Le silence du psychiatre canadien :
Un silence qui veut rien dire....
... Ou un silence payant.
Ah les silences ! On essaie de les interpréter, et oufff on ne sait jamais quoi penser, quoi faire. Quelques fois j'interprète un silence, comme un sauteur en parachute qui va sortir et faire de la descente libre...
L'inconnu l'attend jusqu'à temps qu'il décide de tirer sur la corde pour ralentir sa descente. Alors quand on n'est pas certain, il ne faut pas se gêner de poser des questions, comme de tirer sur la p'tite corde, sinon on risque de s'écraser avec nos pensées.
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Après 12 ans de thérapie, mon psychiatre m'a dit quelque chose qui m'a donné le goût de pleurer. Il m'a dit: "I'm sorry, I dont speak French !"
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Oupsss!!!!
Guido-du-Québec ...
Désolé, ça n'est pas de moi, mais c'était trop bon pour qu'on vous en prive.
Et puis ça me rappelle trop de souvenirs personnels,
avec le staff d'Arthur Janov, à Paris... Sauf que c'était moi qui devais causer grand-breton.
