Le plus étonnant est que sur son site, quand il parle de ses filles, ou leur laisse fictivement la parole, Jean-Paul n'est pas fou.
http://www.cassidile.fr/Accueil/sous_menu_annees.htmlCertes ses plaisanteries sont lourdes, certes il se réserve invariablement un beau rôle glorieux, certes il reste vaniteux et vantard, mais il n'est pas fou. Au moins sous réserve qu'il conterait la vérité, sans passer sous silence divers pétages de plombs ; or il ne nous a pas habitué à ce qu'il dise la vérité, loin s'en faut...
Admettons-le provisoirement : quand il s'occupe de ses filles en leur présence, Jean-Paul Douhait n'est pas fou.
Tandis que quand il est privé de ses filles, et en insomnie éventuellement alcoolisée, ça donne ça (là son pseudo était "tsts mouche") :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=246.0 ...
Or nous savons à quel point l'échange entre générations est bidirectionnel, contrairement à la légende propagandée autour des tribunaux, par des margoulins qui agitent leur argumentaire de
L'intérêt de l'enfant. Dominique Ginet formulait cela ainsi : "
Les bébés sont les psychothérapeutes les plus talentueux au monde. Ils savent faire exactement ce qu'il faut pour que leur maman soit heureuse et rééquilibrée."
Donc quand il a ses filles, Jean-Paul leur emprunte leur santé mentale.
Peut-on renverser la proposition ? En d'autres circonstances, Jean-Paul Douhait emprunte-t-il la folie du gang dirigé par mon ex-épouse, Geneviève ?
C'est plus que vraisemblable, et il l'a amplement prouvé, mais il reste la question : pourquoi ce besoin d'emprunter cette folie-là précisément ?
Il faut revenir au début, à ce 11 février 2005, où Jean-Paul Douhait se rêvait une carrière de gourou en empruntant le sadisme et les justifications du sadisme d'Arthur Janov. Admirez son sadisme à l'égard de Pierre B. :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/guerre_privee_vaniteux_Jeanpapol.htmlPlus exactement, il n'a emprunté à Janov que les justifications à la pratique sadique, et l'espoir d'en faire gloire et fortune. Il était déjà pervers et sadique avant, par éducation, par tradition familiale.
Ils sont comme cela, les histrioniques, toujours en représentation théâtrale, car ils ne savent rien d'autre que de jouer des comédies empruntées à l'air du temps. Pas d'ossature, pas de statue intérieure, pas de constitution morale, juste un entraînement à des relations biaisées, toujours entachées de fraudes et duperies.