Pendant quelques mois en 1992, ma mère et mon épouse ont eu l'intelligence de conspirer ensemble pour tâcher de sortir notre fille aînée, de la débilitation culturelle par l'"
Université Vanessa", c'est à dire ce couplage serré entre Cécile et Vanessa, seconde fille Beaurain. Un couple fermé, dont les préoccupations étaient exclusivement futiles et hystériques : "
Tu crois qu'il m'aime ? ... Ha la la ! Qu'est ce qu'il est moche et débile !"
Vacances de février 1992, ma mère et mon beau-père ont donc conduit ces enfants chez nos cousins du Sault à Saint-Sever sur Adour. J'ai retrouvé une photo des enfants, prise dans la cuisine de la Coulaquère, à Saint Sever, à moins que ce ne soit celle du château de Montaud, quelques kilomètres plus à l'Ouest. Tâcher de donner quand même à Cécile des horizons moins débiles...
Ils sont aussi passés à Villeneuve sur Lot, et mon beau-père a été extrêmement sévère sur l'état de dégradation de la maison de famille, où Anne est ensuite partie mourir, en 2005. Quand ensuite j'ai vu moi-même ce désastre après cinquante ans de non-entretien sous les justifications les plus débiles (je prépare les photos pour la publication, notamment la charpente de toiture en état consternant), je comprends le pessimisme de Georges. On comprend aussi le mépris final et définitif envers Anne, et de mon beau-père Georges, et de mon épouse et de notre fille aînée. Les deux cadets étaient moins sévères.
Mais Cécile persistait à ne pas travailler en classe, trouvant que la roue libre, c'était tellement plus chouette... Et puis l'indulgence de sa mère lui était acquise, du moment qu'elle cognait sur moi. Geneviève ne comprenait pas de quelle façon Annie, Oups ! "
Alie Boron" poussait à la nullité, pour faire le désespoir de ses parents. Moi non plus ne surveillais pas ce jeu caché, que je n'ai percé que longtemps après, grâce aux triomphales vantardises de la comploteuse, notamment le 30 mai 2004 : "
Tu vois, tes parents, malgré toutes leurs études supérieures et leurs diplômes, ils tirent le diable par la queue, donc les diplômes c'est de la merde, les études c'est de la merde, et tes parents c'est de la merde. Pour devenir riches, le mieux c'est le charme, le cul, et la ruse !".
Par ailleurs, la façon qu'avait Anne de promouvoir une autre idée de la culture générale et professionnelle, était tout sauf efficace. Manipulatrice oui, mais vaniteuse, inattentive, méprisante, et cousue de fils blancs. La conscience sociale de ma mère était fondée sur le mépris des manants... dont beaucoup le lui rendaient volontiers.
Quant à Georges Lavau, il était décédé depuis octobre 1990. Influence nulle depuis longtemps pour des tas de raisons.
Table chronologique avec pseudos, après 1969 :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/chronolog_pseudos.pdfTable chronologique avec prénoms réels :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/chronologie_famil.pdfDès la rentrée 1992 en Maths Sup Bio, puis la rentrée 1993 en IUT, ma fille aînée s'est dispersée à fond en activisme extra-scolaire et histrionique, obsédée d'être la victorieuse en charme sexuel, persistant à se dispenser de travailler. Mais attention, hein, c'était toujours de la faute des autres !
Et sa problématique persistait dans le genre hystérique incestuelle, obsédée d'obtenir des compliments de son père sur son charme sexuel. Sa rage de ne pouvoir me séduire, et de ne pouvoir vivre de chantage jusqu'à la fin de nos jours...
Février 1994, l'IUT de Lens nous informe qu'il met Cécile à la porte pour absentéisme persistant. Nous avons trouvé à Lens une épave apragmatique et désespérée. Nous avons fait en sorte qu'on lui laisse une seconde chance pour qu'elle se rattrape. Mmmmh... Un cas désespéré, irrattrapable, définitivement ravagée par la corruption acceptée. En 1995, ce furent les vols et la dilapidation sur une plus grande échelle, entraînant son petit frère dans la dégringolade, les trafics. Etc. etc.
On a dérivé bien loin du thème initial du fil : il était question au départ des croyances injustifiables, soutenues par des religions, des sectes, et leurs clergés.
J'ai ensuite évoqué les dérives délirantes d'un autre clergé : notre personnel d'enseignement employé au delà de ses compétences, et protégé dans leur délire imperméable, par un principal adjoint arcbouté sur son narcissime...
Seulement voilà : je parlais de ce que je connais personnellement,
ce qui est arrivé à mes enfants. Ce qui est inacceptable à la criminalité organisée, obsédée d'éradiquer le témoin gênant...