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Anders Behring Breivik condamné à 21 ans de réclusion, prolongeables.
http://www.aftenposten.no/nyheter/iriks/22juli/Enstemmig-rett-mener-Behring-Breivik-er-tilregnelig-6972982.html

Les juges ont donc été amenés à le considérer d'abord comme "sain d'esprit", ce qui est fort choquant, telles sont les contraintes légales.
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Et ça n'est pas mieux, comme impasse dans l'expertise psychiatrique de "Abdulhakim Mujahid Muhammad" Bledsoe.
http://www.investigativeproject.org/2772/the-making-of-an-american-jihadist-abdulhakim
Citation
After the shootings, officials from the Arkansas Division of Mental Health Services interviewed  Muhammad to determine whether he understood the charges against him and was able to assist in his own defense. The interviewer found that Muhammad "did not have mental disease or mental defect."
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L'art de la condamnation préventive. dans Dans le couple
« Newest par Jacques le 21 juillet 2012, 01:15:28 »
Pour toute femme avide de prendre et conserver tous les pouvoirs, il faut maîtriser l'art de la condamnation préventive.

Par exemple, quand l'ex-ministre de la police, Nico le Hutin allait se montrer dans une ville où on ne l'aimait guère, les gens suspectés d'être susceptibles de manifester publiquement leur désapprobation au petit roi, étaient préventivement arrêtés et détenus en garde à vue jusqu'au départ du petit roi.
Au Féministan on peut faire mieux.

Le grand principe est que tout mâle est préventivement condamné pour tout ce qu'il aurait pu dire s'il avait eu l'ombre d'une chance de placer une phrase, et pour tout ce qu'il serait susceptible de penser si on lui en laisse le loisir.

L'immense avantage de la condamnation préventive est qu'elle laisse l'autre sans voix, sans possibilité de se défendre. Aleksandr Soljénitsyn avait décrit cette surprise uniforme et stupide : "M'arrêter ? Moi ? Pourquoi ?" : personne n'est armé par défaut pour penser et pour contrer la perversité poussée à l'extrême. Elle n'a plus qu'à jouer sur du velours.

De toutes façons, si le condamné préventif ose protester, il est cuit : sa rébellion même - s'il ose protester - prouve qu'il était un ennemi du régime, qu'il s'imaginait que le régime est pourri. Ce qui mérite le châtiment le plus extrême, pour l'exemple, pour terrifier les autres : pensées anti-soviétiques, anti-américaines, anti-chrétiennes, antisémites, antiquaires, islamophobes, antiféministes, antirabiques, anticapitalistes, antipathiques, homophobes, anti-zététiques, anticonformistes, antifascistes, antilopes Koudou, anticalcaires, antiacides, antimatière, Antinéa, anticommunistes, antimilitaristes, Antigone, Anticosti, antimites, anti-mythes, anti-sceptiques, anti-salissures, antifroiss, en titi, antidétonantes, Antsirabé, anti-taches, antipodes, anticipées, antimoustiques, antigrippantes, antidérapantes, antigang, antalgiques, antonymes, antédiluviennes, antoedipiennes et direct Anthony Massy-Palaiseau, bref hérétiques et libertines !
(Rayez la mention non utilisée).

Tiens justement à propos d'antiseptiques du Québec, on admirera avec quelle virtuosité le Diablo-Hallucigenia pratique la répression pour incroyance : harcèlement d'abord, débouchant inévitablement sur le bannissement puisque le harcelé ose protester, et est tellement insoumis qu'il ose diagnostiquer facilement la paranoïa du ouebmestre :
http://www.sceptiques.qc.ca/forum/pesant-de-guano-frais-feminazisme-t4189.html

La condamnation préventive ! Le péché originel ! Vieilles recettes qui marchent toujours !
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Lecture des aveux d'un juge d'instruction. dans Et la justice ?
« Newest par Jacques le 01 juillet 2012, 02:38:20 »
Lecture des aveux d'un juge d'instruction.

Cette note de lecture est depuis août 2002 dans un coin de mon disque.

Catherine Samet. Les aveux d’un juge d’instruction. Flammarion 2001.
Résumé :
- Non mais admirez mon exquise sensibilité humaine ! Et combien je suis géniale !
Ma greffière est sensationnelle, elle me suit à minuit sur les lieux de n’importe quel crime !
Les policiers sont sensationnels. Ailleurs ça rue dans les brancards, mais avec moi, il forment une équipe parfaite ! Et puis ils ont une compréhension si parfaite de ces banlieues du désespoir où 70% des jeunes sont au chômage.
Pas comme ces fascistes qui... Oups ! Pourquoi supposer qu’il y ait des fascistes dans la police ?
Et puis, elle est chou, la médecin légale ! Et puis, il est mignon le dealer d’héroïne qui tue.

Et quel équipage uni nous formons dans le Palais de Justice ! Tous humanitaires, tous dévoués à vie de la nation, pas un seul caractériel, pas un seul addict à la toute-puissance ! Que des anges humanistes !

Oui, bien sûr, je place Big Mick, chef de réseau de vente d’héroïne, sur sa moto BMW. Comme il n’a que treize ans, ce « gamin » « va pouvoir grandir dans sa famille »...

Non, je n’ai pas précisé la taille du gamin qui va grandir. Non je ne sais pas quelle taille il faut avoir pour conduire une moto BMW, sans se casser la gueule pour y monter ou en descendre. Oui je l’appelle Grand Michel. Oui, deux prostituées qui le voient arriver au dépôt crient «  Vous les prenez au berceau  ?»...

Mais enfin, c’est moi ici qui suis censée chercher la vérité, et pas vous ! Qu’est-ce qui vous prend de souligner mes contradictions ? Sacré foutu incrédule de scientifique, vous sabotez tous mes clins d’yeux, toute ma séduction si étudiée !

Enfin Monsieur, vous n’admirez donc pas mon coup de génie d’avoir envoyé Big Mick travailler un mois dans un orphelinat à Bucarest ?

- Si Madame la juge. Je l’admirerais beaucoup plus si vous vous étiez donnée la peine d’écrire ce qui rendrait ce genre de miracle REPRODUCTIBLE par vos collègues moins géniaux : les grands traits d’une méthodologie de base. Et ça, il n’y en pas dans votre livre tout entier consacré à votre gloire. Ça n’est pourtant pas difficile, mais cela brosse moins à reluire votre géniale intuition, ni votre si exquise sensibilité humaine dans un gant d’acier.

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"La prositution est indissociable du mépris que les hommes, dans leur
grande majorité, déversent sur les femmes, la relation humaine qu'ils ne
savent pas créer et faire vivre,


Citation de: Alain191


Yannix <faitmoipeur@gmail.com> wrote:

> Le 30/06/2012 10:08, Alain191 a écrit :
>> Pensez vous que des mesures adaptés doivent être prises pour que la
>> prositution se déroule dans de bonnes conditions, ou, au contraire,
>> pensez vous que toutes mesures visant à faire cesser son exercice
>> doivent être prises ?
>
> http://site.strass-syndicat.org/
>
>
> Non à l'intox de la ministre des Droits des Femmes, Najat Vallaud-Belkacem.
> June 25th, 2012
>
> Nous apprenons dans le Journal du Dimanche que notre ministre des Droits
> des Femmes prépare une nouvelle lutte contre les femmes. Elle oublie au
> passage que les femmes ne sont pas les seules à exercer le travail
> sexuel. (1)
>
> La conférence de consensus sur la prostitution qu'elle annonce ne
>  peut pas déjà démarrer avec ses conclusions, à savoir l'abolition
>  de la prostitution.
>
> Quelle sera la place des putes, autres que celles des repenties
> sélectionnées par les mouvements abolitionnistes, dans cette
>  conférence?
>
> Vouloir faire disparaitre la prostitution c'est en réalité s'attaquer
> aux travailleursEs du sexe. Nous ne voulons pas nous faire abolir.
>  Nous voulons des Droits.

Ce n'est pas le problème du droit qui est en question, vous avez, nous
avons tous et toutes le droit de rencontrer qui nous voulons et de faire
ce que nous voulons avec, que revendiquer de plus ?

e sont les problèmes du mépris des femmes, de la marchandisation et de
l'exploitation qui sont en question.

La prositution est indissociable du mépris que les hommes, dans leur
grande majorité, déversent sur les femmes, la relation humaine qu'ils ne
savent pas créer et faire vivre, ils s'estiment légitime à l'obtenir
autrement, par le fric ou la contrainte. Il n'y a nul respect ou
valorisation dans la consommation prostitutionnelle. Qui ne sait pas que
le terme "pute" fait partie des insultes les plus graves ?

L'échange marchand que la prositution occasionne n'est pas acceptable,
si les personnes prostituées en étaient les réelles bénéficiaires, ça se
verrait et elles seraient valorisées, comme un capitaine d'industrie qui
concentre des milliards. D'autres en tirent profit, dont les
institutions faut-il remarquer. Quand on peut bien acheter, pour une
somme dérisoire, un organe d'une personne pauvre ou d'un gamin, on peut
bien consommer pour du fric le corps de ses semblables, lamentables
banalités.

C'est aussi le problème de l'exploitation, mais comment dénoncer cette
exploitation là alors que l'on admet que toute la société fonctionne sur
l'exploitation et que les "gagnants" de cette société sont ceux qui
exploitent le plus de travailleurs ?

L'existance de la prostitution et sa persistance n'est que le révèlateur
d'une tare sociale, les relations entre hommes et femmes sont troubles,
la marchandisation est générale et l'exploitation quasi systématique, la
prostitution durera tant que la société conservera ces trois tares.
 
> La majorité des prostituées ne sont pas victimes de la violence des
> proxénètes mais de celle de la police. Travailler avec Manuel Valls
>  et envoyer les flics, ce n'est pas du féminisme. (2)

Les "socialistes" seraient-ils et elles féministes ? Ca se verrait dans
les luttes, la réalité sur le terrain n'est pas discutable.

Alain
>
> Nous rappelons que la répression est actuellement à son paroxysme à Lyon
> et au Bois de Boulogne, et malgré le fait que le PS ait tous les
> pouvoirs au niveau local et national, leur priorité ne semble pas
> d'arrêter cette répression mais de l'accroitre en visant nos clients. (3)
>
> Faut-il rappeler également que toutes les associations de santé et de
> lutte contre le sida se sont positionnées contre cette mesure, parmi
> elles le Planning Familial dont on ne peut guère douter de son
> féminisme. (4)
>
> Pénaliser les clients, c'est nous pénaliser nous. Le soi-disant
> abolitionnisme de la ministre n'est que de la prohibition.
>
> Le STRASS exige :
>
>     l'arrêt immédiat de la répression des travailleurSEs du sexe,
>     l'abrogation du délit de racolage public,
>     l'abrogation de l'arrêté interdisant le stationnement aux
> camionnettes dans les bois parisiens,
>     que Madame la ministre des Droits des Femmes se détermine en
> fonction des recommandations des personnes concernées ou qu'elle
> démissionne et laisse sa place à une personne réellement soucieuse
>  des Droits des Femmes et des minorités.
>
> X.
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Après la copie, l'original, retrouvée sur le Net grâce à "dysmorphisme" :
http://blog.plafonddeverre.fr/post/Les-femmes-peuvent-elles-gagner-le-marathon

Citation de: Berenice
Le jeudi 22 décembre 2011, 01:29 par Berenice

    le chemin pour se débarrasser de vous pat est très long... surtout sur la fin.
    Vous n'avez pas une vie, et d'autres personnes sur qui exercer votre nuisance, irl?

    Sinon vous n'avez pas compris l'hypothèse de Priscille Touraille, peut-être êtes vous tout simplement trop bête ou obtus ou les deux. Donc avant de la critiquer, je vous conseille d'essayer de la comprendre. Il ne s'agit pas de dire qu'il n'y a pas de dysmorphisme sexuel chez les êtres humains ou chez les mammifères (quoi qu'il ne soit pas spécialement marqué dans notre espèce) mais bien de dire que les conditions biologiques qui normalement "justifie" le dysmorphisme sexuel N'EXISTENT PAS chez les humains. Et que donc, si ce n'est pas la biologie, ce doit être la culture...


Citation de: Berenice
Le jeudi 22 décembre 2011, 13:36 par Berenice

    Vous êtes un ignare c'est tout. Le dysmorphisme sexuel s'explique par la sélection sexuelle et l'investissement parental. La sélection sexuelle chez les mâles humains ne s'exprime pas par des combats physique ou seul le plus fort pourrait transmettre ses gènes. Il n'y a donc pas de nécessité biologique pour les mâles humains d'être plus grand et plus fort que les femmes... Ils devraient être, comme dans les espèces où chaque mâle pas trop taré se trouve une femelle pour transmettre ses gènes, de la même taille et corpulence que les femelles. La voilà votre hypothèse. Donc comme il n'y a pas de nécessité évolutive (biologique) au dysmorphisme sexuel chez les êtres humains, on peut en conclure raisonnablement que celui-ci résulte d'une sélection sexuelle plus culturelle qu'évolutive (biologique).
    Bref, faites un peu d'éthologie ça vous cultivera un minimum et vous serez peut-être un peu moins prétentieusement péremptoire sur un sujet que vous ne maitrisez même pas. Vous gagnerez peut-être un peu d'humilité et cela vous évitera de remettre en question sans le début d'un argument les thèses de scientifiques reconnus et respectables. Thèses qui n'ont rien de fantaisistes.



Citation de: Berenice
Citation de: Pat
    Ce n'est ni l'humilité, ni le bon sens ni l'esprit scientifique qui vous étouffent.

48. Le jeudi 22 décembre 2011, 17:52 par Berenice

    Ah, non, ça c'est vous. Moi voyez, j'ai de l'admiration pour les scientifiques telles que cette femme. Ils font avancer la science. Vos protestations sur le thème, non elle est folle, elle raconte n'importe quoi, ce n'est pas une scientifique (en plus c'est une femme!), moi j'ai une formation scientifique qui me permet de réfuter cette hypothèse sans arguments, seulement parce que c'est moi pat et que je détiens la vérité grâce à mon observation du monde et ma formation scientifique. Je me permets de donner des leçons à tout le monde tout le temps, j'insulte les femmes tant que je peux sur des sites où je suis sure d'agacer au maximum et de provoquer un rejet total de ma personne. Ma vie est triste et pathétique, je suis agressif et misogyne, tellement seul que ma compagnie je la trouve en tenant des discours anti-femmes sur des sites féministes histoire d'avoir l'impression que je fait de l'effet à quelqu'un...
    Il est impossible de se débarrasser de vous, vous êtes comme la tique qui s'est installée quelque part et qui ne veut plus en partir. C'est la dernière fois que je vous réponds. Vous n'en valez certes pas la peine, et lorsqu'on vous ignore vous vous lassez plus vite. Ainsi je ne prendrai plus non plus la peine de lire vos contributions qui sont de toutes manières nulles et haineuses avec une remarquable constance.
    Bonne continuation dans une dimension parallèle de la mienne.



Citation de: Berenice


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Citation de: Elohan

Lu sur un forum du web (thème: "les femmes peuvent elles gagner le marathon ?"), cette perle absolue:








"On grandit tellement avec l'idée ancrée jusqu'à devenir innée de notre infériorité physique...."









...J'y retourne.


Citation de: Elohan
Dans la même enfilade, d'une autre contributrice éclairée:









"Nous vivons dans des cultures qui favorisent la taille et la force des hommes et le contraire pour les femmes."


Citation de: Elohan
Plus cocasse encore que la neuneu qui énonce sans réfléchir, il y a la neuneu qui énonce en essayant de réfléchir:


"Il ne s'agit pas de dire qu'il n'y a pas de dysmorphisme sexuel [sic]  chez les êtres humains ou chez les mammifères (quoi qu'il ne soit pas spécialement marqué dans notre espèce) mais bien de dire que les conditions biologiques qui normalement "justifie" le dysmorphisme sexuel [resic] N'EXISTENT PAS chez les humains. Et que donc, si ce n'est pas la biologie, ce doit être la culture..."




CQFD... :D


Citation de: Anne G

Ne me dites pas que vous avez compris ce que vous lisiez ?

> CQFD... :D

Énumérez donc les conditions biologiques qui justifieraient un
dysmorphisme sexuel chez l'humain.


Légère confusion avec dimorphisme, une fois ?
Allez, on l'ajoute au féminiser ?

Citation de: Elohan
*Di*morphisme sexuel.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dimorphisme_sexuel

Un seul contre-exemple suffira: la nécessité d'allaiter les nourrissons. En voilà une, de "condition biologique"...
Maintenant si tu veux quand même sauver le paralogisme de la dame, explicite-nous les raisons culturelles de la poussée mammaire qui saisit les petites filles à la puberté.


Citation de: Dominique Gobeault
>
> *Di*morphisme sexuel.
> http://fr.wikipedia.org/wiki/Dimorphisme_sexuel
>
> Un seul contre-exemple suffira: la nécessité d'allaiter les
> nourrissons. En voilà une, de "condition biologique"...
> Maintenant si tu veux quand même sauver le paralogisme de la dame,
> explicite-nous les raisons culturelles de la poussée mammaire qui
> saisit les petites filles à la puberté.

Bah, dans certaines conditions particulières ou avec quelques piqures
d'hormones, les seins des hommes donnent du lait, aussi
http://www.slate.fr/story/39011/lait-paternel


Citation de: Anne G
>> Énumérez donc les conditions biologiques qui justifieraient un
>> dysmorphisme sexuel chez l'humain.

> *Di*morphisme sexuel.

> Un seul contre-exemple suffira: la nécessité d'allaiter les
> nourrissons. En voilà une, de "condition biologique"...

Nécessité de moins en moins... nécessaire, vous aurez peut-être remarqué.

> Maintenant si tu veux quand même sauver le paralogisme de la dame,
> explicite-nous les raisons culturelles de la poussée mammaire qui
> saisit les petites filles à la puberté.

Et vous allez surtout nous expliquer la taille plus grande, la
musculature plus imposante et le poil facial des mâles humains.


Citation de: Anne G
Le 26/06/12 03:31, Elohan a écrit :
> jr a écrit :
>> Le 26/06/2012 10:18, Elohan a écrit :

>>> *Di*morphisme sexuel.
>>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Dimorphisme_sexuel

>>> Un seul contre-exemple suffira: la nécessité d'allaiter les nourrissons.

>> Racontez-nous la dernière fois que vous avez nourri la tribu en rapportant un
>> sanglier nécessaire, grâce à vos muscles nécessaires?

> Voilà le genre de boutade qui nous éloigne encore de l'alibi culturel.
> Ce pauvre jr a décidément l'art de se tirer des balles dans le pied. :D

Vous ne contestiez donc pas "les conditions biologiques qui normalement
"justifient" le dimorphisme sexuel N'EXISTENT PAS chez les humains." ?
58
Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d'une féministe !
Elle vous fera payer très cher le délit de masculinité, que vous commîtes rien qu'en naissant.

La journée de la féministe est assez répétitive :
Reprendre le pouvoir, reprendre le dessus, envoyer une bordée d'insultes, benner un tombereau de reproches, faire subir une colère, et reprendre au début, avec des variantes quant à l'ordre des opérations.
Ainsi l'ordre "benner un tombereau de reproches, reprendre le pouvoir, faire subir une colère, reprendre le dessus, envoyer une bordée d'insultes" est tout aussi valide dans l'emploi du temps de la féministe. Et puis ça introduit de la variété.

Sur les frêles épaules de la féministe repose un apostolat harassant, épuisant, de tous les instants, son devoir envers le Parti : ne jamais relâcher la guerre de longue durée contre l'existence même des mâles, ce scandale intolérable de l'existence des chromosomes XY et de la reproduction sexuée. Ah si seulement le Créateur l'eût écoutée, il n'y aurait que des lesbiennes dans la ville, et grâce à la parthénogenèse, ce serait le paradis sur Terre : aucun enfant ne pourrait plus jamais échapper à la toute-puissance matriarcale ni contracter d'autre mariage qu'avec sa maman.

Comme la perfection n'est pas encore réalisée, il y a encore des féministes qui pratiquent l'hétérosexualité. Toutefois, il convient qu'elles soient très rigoureuses dans le dressage de leur mec. Il ne sera jamais tolérable que le mec échappe à la guerre de longue durée, ni ose développer la moindre réflexion qui échappe au sexisme misandre victorieux. Prenons le cas des freudiens et de leur parlance carabistouillée : le mec sera autorisé à critiquer les amphigouris précieux de Pascal R., mais la féministe lui volera dans les plumes s'il ose critiquer les mines entendues et supérieures de Ghislaine K. sur telle de leurs expressions volontairement fallacieuses. Dans le second cas, le mec est coupable de misogynie, et il faut le lui faire payer cher.

En amours hétérosexuelles, la règle du jeu est que la somme soit négative. Qu'importe combien la femme y perd, pourvu que l'homme y perde davantage, qu'il n'oublie jamais que lui doit fournir tous les services, sans jamais rien demander ni obtenir en retour. C'est elle la maîtresse, et lui le serviteur, qui doit toujours exhiber une attitude soumise.

La féministe choisira elle-même les peintures et papiers peints que le mec posera chez lui : il doit poser du vieux rose dans son couloir, afin de montrer que même chez lui, c'est encore une maison vaginale.


La féministe peut-elle être intelligente en amour, et heureuse en amour ?

Bah oui, la féministe peut faire illusion quelques jours, au mieux quelques semaines, aussi longtemps que les hormones sont là, et lui imposent l'intelligence de l'espèce via la stratégie de l'espèce, aussi longtemps que les orgasmes l'inondent d'ocytocine et d'endorphines.

Mais quand l'intelligence de l'espèce perd de son emprise, nulle intelligence individuelle ne peut prendre le relais, chez la féministe : autoritariste née, elle ne songe plus qu'à sa guerre à mort pour le pouvoir, tous les pouvoirs. Bien qu'il soit possible qu'individuellement, elle ne soit  pas diagnostiquable comme paranoïaque, elle demeure adhérente à une doctrine paranoïaque, et la loi générale lui est collectivement applicable : les paranoïaques ne jouissent pas, et baisent atrocement mal et le plus rarement possible, de peur qu'une micro-parcelle de contrôle, de pouvoir et de suprématie leur échappe.

Est-ce à dire que la féministe ne baise plus ? Si, à une condition : soit que son vagabondage sexuel lui serve à dénier et humilier ses précédents amants, rabaissés au rang d'ustensiles passés de mode ou usés, soit que ses adultères lui servent à bafouer et humilier son cocu. Voilà ce qu'il lui reste d'héritage de la stratégie de l'espèce, et encore, seulement aussi longtemps que les hormones lui durent, seulement le temps que les horloges biologiques n'aient sonné.

59
La brève du Figaro :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/21/97001-20120621FILWWW00712-breivik-internement-psychiatrique-requis.php#!
Citation
Le Parquet norvégien a requis aujourd'hui l'internement psychiatrique d'Anders Behring Breivik, estimant qu'il était psychotique et donc pénalement irresponsable quand il a tué 77 personnes l'an dernier en Norvège.

Si les juges devaient aboutir à une conclusion différente sur la santé mentale de l'accusé, celui-devrait être condamné à 21 ans de rétention de sûreté, une peine de prison qui peut être prolongée indéfiniment tant qu'il sera considéré comme dangereux, a ajouté le procureur Svein Holden.

Vérifications sur Aftenposten.no qui est plus bavard, hélas surtout en vidéos.
Les diagnostics des quatre psychiatres :
http://www.aftenposten.no/nyheter/iriks/22juli/article6835976.ece

Synne Sørheim et Torgeir Husby concluent qu'il est schizophrène paranoïde et irresponsable.
Agnar Aspaas et Terje Tørrissen concluent qu'il est narcissique et antisocial, et responsable.
Et le procureur est complètement piégé.

Au bout d'un siècle et demi d'une relation quasiment incestueuse, la justice et l'expertise psychiatrique judiciaire ne se dépêtrent pas à elles seules de leur impasse.

Elles n'ont pas encore réussi à considérer les catégories des pervers, très vite psychotiques pour le restant de leurs jours, et extrêmement nocifs, et qu'il serait fort dangereux et complètement irresponsable d'exempter de leurs responsabilités pénales.

Là Jacques Prévers et Coluche seraient d'accord post-mortem : le monde mental ment monumentalement, et il y a des questions bien trop graves pour les abandonner aux seuls spécialistes.

Auteur de crimes monumentaux, longuement et minutieusement préparés, Anders Behring-Breivik est un criminel, meurtrier de masse, avec préméditation, sans aucune circonstance atténuante. Point.

A la psychiatrie de théâtre et de tribunal de se mettre à jour dans son métier, de rattraper un siècle et demi de fautes professionnelles télécommandées et grassement rétribuées.
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Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d'une féministe !
Elle vous fera payer très cher le délit de masculinité, que vous commîtes rien qu'en naissant.

La journée de la féministe est assez répétitive :
Reprendre le pouvoir, reprendre le dessus, envoyer une bordée d'insultes, benner un tombereau de reproches, faire subir une colère, et reprendre au début, avec des variantes quant à l'ordre des opérations.
Ainsi l'ordre "benner un tombereau de reproches, reprendre le pouvoir, faire subir une colère, reprendre le dessus, envoyer une bordée d'insultes" est tout aussi valide dans l'emploi du temps de la féministe. Et puis ça introduit de la variété.

Sur les frêles épaules de la féministe repose un apostolat harassant, épuisant, de tous les instants, son devoir envers le Parti : ne jamais relâcher la guerre de longue durée contre l'existence même des mâles, ce scandale intolérable de l'existence des chromosomes XY et de la reproduction sexuée. Ah si seulement le Créateur l'eût écoutée, il n'y aurait que des lesbiennes dans la ville, et grâce à la parthénogenèse, ce serait le paradis sur Terre : aucun enfant ne pourrait plus jamais échapper à la toute-puissance matriarcale ni contracter d'autre mariage qu'avec sa maman.

Comme la perfection n'est pas encore réalisée, il y a encore des féministes qui pratiquent l'hétérosexualité. Toutefois, il convient qu'elles soient très rigoureuses dans le dressage de leur mec. Il ne sera jamais tolérable que le mec échappe à la guerre de longue durée, ni ose développer la moindre réflexion qui échappe au sexisme misandre victorieux. Prenons le cas des freudiens et de leur parlance carabistouillée : le mec sera autorisé à critiquer les amphigouris précieux de Pascal R., mais la féministe lui volera dans les plumes s'il ose critiquer les mines entendues et supérieures de Ghislaine K. sur telle de leurs expressions volontairement fallacieuses. Dans le second cas, le mec est coupable de misogynie, et il faut le lui faire payer cher.

En amours hétérosexuelles, la règle du jeu est que la somme soit négative. Qu'importe combien la femme y perd, pourvu que l'homme y perde davantage, qu'il n'oublie jamais que lui doit fournir tous les services, sans jamais rien demander ni obtenir en retour. C'est elle la maîtresse, et lui le serviteur, qui doit toujours exhiber une attitude soumise.

La féministe choisira elle-même les peintures et papiers peints que le mec posera chez lui : il doit poser du vieux rose dans son couloir, afin de montrer que même chez lui, c'est encore une maison vaginale.

A suivre.
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