Musée des horreurs et de la corruption > Sa duettiste : Alie Boron/Ambre/.nn.. B...r..n/gretel/emile.albert

Nouvelles pièces pour réouverture du dossier pénal :

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Jacques:
Suite du fil http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?t=478 sur Primo Vivere, au Québec.
Le scandale s'internationalise toujours...



--- Citation de: alie Boron ---Citation:
" l'occasion de la réouverture du dossier pénal"

Non respect de l'anonymat
Diffamations et insultes
- accusation de faux et usage de faux
-Accusation de manipulation des enfants
-Accusation d'incitation à la débauche
-.............
--- Fin de citation ---
L'accusation mensongère relève de l'article 226-10 NCP.

Que, dans le cadre de la guerre sexiste telle qu'elle se déroule au quotidien dans les tribunaux français, la loi française soit systématiquement bafouée par ceux-là même qui sont chargés de la faire respecter, est un fait public, un scandale public, que nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer.

Nous les victimes de ces dénis de justice systématiques, n'avons pas d'autre solution que d'en appeler au peuple français directement, par voie de presse, pour qu'il interpelle ses élus, et le Garde des Sceaux. Obtenir enfin que le Garde des Sceaux fasse respecter la loi aux fonctionnaires qu'il dirige.

Toi Annie, tu as persévéré dans le harcèlement sur tous les forums où j'écris. Tu as persévéré publiquement dans tes accusations calomnieuses. Tu paieras le prix de tes calomnies permanentes.

Le site http://debats.caton-censeur.org/ n'était pas en ligne depuis trois jours, en octobre 2005, que déjà tu y avais fait une recherche pour vérifier si les mots "Alie Boron" s'y trouvait. Résultat négatif...

En revanche, on y trouve une Lettre ouverte à Marie Ségolène Royal, qui a fait campagne pour une intensification de la guerre sexiste dans les T.G.I. de France. Suivie d'une Lettre ouverte à tous les candidats à la présidentielle 2007.


Rien ne t'obligeait à reprendre ton harcèlement jusqu'ici, sur Primum Vivere, tu l'as fait, c'est un fait public, assume les conséquences de tes choix.

J'ai pris d'autres mesures pour que ce fait public soit très largement connu, et je continuerai. Le pouvoir de la criminalité organisée a pour principale limite la liberté de la presse. Tu as déjà tenté de limiter la liberté de la presse, tu as perdu en justice une première fois.

Une autre idéologue fanatique de la guerre sexiste, a multiplié les insultes et les menaces, a réclamé 11 500 euros de rançon, elle a perdu. C'est un fait public :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=57
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=27&Itemid=57
http://caton-censeur.org/resources/Harcelement_judiciaire_Helene_PALMA.html
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=71&Itemid=57

Jusqu'à présent, le crime a payé, au moins pour tes commanditaires. Oui, mais je suis encore vivant...

Jacques:
C'est merveilleux ! Un de mes énoncés, inédit avant 2004 (j'en suis le découvreur et le premier auteur), pose un problème épistémologique redoutable : on ne voit pas comment le réfuter expérimentalement, ce qui le fait sortir du champ scientifique. Il se trouve dans le mémoire de méthodologie de la pratique en psychologie (Maîtrise de psychologie) de l'été 2004 :
"Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien."

--- Citation ---2.      Cadre théorique : étiologie et structure.

On connaît la théorie simplifiée, selon laquelle pour fabriquer un paranoïaque, il faut et il suffit de le persécuter à l’âge favorable : pas trop tôt, pas avant l’établissement partiel des frontières du Moi, sinon vous en faites un futur schizophrène, et pas trop tard non plus, pas avant établissement total des frontières du Moi, sinon vous en faites seulement un révolté, en prise sur la réalité. Pendant et non après l’établissement d’une théorie de l’esprit des autres chez l’enfant Cette théorie simplifiée méconnaît cinq éléments, que l’expérience de terrain nous a envoyés en pleine figure :

1 -       Il faut que le persécuteur d’enfant détienne tous les moyens de la double-contrainte, et y soit imparable, très proche, trop proche : il faut que ce soit mère ou père, ou ce qui en tient lieu. Un instituteur sadique n’y suffit pas : outre qu’il arrive trop tard, il n’est pas une figure maternelle, ce qui le prive des plus puissants moyens de double-contrainte, des plus puissants moyens de pervertir les capacités logiques du jeune enfant.

2 -       Un enfant seul, cela n’existe pas, et il faut tenir compte de l’exécution par l’enfant des délires parentaux. Il est fréquent de voir des enfants endosser le délire paranoïaque de leur parent le plus puissant, sans jamais avoir été persécutés eux-mêmes. Seule la génération précédente a été persécutée à l’âge sensible, mais hélas elle dispose des moyens de faire exécuter son enfer interne par la génération suivante. C’est particulièrement spectaculaire dans les cas d’aliénation parentale (Gardner), dont nous avons enregistré des dizaines de relations toutes plus consternantes les unes que les autres, sur le forum paternet.net.

3 -       Addiction à la dissimulation : pour le déclenchement de la paranoïa complète (typiquement après quarante ans), il faut avoir un gros stock d’inavouables à cacher aux autres, et à redouter que cela ne s’ébruite. Il faut avoir un gros stock d’actions inavouables à camoufler, ou au moins d’intentions inavouables, pour avoir besoin de les projeter sur autrui, pour jouer à « Ce n’est pas moi le meurtrier, le voleur, le comploteur, c’est lui ! Haro sur Lui ! Sus sur lui ! ». [1]

C’est très efficace dans la complicité d’un mobbing, où des personnalités faibles exécutent le délire du chef, et la passion de nuire du chef. Ce sont la paranoïa déléguée, le sadisme délégué, qui aboutissent en vraie haine, de peur du risque de repentir : on a désormais trop d’inavouable à cacher, et tout risque de manifestation de la vérité vous apparaît comme persécutoire.

4 -       Narcissisme sans alternative : il faut avoir loupé, ou gaspillé, toutes les occasions d’apprendre à gérer la position dépressive, au sens de Winnicott. Paranoïaques, jaloux, avares et pervers ne connaissent qu’une seule façon de gérer une remontée de leur souffrance psychique : cogner sur son prochain – ou sur un animal, si c’est cela qu’ils ont sous la main. Ils n’ont pas appris à créer [2], pas appris à faire de la souffrance psychique une amie familière dont on peut faire jaillir de nouvelles trouvailles et de nouveaux bonheurs. [3]

5 -       Le point d’entrée dans la paranoïa ouverte est une falsification généralisée de sa mémoire biographique, avec des renversements chronologiques, avec une désorientation générale dans le temps, et avec expulsion de tous épisodes dont l’auteur est honteux, expulsion de toute espèce de culpabilité : une mythomanie organisée. Ce symptôme est aussi observable chez ceux qui ne sont que paranoïaques à titre impersonnel : serviteurs, dépendants, enfants et complices du gourou (paranoïaque à titre personnel, lui).

Concernant les autres pathologies de la perversité, le clinicien doit rechercher la haine et les causes de la haine, discerner entre les causes réelles, et les causes irréelles.
--- Fin de citation ---

Hé oui, le point 3 dans le paragraphe ci-dessus, pose le problème épistémologique de sa réfutabilité. Où et comment trouver un paranoïaque, qui soit en mesure de démontrer qu'il est bien paranoïaque, et que pourtant, il n'a pas d'inavouable à dissimuler, dont il redoute d'être démasqué ?
 ;)

Et justement, voici une nouvelle preuve expérimentale de la validité pratique de cet énoncé. Annie détecte, à force de fouiller tout le net tous les jours, que l'on parle ici des délires enseignés par une PEGC faisant fonction de professeur de physique sans en avoir reçu la formation (ce qui n'a rien à voir avec Annie, prof de maths, elle), et aussitôt elle s'estime "diffamée, persécutée". Rappel : le message en question est Mon grain de sel, et il est à l'adresse http://forum.primovivere.org/viewtopic.php?t=478 et c'est le second message.

Autrement dit, il suffit que le témoin gênant des turpitudes de la criminalité organisée à laquelle "Alie Boron" participe à titre de complice, ne soit pas mort, et risque à tout moment de réactiver la procédure pénale scandaleusement interrompue, pour que "Alie Boron" ait des réactions franchement paranoïdes, se proclame persécutée. Je les rappelle ci-dessous :

--- Citation de: alie Boron ---Citation:
"Tu as déjà tenté de limiter la liberté de la presse, tu as perdu en justice une première fois."

Qu'est-ce que j'ai perdu? Il me semble que ce n'est pas moi qui a eu DEUX rappels à la loi.

QUI HARCELLE l'autre?  Celui qui va sur différents sites et insulte et diffame, ou celle qui va sur ces mêmes sites EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE.

Au fait, aller sur ton site, cela m'est interdit?

Citation:
"Rien ne t'obligeait à reprendre ton harcèlement jusqu'ici, sur Primo Vivere, tu l'as fait, c'est un fait public, assume les conséquences de tes choix. "
Rien ne t'obligeait non plus à venir sur ce site(qui est là pour permettre aux victimes de sectes de s'exprimer...donc sans rapport avec ton divorce) POUR me diffamer. tant que tu n'as pas parlé de moi, je me suis contenté d'observer, mais dès que tu as écrit "Alie Boron", j'ai répndu...c'est de la LEGITIME DEFENSE.
--- Fin de citation ---

Merci Annie d'avoir confirmé la validité pragmatique de mes modestes travaux de chercheur en psychopathologie. En fait, depuis que cet énoncé à été fait, la première fois dans "Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion : étiologie et structure d'une paranoïa.", il n'a eu que des confirmations éclatantes, et aucun début de commencement de réfutation pratique.


Rappel :
Ce que Annie trouve être un truc qui la persécute, et qui déclenche ce qu'elle trouve être de la légitime défense :

Mon grain de sel :

Il n'est pas de croyance qui soit respectable. Cela bien qu'il puisse exister quelques maximes qui sont des mensonges efficaces dans l'action, et qui comme telles sont respectables malgré leur fausseté scientifique évidente.

Quand le psychologue Jean-Paul Garnier a conclu un séminaire d'une demi-journée (devant des cadres en chômage, en reclassement difficile), en écrivant ces trois maximes suivantes sur le tableau de papier, il n'a pas dit que ce seraient des vérités, mais que si nous les appliquions, ça irait mieux dans nos vies :

--- Citation de: Jean-Paul Garnier ---   1.  Personne ne nous doit rien.
   2. Il n'y a que moi qui puisse changer.
   3. Qu'est-ce qui ne va pas en moi, qui fait que ce que vous faites me dérange ?

--- Fin de citation ---

Il est facile de définir l'abus de confiance, constitué par l'enseignement de croyances contrafactuelles (contraires aux faits).
Les religions et les sectes s'abritent derrière le cri de "Liberté de croyance", pour persister à endoctriner leurs fidèles sans défense, et surtout les enfants sans défense, à leur bourrer le moût, à obtenir d'eux qu'ils nourrissent la secte et son clergé, au détriment de leur développement propre.

Mais saurons-nous commencer par balayer devant notre porte ? Chaque clergé, chaque vaniteux incompétent, cherche à défendre bec et ongles les contre-vérités qui lui tiennent à coeur, et qu'il est incapable de corriger.

Voici un extrait de la scolarité de ma fille aînée :

--- Citation ---... année scolaire 1986-87, où elle était en 5e. En ce temps-là, notre ministère de l'Education Nationale avait brusquement commencé l'enseignement des sciences physiques quatre ans plus tôt, dès la classe de sixième, sans jamais avoir prévu les flux préalables de formation de professeurs de sciences indispensables. Frédégonde a ainsi bénéficié de deux PEGC d'une haute incompétence, après une simili-formation hâtive. Le pire fut en 6e, mais je n'intervenais pas encore. Depuis, j'ai appris que son enseignement se bornait à faire recopier minutieusement des schémas d'expériences, sans faire comprendre les expériences elles-mêmes. Il avait depuis longtemps la réputation d'être tout aussi calamiteux en mathématiques  : « Celui-là, il est urgent qu'il prenne sa retraite ! Quand (mon aînée) était avec lui, je devais refaire toutes les leçons derrière lui, » précise Alie Boron, qui est professeur de mathématiques en collège. J'ai retenu que la fin de la phrase était « pour corriger ses erreurs permanentes  ! », car le contexte de la discussion entre les deux femmes portait sur les inexactitudes enseignées, mais Alie le conteste.(2)

En 5e, Madame V.t.n enseigna des rudiments de schémas électrotechniques, avec trois fautes majeures. Elle dessinait les piles avec la polarité à l'envers. Elle se trompait d'un angle droit dans les champs magnétiques et les aiguilles aimantées. Autrement dit, elle ne réalisait surtout pas l'expérience, mais prédisait sur schéma une orientation de l'aiguille aimantée, à 90° de celle qu'on observe expérimentalement. Pour prédire ainsi faux, elle confondait un bobinage à simple couche, avec le tristement fameux tire-bouchon (3). La troisième faute n'était qu'une violation des normes graphiques, et non une faute de compréhension au fond. Début novembre 1986, je corrigeai le cahier de cours, et le devoir de Frédégonde avant qu'elle le remette. Et Frédégonde en eut une mauvaise note  ! Je pris alors rendez-vous avec madame V.t.n, pour lui montrer un mémento professionnel d'électrotechnique, et lui rappeler les normes et les faits. Paniquée, madame V.t.n appela le Principal en renfort, qui se mit à me soutenir que c'était bien assez bon pour les élèves, et que c'était plus simple comme cela. Il semblerait que madame V.t.n se vengea contre Frédégonde ensuite, au long du restant de l'année - mais est-ce vrai  ? A quel âge Frédégonde a-t-elle commencé à mentir comme elle a continué à le faire ensuite  ? Je n'ai pu vérifier. Frédégonde en conçut une haine définitive, et contre la physique, et contre son père, accusé de l'avoir fait maltraiter par sa prof.
--- Fin de citation ---

Nos enseignements sous couvert de programmes officiels, nos manuels sous couvert d'inspecteurs, sont bourrés de contre-vérités même en sciences. J'ai donné dans un autre fil un des exemples d'invocations erronées de la loi de Bernoulli, et hélas il y en a d'autres, même dans les sujets d'examen.

Comment allons-nous donner l'exemple de la rigueur dans nos propres enseignements, nous enseignement public, service public ?

Jacques:

--- Citation de: biscuit ---
--- Citation de: alie Boron ---


QUI HARCELLE l'autre?  Celui qui va sur différents sites et insulte et diffame, ou celle qui va sur ces mêmes sites EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE.

Rien ne t'obligeait non plus à venir sur ce site(qui est là pour permettre aux victimes de sectes de s'exprimer...donc sans rapport avec ton divorce) POUR me diffamer. tant que tu n'as pas parlé de moi, je me suis contenté d'observer, mais dès que tu as écrit "Alie Boron", j'ai répndu...c'est de la LEGITIME DEFENSE.
--- Fin de citation ---

jacque je suis obligé daprouvé alie b car je trouve que les attaque personnelle n’ont pas leur place sur un site comme celui ci et nous ne somme pas au courant de cette guerre qui ce passe entre vous 2 mais j’ai cru voir que cela dure depuis plusieurs année faudrait régler ou enterré la hache de guerre afin de pas passé sa vie a ce la pollué un moment donné faudrait donc si faire
--- Fin de citation ---

Si on poursuit ton idée :
Jonathan devrait enterrer la hache de guerre, et fumer le calumet de la paix avec la WatchTower qui a tué son frère.
La WatchTower va sûrement écouter ton conseil, et enterrer la hache de guerre, et fumer le calumet de la paix avec tous les témoins gênants.
Les victimes de la scientologie, vont danser joue contre joue avec Miscavige... Etc.

Je te rappelle que depuis le 10 mars, l'objet du fil était les croyances, les sectes et les religions. Dans le second message, je rappelais que nous aussi, dans l'enseignement, nous sommes chargés par les programmes et les inspecteurs, d'enseigner des croyances non fondées et indéfendables, et qu'un certain nombre d'incompétents rajoutent encore eu moins le décuple des erreurs présentes dans les programmes officiels. Que pour pouvoir lutter plus efficacement contre l'enseignement de contre-vérités monumentales par les sectes et les religions, ce ne serait pas inutile de commencer par balayer devant notre propre porte.

L'exemple donné de mépris envers les élèves, ne concernait pas la calomniatrice à gages que tu es tenté de défendre, mais une PEGC et le principal Fl..r.
Je te recopie le message incriminé :

--- Citation de: Jacques ---Mon grain de sel :

Il n'est pas de croyance qui soit respectable. Cela bien qu'il puisse exister quelques maximes qui sont des mensonges efficaces dans l'action, et qui comme telles sont respectables malgré leur fausseté scientifique évidente.

Quand le psychologue Jean-Paul Garnier a conclu un séminaire d'une demi-journée (devant des cadres en chômage, en reclassement difficile), en écrivant ces trois maximes suivantes sur le tableau de papier, il n'a pas dit que ce seraient des vérités, mais que si nous les appliquions, ça irait mieux dans nos vies :

--- Citation de: Jean-Paul Garnier ---   1.  Personne ne nous doit rien.
   2. Il n'y a que moi qui puisse changer.
   3. Qu'est-ce qui ne va pas en moi, qui fait que ce que vous faites me dérange ?

--- Fin de citation ---

Il est facile de définir l'abus de confiance, constitué par l'enseignement de croyances contrafactuelles (contraires aux faits).
Les religions et les sectes s'abritent derrière le cri de "Liberté de croyance", pour persister à endoctriner leurs fidèles sans défense, et surtout les enfants sans défense, à leur bourrer le moût, à obtenir d'eux qu'ils nourrissent la secte et son clergé, au détriment de leur développement propre.

Mais saurons-nous commencer par balayer devant notre porte ? Chaque clergé, chaque vaniteux incompétent, cherche à défendre bec et ongles les contre-vérités qui lui tiennent à coeur, et qu'il est incapable de corriger.

Voici un extrait de la scolarité de ma fille aînée (Attention, en raison de leur implication dans une affaire criminelle toujours pas jugée, les noms réels des personnages sont remplacés par des pseudos) :

--- Citation ---... année scolaire 1986-87, où elle était en 5e. En ce temps-là, notre ministère de l'Education Nationale avait brusquement commencé l'enseignement des sciences physiques quatre ans plus tôt, dès la classe de sixième, sans jamais avoir prévu les flux préalables de formation de professeurs de sciences indispensables. Frédégonde a ainsi bénéficié de deux PEGC d'une haute incompétence, après une simili-formation hâtive. Le pire fut en 6e, mais je n'intervenais pas encore. Depuis, j'ai appris que son enseignement se bornait à faire recopier minutieusement des schémas d'expériences, sans faire comprendre les expériences elles-mêmes. Il avait depuis longtemps la réputation d'être tout aussi calamiteux en mathématiques  : « Celui-là, il est urgent qu'il prenne sa retraite ! Quand (mon aînée) était avec lui, je devais refaire toutes les leçons derrière lui, » précise Alie Boron, qui est professeur de mathématiques en collège. J'ai retenu que la fin de la phrase était « pour corriger ses erreurs permanentes  ! », car le contexte de la discussion entre les deux femmes portait sur les inexactitudes enseignées, mais Alie le conteste.(2)

En 5e, Madame V.t.n enseigna des rudiments de schémas électrotechniques, avec trois fautes majeures. Elle dessinait les piles avec la polarité à l'envers. Elle se trompait d'un angle droit dans les champs magnétiques et les aiguilles aimantées. Autrement dit, elle ne réalisait surtout pas l'expérience, mais prédisait sur schéma une orientation de l'aiguille aimantée, à 90° de celle qu'on observe expérimentalement. Pour prédire ainsi faux, elle confondait un bobinage à simple couche, avec le tristement fameux tire-bouchon (3). La troisième faute n'était qu'une violation des normes graphiques, et non une faute de compréhension au fond. Début novembre 1986, je corrigeai le cahier de cours, et le devoir de Frédégonde avant qu'elle le remette. Et Frédégonde en eut une mauvaise note  ! Je pris alors rendez-vous avec madame V.t.n, pour lui montrer un mémento professionnel d'électrotechnique, et lui rappeler les normes et les faits. Paniquée, madame V.t.n appela le Principal en renfort, qui se mit à me soutenir que c'était bien assez bon pour les élèves, et que c'était plus simple comme cela. Il semblerait que madame V.t.n se vengea contre Frédégonde ensuite, au long du restant de l'année - mais est-ce vrai  ? A quel âge Frédégonde a-t-elle commencé à mentir comme elle a continué à le faire ensuite  ? Je n'ai pu vérifier. Frédégonde en conçut une haine définitive, et contre la physique, et contre son père, accusé de l'avoir fait maltraiter par sa prof.
--- Fin de citation ---

Nos enseignements sous couvert de programmes officiels, nos manuels sous couvert d'inspecteurs, sont bourrés de contre-vérités même en sciences. J'ai donné dans un autre fil un des exemples d'invocations erronées de la loi de Bernoulli, et hélas il y en a d'autres, même dans les sujets d'examen.

Comment allons-nous donner l'exemple de la rigueur dans nos propres enseignements, nous enseignement public, service public ?
--- Fin de citation ---

Et maintenant regarde bien qui a détourné le fil de discussion, le 14 mars, pour y déverser son habituel flot d'ordures.
Je te raffraîchis la mémoire :

--- Citation de: alie Boron ---
--- Citation de: Jacques --- D'autre part, elle était manipulée de longue date par cette voisine exceptionnellement perverse, Alie Boron.
--- Fin de citation ---


Il y avait longtemps que tu ne nous avais pas servi ton couplet habituel!!!!
J'aurais manipulé ta gamine, comment? En lui donnant à manger quand elle avait faim?


--- Citation --- que le premier but de son complot à long terme, était d'inciter ma fille aînée à saboter ses études au maximum, afin d'une part de prouver que ses enfants à elle étaient supérieurs, et gagnaient mieux leur vie, afin d'autre part que ses parents, mon épouse et moi-même, en fussions rongés de honte et de chagrin.
--- Fin de citation ---
Et en quoi aurais-je incité ta fille à saboter ses études? Elle a eu le bac S avec un an d'avance, 20 en Math (coefficient8) et une mention....elle est arrivée chez moi le soir des résultats car, au lieu de la féliciter comme elle le méritait, tu lui as reproché sa mauvaise note en philo (coef2). Chez nous, on a ouvert la bouteille de champagne. C'est ce que tu appelles l'inciter à saboter ses études?
Puis elle a échoué QUATRE ANNEES de suite à sa première année universitaire, à la rentrée elle n'avait plus de bourse, plus de logement  et ne savait pas ce qu'elle allait devenir, je lui ai conseillé un BTS en alternance ce qui lui permettait d'avoir un petit revenu pendant ses études et cette formation est assez côtée sur le marché du travail... Je te signale que deux de mes enfants ont un BTS ainsi que mes deux gendres, mon fils a même passé le BTS en aéronotique par le principe de l'aternance

Qu'est-ce que tes délires ont à voir avec les victimes des sectes?
--- Fin de citation ---

J'ai déjà signalé le samedi 15 mars, que le fil dérivait gravement. Et tu ne t'en aperçois que maintenant lundi 17 ? Moi, en tant qu'administrateur, j'interviens beaucoup plus vite que cela pour rappeler la loi, et l'exercer.
Il est vrai que je me suis donné une règle contraignante, qui m'oblige devant les autres à incarner la référence permanente, et à servir la loi contractuelle des sites.

Vous allez avoir du mal à lutter efficacement et longtemps contre les ravages et les ruses des sectes, si tu te fais dévorer ainsi tout cru par la première faussaire venue.

Moi, j'ai une demande précise à faire : cette histoire ahurissante de 20 en maths, et de 2 en philo, d'engueulade abusive, et de champagne, etc. "Alie Boron" et ses commanditaires peuvent-elles l'exhiber, ce prétendu bulletin de notes, qu'on voit si lui au moins existe ? Parce que ce fameux "bateau achetait à Toulon avec le salaire de sa femme", personne ne l'a jamais, jamais vu... Et tout le reste est à l'avenant, chez ces faussaires-là.

Jacques:

--- Citation de: alie Boron ---... dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la mort de la tante remonte a environ six ans) ...
--- Fin de citation ---
Ah oui, j'avais omis de vous la signaler celle, là, Annie vous truande de six ans, une paille !

Jacques:
Les cinq formes principales de délinquance judiciaire collective :

http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=24&Itemid=58


--- Citation ---...
détaillant et articulant les cinq formes principales de délinquance judiciaire collective, c'est à dire qui s'appuient chacune sur une collectivité, ici énumérées dans l'ordre chronologique de leurs apparitions :
1 - La délinquance judiciaire de classe et/ou de caste (la plus ancienne, présente dès les origines moyen-âgeuses),
2 - La délinquance judiciaire d'Etat ou d'église.
3 - La délinquance judiciaire de sociétés secrètes, dont actuellement les plus implantées sont franc-maçonnes (nous devons y rattacher la délinquance judiciaire au profit de sectes délinquantes, par exemple la scientologie),
4 - La délinquance judiciaire mafieuse proprement dite, d'allégeance à la grande criminalité armée,
5 - La délinquance judiciaire gynarque, sexiste misandre.

Les types 3 et 4 reposent intégralement sur le secret. Par exemple la scientologie organise un cambriolage du bureau du juge d'instruction pour subtiliser toutes les pièces du dossier.

Les types 1 et 5 reposent largement sur des moyens de propagande externe, dénigrements et calomnies racistes d'une manière générale, encontre ceux qui sont désignés comme besogneux à exploiter et à spolier. Propagande contre les vilains au Moyen-âge, contre les partageux lors de la grande répression contre le mouvement ouvrier, contre les juifs sous l'occupation nazie, contre les mâles actuellement, sous la domination gynarque actuelle. Cette propagande omniprésente leur permet ensuite bafouer le principe du contradictoire à longueur d'instruction s'il s'agit de pénal, et à longueur d'audience dans tous les cas. Devant la commission d'enquête parlementaire, le procureur de Boulogne Gérald Lesigne avoua ainsi qu'ils s'étaient laissés embarquer par le mythe de la pédophilie. Avec le suicidé François Mourmand (à moins qu'il n'ai été tué différemment, par surdosage médical), la propagande gynarque obtenait déjà le score d'une mort d'homme sur 18 calomniés et 17 acquittés. C'était pour elle un échec : elle s'était habituée à des scores bien plus élevés, par ses méthodes d'assassines sans couteau, à la manière judiciaire.
...

Certains avancent l'évaluation de 30% de procédures truquées, et ce chiffre nous semble de l'ordre du vraisemblable. J'ai personnellement l'expérience de trois procédures truquées sur un total de quatre, soit la majorité.
 ...

Les lobbies et complots qui incarnent ces délinquances judiciaires collectives :

1 : Caste ou classe.

"Nous l'honorable monopole d'avocats, unis contre le reste du monde !".

"Nous les grands seigneurs et grands bourgeois, unis contre le petit peuple !"

"Nous les juristes en robe, unis contre le roi et le pouvoir politique, par la complexification croissante du Droit jusqu'à l'inextricable..."

 

2 : Etat ou église.

"Nous les carriéristes et courtisans, unis malgré nos concurrences, contre toute objection, contre tous témoins qui pourraient gêner le Prince..."

 

3 : Sociétés secrètes, sectes criminelles, francs-maçons.

"Nous les frères maçons, contre le reste du monde."

"Nous les scientologues, contre le reste du monde."



4 : Mafia, grande criminalité, trafic d'armes.

"A fatte multo malo a tutti !
Mort à qui désobéit aux chefs du gang !"

 "Mort à qui enquête sur un crime commis par un chef d'état ami ! (ou par un favori du Prince)"

 

5 : Gynarchie, guerre sexiste de misandrie.

"Nous les avocates gynarques, nous les magistrates gynarques, nous les enquêtrices et expertes gynarques, unies contre tout sous-homme du sexe non autorisé, qui oserait résister à nos exigences !"

Ceci pour le complot interne. Quant au complot externe, médiatique :

"Nous les publicitaires gynarques, journalistes gynarques, femmes de média gynarques, femmes de pouvoir gynarques, unies pour la propagande sexiste misandre, permettant de régner sur l'entendement des juges, et obtenir facilement d'eux les dénis de justice qui servent notre domination gynarque absolue".

--- Fin de citation ---

La faussaire ci-dessus est exemplaire des truands et faussaires protégés par les réseaux de délinquance judiciaire féminazie.

Les réseaux de délinquance judiciaire se tiennent les uns les autres par des barbichettes. Voulez-vous des exemples ? Nous en avons.

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