous sommes passés à Mamers, et avons demandé à voir Pôlaire et Palmyre. Elles étaient attachées sous l'escalier, folles de terreur et de mauvais traitements, inapprochables. Palmyre ne m'avait connu que quelques courtes semaines à la naissance, mais Pôlaire avait passé deux ans avec moi ; Pôlaire non plus ne pouvait plus reconnaître personne. Folles à lier, féroces, hurlantes, donc gardiennes... Voilà qui suffisait aux propriétaires de l'hôtel.

Quelques années plus tard, coup de fil d'Anne : "Miss est morte". Rude coup pour Anne, qui n'avait plus que Miss au monde, Miss, grande vieillarde.

Dans Le Livre du chien, premières éditions, Anne de Corlieu-Lavau, 22 rue de Monttessuy, Paris 7e, est l'une des deux (édition 1969) puis quatre (édition 1974) éleveurs de sloughis répertoriés.
Toutefois, la seconde portée de Miss fut de bâtards ; "Oh madame! Vous faites tout de travers !" lui dit on au Club du sloughi.

4e de couverture Roucayrol
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Nabis

Ensuite, dans le ménage Lavau-Letellier nous avons eu trois chiens. Le premier n'a pas duré un jour avant que Geneviève le retournât à la SPA : nous n'étions prêts à aucune des patiences nécessaires. Le troisième et dernier fut un beauceron nommé Nabis, ce que Bertrand prononça papiTA. Cet animal avait dû être maltraité dans sa vie antérieure, et il nous causa énormément de dégâts, ne supportant pas la solitude. Il fut impossible de le confier à quiconque : affolé, il devenait féroce. Ses relations sociales avec les autres chiens étaient problématiques : il s'avançait en remuant la queue mais le poil du dos hérissé, puis se jetait sur l'autre chien pour le rosser ; il fallait anticiper, après plusieurs expériences calamiteuses de ce genre.

Mordu une fois à la joue, Bertrand ne conserva aucune rancune à Nabis, et jouait avec adoration avec lui, tous deux couchés au salon ; Bertrand, couché sur le dos, caressait les oreilles de Nabis.

Pâques 1983 (premier trimestre de mon travail avec Stargil, alors sur le campus de dans le laboratoire de l'INSA), je résidais en sous-location avenue de la Chalotais, à Rennes, et Geneviève m'y rejoint avec trois enfants et Nabis : Cécile, Bertrand et une copine de Cécile, probablement Géraldine, la petite-fille de nos voisins d'en face dans la rue de l'Est, les vieux Motelle. Ou peut-être Vanessa Beaurain ? Le temps de monter tous ces enfants et leurs bagages, elle avait laissé Nabis en bas, attaché à un réverbère. Par la fenêtre ouverte, nous entendîmes un jeune couple s'intéresser à lui et le prendre en pitié, avant de se faire mordre. Il était temps d'aller le chercher et le monter dans le petit appartement.

Ultérieurement, suite aux caprices et destructions opérées par Michel Laquerbe, tout le laboratoire de Stargil déménagea en juin 1983 sur l'usine de Saint-Méen le Grand, et je trouvai rapidement un T5 en HLM sur place. Aidée par Georges Prault, Geneviève arriva bientôt avec le C35 plein de meubles sommaires et de livres. Elle me conta ultérieurement avoir tenté d'égarer Nabis en forêt durant le voyage (aller ou retour ?), mais en vain : ce chien explorateur nous restait attaché et fidèle. Avec son cynisme et son inconscience, Geneviève concluait : "Je lui ai donné sa chance, tant pis pour lui !".

Lors d'un départ en vacances Geneviève (1984 ?) remit Nabis à la SPA, comme trop dangereux pour l'entourage, et il est plus que probable qu'il fut rapidement condamné à l'euthanasie.

Une fois, Geneviève était malade, et devait recevoir des piqures quotidiennes d'une infirmière. L'infirmière sonne, et petit pot à tabac bourru, me bouscule pour foncer vers l'escalier ; je reste immobile et interdit, mais à l'autre bout du couloir, Nabis voit la scène différemment et mord l'infirmière en haut du fessier. Huit jours d'arrêt pour l'infirmière, qu'il a fallu indemniser. Heureusement la MAIF y a pourvu, car c'était largement au dessus de nos moyens.

Voici toutefois comment le 13 août 1998 (soit quatre semaines après que les deux tentatives d'assassinat par sabotages de freins aient échoué toutes deux), Annie Le Sénécal épouse Beaurain recrée cette scène à sa façon :

Dorca, chienne de défense
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Chienne mollets
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Et le reste de ses délires est à l'avenant, les choses se passent comme cela, au Féministan judiciaire, paradis de la fraude et du mensonge :

Timbre Zanetti, Beaurain
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/timbre_Zanetti_Beaurain.png)


Faisant mine de vouloir me défendre contre l'assaut de calomnies par le gang Geneviève-Cécile, gang mère-fille, Anne ne souffla jamais un mot de l'invraisemblance de ce délire de chienne de défense, et d'attaque à mes mollets. JAMAIS.
La seule chose qui intéressait Anne dans son interprétation du genre littéraire "Attestation dans un cadre judiciaire", était que cela lui fournissait l'occasion d'exprimer sa supériorité personnelle sur tous ces manants, son fils inclusivement, puisqu'il avait commis la mésalliance d'épouser Geneviève Letellier. Et en plus, son fils n'était qu'un mâle, donc le coupable par définition, guerre sexiste de misandrie oblige.

Pour mieux marquer en quel mépris Anne tenait son fils, elle envoyait tous ses courriers directement à l'avocate, Brigitte Prudhomme, afin que je ne puisse pas lui dire de revoir sa copie, pour cause de tel et tel et tel et tel défauts rédhibitoires.

Florence Lavau, ma soeur, consacre six pages à démontrer combien elle est supérieure à son frère, sans jamais l'aider en quoi que ce soit. Jamais une ligne ni de Florence ni d'Anne ne fut citée par mon avocate. C'est dire...

A suivre et compléter.

Voir aussi :
Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien. Mémoire universitaire inclus dans la Maîtrise de psychologie cognitive, 2004. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Joie_de_nuire.htm)
Extrait : "Je remercie « Alie Boron » (c’est un pseudo), de m’avoir, dans sa joie de nuire, fourni la preuve écrite du caractère psychotique et délirant du harcèlement que je subissais en famille. Je remercie les autres faux témoins d’avoir consigné leurs délires par écrit. Sans ces preuves écrites, les crimes commis contre mes enfants seraient restés incapables d’apporter des enseignements aux autres victimes de crimes similaires, sous couvert idéologique de la guerre sexiste anti-pères." Où il est transparent que "Alie Boron" n'est autre que l'auteure citée ci-dessus, Annie Le Sénécal, épouse Beaurain.

Voir aussi :
Des carrières de pervers histrioniques dans le crime organisé: Alie Boron, Jeanpapol, et les autres.
Tss tss ! Tu dénonces ton complice, à présent ? article qui lui aussi cite ou référence de nombreux écrits d'Annie Beaurain.

Voir aussi :
Des carrières de pervers histrioniques dans le crime organisé : Alie Boron, Jeanpapol... " version longue, dont des photos de moi-même avec d'autres très grands chiens, de garde. Citation :
Que me reste-t-il alors ? Des photos peut-être ? En voici quatre, prises chez un de mes élèves, avec Cheyenne et Oscar :

Cave Canem !
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Cave_canem_r.jpg)
Ça, c'est le portail. Pas de sonnette : les chiens font l'affaire.

Maintenant voici Oscar se faisant flatter :
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/cheyenne1_r.jpg)
Oscar se fait caresser.

On ne le voit pas sur la photo, mais ce sac vert et rouge est largement réparé par moi : boucles cassées et réparées, bretelles réparées. Il avait été acheté 30 F en 1995, soldé gâté par l'inondation. Bin oui, quoi, l'homme entretenu par nous-les-femmes...

Cheynne et Oscar en affection
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/cheyenne2_r.jpg)

Cette fois Cheyenne et Oscar sont tous deux sous un de mes bras.

Et maintenant on voit le museau de Cheyenne, bergère allemande.
Chiens affectueux
(http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/cheyenne3_r.jpg)


Les faux témoins se contredisent entre elles. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/faux_temoins.html)


Plan de la monographie "Mission parricide" (http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/index.html)
   
Et la Reine-Mère s'enfonçait dans son délire... (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/Delire_charlatane_Reine-Mere.html)
   
Le lien organique entre délire et pouvoir. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Quatre_degres_croyance.html)

Quand la Reine-Mère se vantait de protéger la criminalité féminine. (http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.html)
   
Georges Lavau, ironiste détesté par les vaniteux. (http://lavaujac.club.fr/Fam_Lavau/ironiste_deteste_par_vaniteux..html)