D'ailleurs, le message initial aurait très bien pu figurer au féminisier.
Le 17/01/2015 17:44, Anne G a écrit :
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> Parce que c’est ça, au final, ce que nous vivons depuis une semaine :
> les hommes nous rappellent qui commande, et comment. Avec la force, dans
> la terreur, et la souveraineté qui leur serait essentiellement conférée.
> Puisqu’ils n’enfantent pas, ils tuent. C’est ce qu’ils nous disent, à
> nous les femmes, quand ils veulent faire de nous des mères avant tout :
> vous accouchez et nous tuons. Les hommes ont le droit de tuer, c’est ce
> qui définit la masculinité qu’ils nous vendent comme naturelle. Et je
> n’ai pas entendu un seul homme se défendre de cette masculinité, pas un
> seul homme s’en démarquer – parce qu’au fond, toutes les discussions
> qu’on a sont des discussions de dentelière.
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>
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http://www.lesinrocks.com/2015/01/17/actualite/virginie-despentes-les-hommes-nous-rappellent-qui-commande-et-comment-11547225/Il était une fois un fou - Non, pas YBM, un fou normal, quoi !
Donc il était une fois un fou, dont l'obsession était prendre tout ce
qui était possible pour en faire une fronde pour tirer sur les oiseaux.
Après quelque temps, le directeur de l'asile voudrais bien faire de la
place et faire sortir ce monomaniaque, dont plus personne ne lui
signale plus rien d'anormal. Prudent, il le convoque et le fait parler
sur ses projets, après être sorti :
- Bin ! Je marcherai dans la rue.
- Oui ?
- Je suivrai une jolie femme !
- Oui ?
...
...
- Puis je lui retirerai sa culotte.
- Oui ?
- Alors Je retirerai l'élastique et j'en ferai une fronde pour tirer
sur les oiseaux !
Il était une fois une folle - Non ! Pas une folle ordinaire, une vraie
féminazie !
Il était une fois une folle dont l'obsession était de transformer tout
ce qu'elle trouvait pour en faire une fronde pour tirer sur les
hommes...
Virginie Despentes, vous disiez ?
Si vous pouviez nous renseigner sur l'anamnèse de ce cas ?
--
Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes.
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les
imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.