http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18097 Sujet: Monologue classique
Auteur: martin dufresne
Date: Dim, 2004-09-12 11:43
Classique, la passe de se présenter comme victimisé pour invalider d'avance toute critique ...
Martin Dufresne
Sujet: Bassesse
Auteur: martin dufresne
Date: Dim, 2004-09-12 17:34
L'anonymat permet vraiment toutes les bassesses, comme la lâcheté du CMAQ à afficher régulièrement de telles attaques personnelles.
Son commentaire est tout de même assez révélateur. Que nous dit "Casanova" (Rémi Tremblay), sinon que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori?
Il ne saurait signer plus clairement son adhésion à une vision du monde et une politique de soutien aux violeurs, bref, masculiniste.
Martin
Falsification partielle toujours possible : que l'aveu soit prouvé, implicite à défaut d'être explicite, ne prouve pas entièrement la véracité du fait invoqué. Trop nombreuses sont les falsifications de biographie par les féminazi(e)s, comme du reste par tous les autres paranoïaques et tous les autres perver(se)s, pour que nous prenions cette allégation pour de l'argent comptant.
Bien au contraire, cette façon de distiller l'information de façon détournée, lui donne une crédibilité à bon compte, qui lui permet de dissimuler bien d'autres choses, sans doute bien moins avouables. C'est un fait courant chez les militantes féminazies de se poser ainsi en victimes de la violence et de la perversité des autres, pour garantir une impunité et une justification à leurs exactions et leurs crimes. Martin D....... distille ainsi un "
Il existe au moins une personne qui m'a fait souffrir de ses abus". Or chez eux il n'existe pas de différence perçue entre le quantificateur existentiel "
il existe au moins un" et le quantificateur universel "
tous", une seule existence invoquée, cela les encourage à propagander "
Donc tous les mâles, tous les pères sont tous des abuseurs et violeurs ! A mort les pères !".
Tandis qu'un aveu est tellement répétitif chez Martin D....... qu'il nous crève les yeux : il passe sa vie à dénier le dressage des enfants comme aide-bourreaux d'un de leurs parents. Le déni de réalité a toujours une structure, qui est vite facilement lisible par l'homme de métier.
Voir l'un des exemples les plus récents :
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2437recopié à
http://deonto-famille.info/index.php?topic=27.msg169#newDans un autre article à venir sur
http://deonto-famille.info je détaillerai la faute professionnelle commise par Richard Gardner : donner un baptème spécial qui donne l'air savant et psychiatrique, au lieu de rester au langage courant, pour désigner une conduite perverse, criminelle envers les enfants, les dresser comme aide-bourreaux de l'autre parent, ou d'un de leurs parents, ou des deux parents (cas signalé plusieurs fois, où les instigateurs et corrupteurs sont un des couples de grands-parents).
Du coup, avec des observations exactes des faits réels, Gardner a formé l'amorce d'une fausse science, totalement isolée, coupée du restant de la psychopathologie.
Pourquoi a-t-il commis cette faute professionnelle ? Je présume que c'est par instinct territorial, pour poser une marque de territoire.
Il suffisait que parmi les militant(e)s victime de ce dressage de leurs enfants contre eux, se trouvassent d'autres despotes paranoïaques, eux aussi en mal de panache narcissique et de territoire, pour que se constituassent des sectes autour du S.A.P.
Fausse science contre fausse science, despotisme contre despotisme : "
études féministes" contre resserrement frileux autour du territoire S.A.P...
Bref, l'un des gros inavouables dissimulés par Martin D....... est bien son dressage comme aide-bourreau d'un de ses parents (son pôpa), par l'autre parent (sa môman).
Au moins un autre inavouable ? Oui, Erin Pizzey l'a révélé clairement : ces dissimulations et ce militantisme paranoïaque et sexiste, bin ça rapporte du pognon, c'est un excellent moyen pour pomper l'argent public.
Deux gros inavouables dont on redoute le dévoilement, dont l'un parfaitement actuel, hé bien voilà, nous avons les ingrédients nécessaires pour entrer en paranoïa, et y demeurer pour le restant de ses jours.