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Jacques

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De l'interdiction d'être à la fois mâle, père, et innocent
* le: 29 mai 2006, 03:14:00 *
* Modifié: 10 février 2009, 06:35:43 par Jacques *
Nous connaissons de près l'interdiction judiciaire d'être simultanément mâle, père, et innocent, ainsi que d'être simultanément mâle, marié, et non violent. Pour les auxiliaires de justice comme pour le magistrat, vous êtes le mâle, donc le violent et à condamner.

Regardons un précédent, l'établissement des corporations étouffantes au 13e siècle, là aussi par voie judiciaire. Il a fallu la Révolution française et la loi Le Chapelier, pour mettre fin aux corporations.

Thierry Gaudin, dans "L'écoute des silences, les institutions contre l'innovation" résumait ainsi :
Citation
Les seigneurs et les monastères mettent la main sur les terres et les moulins pendant que, en ville, s'installent les corporations. En 1300, la plupart des productions sont sous contrôle, c'est la fin de la créativité.
La puissance du mécanisme de formation des corporations est impressionnante. C'est une multitude de petits faits, règlements de conflits qui aboutissent inévitablement à un lotissement des techniques.
En voici un exemple, cité de GEREMEK "Le salariat dans l'artisanat parisien, 13e-15e siècles" : "Entre tisserands, foulons et teinturiers, les rivalités sont extrêmement vives à la fin du 13e siècle. Déjà le statut des teinturiers, dans le livre des métiers, stipule qu'il est interdit aux tisserands de teindre les draps, du moment qu'on a interdit aux teinturiers "contre droit et contre raison" de tisser les draps. Les contestations incessantes entre teinturiers et tisserands ont pour effet qu'en 1279, après consultation des habitants des villes où figurent ces métiers, une ordonnance royale est promulguée, prohibant leur pratique simultanée".
En 1300, le morcellement est fait : pour la seule draperie, on relève 13 professions différentes.


Thierry Gaudin s'intéressait aux avatars de la créativité technique. Nous nous intéressons aux acteurs de la non-déontologie familiale, aux acteurs de la complicité envers le brigandage conjugal et familial. Nous trouvons le même jeu d'institution : l'institution judiciaire est complice naturelle des querelleurs et quérulents organisés. Cela lui permet de s'affirmer comme institution indispensable, puissante, et riche. L'institution joue pour ses intérêts propres, quel que soit le prix payé et les dommages subis par la Nation.

Qui d'autre a intérêt à l'éradication des pères, à leur bannissement hors de la famille qu'ils ont fondée ? Outre la matriarque en personne, bien sûr, qui gagne là les moyens de sa toute-puissance sans obstacles...

Les marchands de psychotropes, légaux ou illégaux, les marchands de déni de la réalité : sectes, pourvoyeurs en jeux vidéo, etc. sont les autres grands gagnants.
Dans son obsession de sa stratégie égoïste d'institution autocentrée, l'appareil judiciaire est l'un des meilleurs alliés de l'industrie de la drogue, via sa participation enthousiaste à la guerre sexiste, et à l'éradication des pères loin de la vie de leurs enfants. Entre l'enfant, même grandi, et la toute-puissance matriarcale, plus rien ne s'interpose plus, plus aucun agrandissement culturel ne desserre l'étreinte mortelle.

N'oublions tout de même pas non plus l'industrie du divorce crapuleux, qui a tout intérêt à ce que l'assaillante gagne le jackpot presque à tout les coups, et soit donc encouragée par le bouche à oreilles à divorcer au premier pet en travers du cul. Si le divorce devenait équitable et son résultat financier aléatoire, nul doute que ces dames désintéressées hésiteraient avant de lancer la salve d'accusations calomnieuses, et donneraient moins de chiffre d'affaires au noble monopole en toges noires... De l'ordre du milliard d'euros au minimum, actuellement.

Jacques

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Qui a intérêt à l'éradication des pères ? L'industrie de la drogue.

Qui a intérêt à ce que l'administration judiciaire soit la plus incompétente, la plus couarde et la plus corrompue possible ? La grande criminalité organisée.
Qui a intérêt à trouver chez nous des gens déstructurés, des adolescents et jeunes gens paumés, sans repères, cisaillés entre leur fantasme de toute-puissance et la nullité de leurs compétences ? L'industrie des stupéfiants.
Qui lui fournit en grande masse des gens déstructurés, des adolescents et jeunes gens paumés, sans repères, cisaillés entre leur fantasme de toute-puissance et la nullité de leurs compétences ? L'industrie du divorce-boom, de la destruction accélérée des filiations, de la destruction immédiate des liens familiaux.

Un petit rappel d'information partielle :

Communiqué de l'ONU sur la production des drogues en Afghanistan
12 février 2004

En Afghanistan, la situation en matière de contrôle des drogues doit être réglée aux niveaux national, régional et international. C'est ce qu'a estimé aujourd'hui, à Vienne, l'Organe international du contrôle des stupéfiants (OICS). Au cours de cette Conférence, qui fait suite à des consultations avec le Gouvernement afghan, le Président de l'OICS, Philip Emafo, a déclaré : « L'Afghanistan n'est pas seulement confronté à un problème grave de culture illicite mais aussi au problème croissant de production et de trafic d'opiacées ».

Malgré les quelques progrès enregistrés l'année dernière, l'OICS a souligné la responsabilité que le Gouvernement afghan doit assumer en sa qualité d'Etat partie aux traités internationaux sur le contrôle des drogues. L'OICS a donc appelé le Gouvernement à prendre des mesures appropriées pour assurer des progrès dans le respect des interdictions frappant la production d'opium ainsi que dans la prévention de la culture illicite qui, conformément à la Stratégie nationale de contrôle des drogues, doit être réduite, dans les prochaines années.

Toutefois, a reconnu l'OICS, le règlement de la situation en matière de contrôle des drogues ne peut reposer sur les seules épaules du Gouvernement. Il requiert l'appui total et la pleine coopération de la communauté internationale.

L'OICS a répété que le commerce d'opiacées afghans génère des fonds qui corrompent les institutions, financent le terrorisme et les insurrections, et conduisent à une déstabilisation de la région. L'OICS s'est dit préoccupé par le fait que les retards enregistrés dans le processus de reconstruction, au cours de ces deux dernières années, s'accompagnent d'activités illégales diverses dont la production et le trafic des drogues qui sont devenus la principale source de revenus et d'emplois en Afghanistan.

L'OICS a appelé, une nouvelle fois, la communauté internationale, les pays destinataires des drogues, y compris les pays voisins, à renforcer leur coopération technique et financière avec le Gouvernement afghan. Il a également lancé un appel urgent à la communauté internationale, en particulier les pays donateurs, pour qu'elle accélère la fourniture de l'aide au Gouvernement afghan, dans ses efforts de lutte contre toutes les activités illégales liées aux drogues.

Fondant son action sur l'article 14 de la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, l'OICS continuera d'invoquer cet article tant qu'il ne sera pas convaincu du respect par l'Afghanistan de la Convention. Le Conseil d'administration, qui a invoqué cet article dès 2000, a le droit d'agir de la sorte lorsque la situation dans un pays compromet sérieusement les objectifs de la Convention. Conformément à l'article 14, l'OICS poursuivra son dialogue avec le Gouvernement afghan et continuera de surveiller étroitement l'évolution de la situation.

Source : ONU
Références : AFG/248, SOC/NAR/889
Lien : http://www.reseauvoltaire.net/article12508.html

Hé oui ! Quand le monopole en robe noire déverse sciemment dans l'oreille de la JAF complaisante des tonnes d'accusations calomnieuses, sur un parent innocent, pour le plus grand bénéfice de son client avide de rapines et de butin, non seulement il détruit les psychismes des enfants-otages, mais en plus il garantit un débouché durable à l'industrie de la drogue.

C'est notre french connection.

En tant que père, j'en parle en connaissance de cause, hélas...