Professionnelle de la haine sexiste, se proclame victime des sites où s'expriment ses victimes...
http://www.aufil.ulaval.ca/articles/haine-ligne-203.htmlLa haine en ligne
Louise Langevin, professeure à la Faculté de droit, a étudié le discours des sites Internet antiféministes
Par Renée Larochelle
Demandez au commun des mortels si des propos diffamatoires et haineux contre un groupe de personnes ont leur place sur le Web et il est fort probable qu'il vous répondra par la négative. Pourtant, on trouve actuellement sur Internet des sites antiféministes dont le contenu fait dresser les cheveux sur la tête. Les auteurs de ces sites sont des groupes de défense des droits des pères et des hommes qui affirment eux-mêmes vouloir défendre leurs droits. S'y retrouvent des termes comme «féminazisme», «fémididacture», «Féministan» (un rapprochement avec l'Afghanistan), pour ne citer que ces exemples. Les femmes y sont traitées de «connasses», d'«imbéciles», d'«immatures» et de «cupides». Cependant, le flou juridique entourant la définition même de propos discriminatoires et haineux selon la Charte des droits et libertés de la personne du Québec fait qu'il est difficile de porter plainte contre les auteurs de ces sites. Le Code criminel ne protège pas non plus les femmes contre la propagande haineuse. En revanche, la Loi canadienne sur les droits de la personne propose un recours afin, entre autres, de faire fermer ou corriger des sites Web qui propageraient un discours susceptible d'exposer les femmes à la haine et à la discrimination.
C'est ce qu'a constaté Louise Langevin, professeure à la Faculté de droit et titulaire de la Chaire d'étude Claire-Bonenfant sur la condition des femmes, au terme d'une recherche portant sur cinq sites Web québécois et francophones se disant dédiés à la promotion des droits des pères et des hommes et à la dénonciation du féminisme. «Par définition, un site antiféministe présente des réactions d'hostilité et de ressentiment explicite face au féminisme et à l'égalité revendiquée par les femmes, souligne Louise Langevin. À cet égard, Internet constitue un puissant outil de communication, facile à mettre en ligne, sans contrainte géographique et financière, permettant de communiquer avec les membres actuels ou d'en recruter de nouveaux.»
Une image dégradante
Première caractéristique de ces sites: le féminisme serait la cause de nombreux problèmes sociaux comme le suicide chez les hommes, la dénatalité, le décrochage scolaire et la perte des valeurs chez les jeunes, l'éclatement de la famille, le taux élevé de divorce, derrière ces propos se profilant l'idée que «c'était mieux avant». Certains sites sont plus subtils que d'autres et reconnaissent que le féminisme a été utile dans le passé et que les hommes doivent s'inspirer du combat des femmes dans leur lutte. Seconde caractéristique: la désinformation, où sont remises en question les statistiques portant sur la violence faite aux femmes, l'écart salarial entre les hommes et les femmes et la pauvreté chez les femmes. Troisièmement, les hommes seraient des victimes de la société matriarcale et des avancées du féminisme. «L'impossibilité pour les hommes de renoncer à la paternité est une injustice sociale, alors que les femmes, elles, ont la possibilité de se faire avorter aux frais de l'État», disent les signataires de certains textes. Dernière caractéristique: le dénigrement de la mère, de la femme et des féministes en général. C'est ce que Louise Langevin appelle la «diabolisation» de la femme, avec d'un côté la «bonne» féministe en autant qu'elle ne va pas trop loin dans ses revendications - et de l'autre la «mauvaise» féministe, celle par qui le malheur arrive.
«Les sites étudiés proposent une image très dégradante des féministes, des femmes et des mères, qui auraient pris le contrôle de la société, explique Louise Langevin. On emploie pour les désigner des épithètes qui ne seraient pas tolérées par des minorités visibles. Peut-on traiter impunément les féministes de "féminazistes"? Ne s'agit-il pas là d'un discours haineux?» Pour améliorer le choses, la juriste prône la mise sur pied de comités de surveillance sur le Web, dont la mission serait d'analyser le contenu des sites antiféministes, soulignant qu'il existe aux États-Unis certains comités de surveillance sur le Web qui examinent des sites haineux contre les Juifs. «Quand on parle de haine dirigée contre une groupe de personnes, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas faire la même chose avec les femmes», conclut Louise Langevin.
Petit-fils, fils et frère de féministes, ou plus précisément petit-fils de féministe, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, et père de [censuré, c'est indicible], soumis à plus de soixante ans de propagande misandre victimaire, je suis en mesure de répondre ce qui suit :
Le féminisme, c'est une collection d'astuces pour dénier, haïr et mépriser son prochain, toutes ensembles. Suivant la règle générale qui constate que la perversité et la corruption sont des cliquets à sens unique - tout gangster évolué, capable de corrompre magistrats, policiers et hommes politiques te le confirmera, tout agent secret en charge de la manipulation de traîtres à leur pays te le confirmera aussi : un corrompu est prisonnier de sa corruption -, le féminisme dans nos pays gavés est descendu toujours plus profondément dans l'abjection, dans la perversité, le sadisme et la fourberie dans l'intimité des familles. J'ai vu de mes yeux vu, tout au long de mes soixante-quatre ans d'existence à ce jour, la transmission de l'idéologie misandre s'inscrire dans la transmission des noyaux de délire psychotiques de mère en fille. De belle-mère en bru à l'occasion, quand le fils se révélait finalement rebelle au délire misandre inculqué par la mère, par exemple refusait de se laisser suicider dans les délais prescrits, quel que fut le poids des doubles contraintes infligées. On est folles en premier lieu parce qu'on a reçu injonction de l'être, et qu'on n'a pas été capables de résister à cette injonction, qu'on a trouvé autrefois que les avantages d'entrer dans le délire maternel l'emportaient sur les inconvénients. Et après, il est trop tard, on n'a pas les forces ni le courage nécessaires à résipiscence.
Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but premier est de justifier des crimes et délits de droit commun, de justifier des vols, des meurtres, des spoliations et des privilèges, en disqualifiant un ou plusieurs boucs émissaires. Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but secondaire est de donner une apparence de rationalité à un bagage de haine héritée et déréférencée, en quête de cibles sans danger sur lesquelles se focaliser. Autrement dit, comme tous les autres racismes, le féminisme moderne est une organisation collective de la paranoïa, et du mode pervers de déjouement collectif de la psychose partagée : une astuce pour projeter sur autrui toutes ses propres turpitudes qu'on n'est pas capables de s'avouer. Oui bien sûr, il y a longtemps, le féminisme luttait contre des inégalités. C'était il y a longtemps. Ces inégalités supprimées et renversées, le féminisme moderne milite pour renforcer ces nouvelles inégalités. Il est devenu une entreprise criminelle quand il a pénétré en force le système judiciaire, garantissant l'impunité à toutes les formes de brigandage conjugal et familial qui soient féminines.
La seule différence par rapport à d'autres racismes comme ceux moins populaires (en France) d'islamisme ou de lepenisme, est qu'il a sélectionné celle des discriminations qui échappe encore à toute sanction légale : le sexisme. Ici, l'objet désigné pour recevoir tous les ressentiments, est l'autre sexe, tout représentant de l'autre sexe qui ne soit totalement soumis et asservi. Le sexisme anti-mâles est le seul racisme qui reçoive des subventions des municipalités, des collectivités locales, des ministères.
Comme tous les autres racismes et guerres de religions, le féminisme moderne sert à nier l'individu, à disqualifier en masse tout ce qui est autre, tout ce qui est non-féminin. Tout mécréant qui résiste est automatiquement prétendu monstre symétrique, ou dans leur jargon : «
masculiniste ».
Le féminisme appartient au groupe des sectes exonuisibles, centrées sur la haine de l'exérieur, la joie de nuire à l'extérieur. Ainsi étaient aussi en Inde les Thugs, secte d'étrangleurs. Ils se proclamaient investis de la mission divine d'étrangler les voyageurs dont ils avaient capté la confiance et de le détroussser. Ils se justifiaient devant les tribunaux anglais au son de "
Mais le souffle de Kâli était déjà sur lui !". Tandis que de nombreuses sectes renfermées sont endonuisibles, centrées sur l'exploitation à blanc de leurs propres fidèles : Témoins de Jéhovah, Moonistes, Manarom, Scientologie, Krishna, etc.
Certes, si je n'étais que petit-fils de féministe, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, et père de [censuré, c'est indicible], mon échantillon serait statistiquement sans valeur, quoique j'en aie une connaissance intime dont je me serais fort bien passé. Eberlué par ces cris de haine écrits par ces fanatiques, je suis allé les observer sur leurs sites propres. Cette fois, il y a de quoi être submergé par l'ampleur du corpus d'études. Par exemple Michèle Dayras a écrit sur son site « sos sexisme » le 23/10/2003 à 06:53:30 : «
la définition du "sexisme" est la discrimination à l'encontre des femmes ! », et le 22/08/2001 à 02:02:56 : «
Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa : ceux qui n'ont pas été confrontés à la réalité et que leur petite femme chérie...conforte dans leur machisme; ceux-là ne sont pas trop véhéments car ils n'ont pas l'impresion qu'ils vont perdre le pouvoir avec tous les privilèges qui s'y rapportent. »
Fin de citation. Fautes de frappe maintenues.
J'ai aussi mis à jour un véritable "
Meine Kampf"du féminazisme : apologie du meurtre, de la mutilation, de l'esclavage et des camps d'extermination, en gynarque dans le texte. Voir les liens rassemblés sur notre ancien forum
Synpoïesis, Coévoluer et Créer, et actuellement sur
Coévoluer et créer, cela s'apprend en le pratiquant ou alternative sur Déontologie pour la famille :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0.
Quelques constantes communes chez ces fanatiques :
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1 - Une profonde désorientation temporelle, confusion des âges de la personne, confusion des générations, confusion entre l'intérieur et l'extérieur, confusion des époques entre elles, des civilisations entre elles, des continents entre eux. Il nous est alors facile d'identifier cette organisation collective de la psychose, comme un "
syndrome d'aliénation parentale" prolongé à l'âge adulte. Redit en langage de tous les jours : le syndrome d'aliénation parentale est l'aliénation de ceux qui ont été dressés à servir d'aide-bourreau, tortionnaire d'un au moins de leurs parents.
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Rappel : le syndrome d'aliénation parentale - ou en mots de tous les jours, le dressage des enfants comme aide-bourreaux d'un de leurs parents par l'autre parent, ou par des grands-parents - est une variante du syndrome de Stockholm, qui consiste à adopter la cause et le point de vue de ceux qui vous ont pris en otage ; en effet, ce sont eux qui sont manifestement les prédateurs les plus féroces, donc qui sont identifiés par l'enfant comme le contre-prédateur le plus crédible.
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2 - Toutes ces féministes, ainsi que les quelques féministes misandres mâles, dont le québécois Martin Dufresne est le plus exhibé par les sites de misandrie, mais Francis Dupuis-Déry ou Jean-Claude Saint-Amand ne sont pas mal non plus dans le genre, ont en commun de continuer d'adhérer au couple de la toute-puissance qu'ils formaient avec leur môman, de continuer jusqu'à leur mort à être l'instrument de la guerre perpétuelle de leur môman contre leur pôpa.
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3 - Une organisation narcissique fragile et ombrageuse. L'obsession de reprendre la position haute, et de ne plus jamais la lâcher. Un goût immodéré pour l'insulte. L'incapacité totale à toute réflexivité, à toute prise en compte de sa propre subjectivité, à tout retour réflexif sur sa genèse et sa biographie. La panique la plus complète et les réactions les plus violentes dès qu'une remise en cause réflexive leur est suggérée.
Illustration du point trois, on lira par exemple les six courriels d'insultes et de menaces envoyés du 9 au 23 juillet 2006 par une idéologue fanatique de la guerre sexiste :
Intimidations de la part d'une fameuse idéologue de la guerre sexiste.
Pour la définition de la réflexivité, et une introduction à l'analyse réflexive, voir notre article
Pour la réflexivité dans les logiques, y compris en psychologie.
Le féminisme actuel, autrement dit le féminazisme qu'il est devenu, présente tous les caractères d'une aliénation mentale transgénérationnelle : aucune élaboration individuelle du délire ; le délire est strictement importé, emprunté à la génération précédente.